D'accord avec toi, mais ça manque de quelque chose pour vraiment me passionner. Trop superficiel, pas assez drôle comme ça cherche à l'être.
The White Lotus
Dans une station balnéaire au paysage de carte postale, des clients profitent de leurs vacances dans un cadre idyllique, pris en charge par un personnel des plus agréables et serviables. Très vite, il devient clair que le bonheur apparent et les sourires de façade sont trompeurs.
| En cours | Américaine, US | Pas de durée |
| Drama, Mini-Series, Comédie, Drame, Mystere | HBO | 2021 |
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Avis sur l'épisode 1.02
| Avis favorable | Déposé le 08 mai 2023 à 00:12 |
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En voilà un bon épisode ! Que c'est agréable de suivre les aventures de toutes cette bande même s'il se passe rien d'extraordinaire, c'est bien joué, bien écrit, bien réalisé, j'aime bien ! |
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| Avis favorable | Déposé le 03 décembre 2021 à 16:47 |
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J'ai toujours la délicieuse sensation de manger une grosse pâtisserie sucrée au cœur acidulé. Ce qui fait que cette charge mordante envers les élites riches et blanches passe est qu'elle est traitée avec beaucoup d'humour, mais aussi un peu de tendresse. Ainsi Armond a un double masque (maitre d'hôtel souriant et gérant pas hyper pro tenté par les excès), Shane est irrésistible en fils à maman têtu et control freak, Tanya touchante en vielle riche excentrique perdue, Mark est pathétique et me fait beaucoup rire, quand enfin Connie Britton (Nicole) montre tout l'étendue de son talent, passant en une poignée de secondes de la bienveillance au mépris. Seules Paula et Belinda sont vraiment détestables, bien que leur coté "petites pestes" est fascinant. Puis soudain, à la fin de cet épisode méchant et moqueur, une rencontre impromptue avec la nature libère une vague inattendue d'émotion. Je ne m'y attendais pas et j'ai été emporté au large. |
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Je commence à bien me prendre au jeu, avec le malaise ambiant, les scènes comiques qui prennent bien le temps de s’installer pour une chute piquante, l’hypocrisie et la décadence qui s’installent petit à petit, et les rares personnages doux (la masseuse, le père, la journaliste, ou la scène finale avec la baleine) sont des oasis de douceur. Certaines séquences d’acting sont particulièrement savoureuses : les mimiques de Connie Britton, le sourire de Murray Bartlett et l’intensité démesurée (à la fine limite du surjeu, mais juste comme il faut) de Jennifer Coolidge : je suis fan.
L’épisode gère aussi très bien ses moments un peu plus ciblés sur le propos contre la classe riche blanche américaine, parfois prétendument self-made, et j’espère qu’elle insistera encore plus là-dessus car il y a de quoi faire.
J’ai aussi bien trouvé kiffant le cameo d’Alecc, joueur de la même saison de Survivor que le créateur de la série !