Mr. Robot
Elliot est un jeune programmeur anti-social qui souffre d'un trouble du comportement et de dépression chronique. Il est ingénieur en cyber-sécurité le jour et hacker justicier la nuit. Elliot doit faire un choix lorsque le mystérieux chef d'un groupe underground de hackers le recrute pour détruire la société ...
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| Terminée | Américaine | 50 minutes |
| Drame, Thriller, Crime, Drama | USA Network, France 2 | 2015 |
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2.03 -
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Elliot, toujours très choqué par la mort de son ancien patron, est fatigué de devoir combattre Mr Robot et décide de reprendre de l'Adderall. Mobley découvre le corps de Romero, abattu d'une balle dans la tête dans la maison de sa mère. Angela est invitée à dîner au restaurant avec Phillip Price et deux directeurs d'E Corp. A la fin de la soirée, elle apprend que les deux hommes sont impliqués dans la mort de sa mère.
Diffusion originale : 20 juillet 2016
Diffusion française :
20 juillet 2016
Réalisat.eur.rice.s :
Sam Esmail
Scénariste.s :
Sam Esmail
Guest.s :
Azhar Khan
,
Craig Robinson
,
Dorothi Fox
,
Joey Bada$$
,
Luke Robertson
,
Michael Maize
,
Ron Cephas Jones
,
Sunita Mani
,
Vaishnavi Sharma
Tous les avis
| Avis défavorable | Déposé le 07 octobre 2016 à 19:39 |
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Et ca continue ! Mon somnifère du moment ! ma camomille du soir! 2eme episode ou je capote. jai vu que jetais pas le seul donc ca me rassure (cf altair). ouf! +1 par rapport a la moyenne grace au discours sur dieu qui etait enorme. C'est pas normal que je prenne plus de pied a mater Power que mr Robot ! 50 cent quoiii !! wtf??!! |
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| Avis neutre | Déposé le 04 octobre 2016 à 17:48 |
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Dans les années 70, beaucoup de groupe de rock se sont mis au progressif, un mouvement musicale où les musiciens sûrs de leurs talents se sont rapprochés du jazz. Les chansons ont commencé à s'allonger, les albums devenant double puis quadruple. Et si il y avait encore de bonnes choses, cela était super prétentieux et souvent terriblement long. (On y parlait aussi de licorne à une patte courant vers le soleil) J'ai beaucoup pensé à ce mouvement musical lors de ce 3ème épisode de Mr.Robot. |
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| Avis favorable | Déposé le 07 septembre 2016 à 18:14 |
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Objectivement l'épisode est vachement bien. Niveau dialogue le discours d'Elliott sur dieu et la religion est génial, et la réalisation de sa quasi-overdose est extrêmement créative. Mais je me suis quand même endormie à un moment dans l'épisode. C'est une suite de scènes brillantes mais pour le moment il manque un enjeu, un fil conducteur qui nous permette de maintenir notre attention et d'avoir hâte de savoir la suite. |
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| Avis favorable | Déposé le 27 juillet 2016 à 15:41 |
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Les scènes d'Elliot, toutes, sont incroyablement brillantes. Rami Malek m'impressionne de plus en plus. Le reste est toujours aussi fascinant, l'intrigue décolle avec des personnages secondaires qui se dévoilent un peu plus. J'aimerais juste que Darlene soit plus présente... Mais je suppose que ça viendra bien assez tôt. J'ai hâte de voir où est-ce-que la saison va nous amener, ça peut vraiment envoyer du lourd ! PS : La réalisation et la musique = méga top. |
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| Avis favorable | Déposé le 25 juillet 2016 à 00:10 |
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Je retire mes doutes sur la réalisation de Sam Esmail. Cet épisode est à tomber par terre et nous rappelle que la série repousse plus que jamais les frontières du petit écran. Montrer la perte de contrôle d'Elliot et sa plongée dans l'inhumain en brouillant la qualité d'écran de l'image, c’est un procédé génial. A peu près chaque plan a une composition qui frappe sans jamais paraître cheap, c’est une pure merveille, avec un usage du hors-champ en particulier hyper malin, et un travail sur le placement des personnages et l’occupation du cadre toujours inégalable. Pour le fond, j'ai toujours des doutes sur le format. Le fil rouge “post 5 septembre” ne permet pas de relier toutes les intrigues aussi bien que Sam Esmail l’espère sans doute. Les différentes storylines sont globalement toutes de qualité, mais elles manquent de cohésion et de fil rouge. La thématique du “noyau” est par exemple uniquement reliée à la narration d’Elliot spécifiquement, en tout cas, même si on peut faire des liens à plein d’aspects de la narration, l’épisode ne le fait pas lui-même, contrairement à la saison 1 où la voix-off était bien plus présente, ce qui peut être une bonne idée dans un show où la technique est aussi peu accessible au grand public. Certaines scènes relèvent comme souvent du génial (Angela et Price, le speech d’Elliot dans le cercle à l’Eglise superbement écrite et interprété par Rami Malek…), mais d’autres sont plus inégales. Le personnage de Ray est un mystère, difficile de le situer tant il échappe à tout repère, et même si j’ai toujours confiance dans le bateau Mr. Robot dans lequel je me trouve, c’est un peu dur de rentrer dans le noyau très hermétique de la narration. Je ne m’attendais pas à assister à plein de speechs métaphoriques ou sur des anecdotes passées juste pour des chutes qui sont sans doute plus malignes sur le papier qu’à l’écran, un tic d’écriture de la série pas toujours réussi. On se croirait en fait parfois à un croisement avec Twin Peaks, et le passage où Elliot entend son ami Leon qui parle à l’envers me semble être un clin d’oeil clair. L'écriture a aussi quelques facilités comme l’agent du FBI Dom DiPierro (que j’apprécie pas mal avec la pointe d’humour qu’elle apporte et le vernis limite Black Mirror de son rapport à la société moderne) qui découvre un peu de nulle part l’affiche de Mobley dans les affaires de Romero, ce qui la conduit sur la piste de fsociety. On comprend cela dit bien l’intérêt d’avoir consacré pas mal de temps de l’épisode au début à la réintroduction de Mobley et Romero et du lieu de la salle d’arcade de Coney Island. La découverte du cadavre de Romero sans plus d’explications est aussi un joli pied-de-nez à la narration classique d’une série dramatique, reliée à la mort de Gideon elle permet vraiment de plonger le spectateur dans la peau des derniers rescapés de la fsociety (Trenton et Mobley plutôt paranoïaques face à une Darlene qui reste impassible, en tout cas en apparence) à savoir de soulever une ambiguïté sur la nature ciblée de ses morts en guise de suppression des traces du 5/9 par la Dark Army qui n’a pas encore pointé le bout de son nez cette saison. Tout est globalement efficace et se suit bien, malgré un certain rythme inégal parfois. Quelque part, l’intrigue de Mr. Robot et Elliot est la plus symptomatique des qualités et des défauts de l’épisode : c’est là où la réalisation se lâche le plus et trompe le plus le spectateur, mais aussi celle qui est paradoxalement la plus déconnectée du reste. Sam Esmail s’éclate avec l’univers qu’il a créé et peut vraiment développer ses personnages tout en exploitant les thématiques qui n’étaient finalement que mises en place par la mise en bouche qu’est rétrospectivement la saison 1. Mais attention à ne pas nous perdre au passage. |
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1h d'épisode mais on dirait que la série n'a plus rien à dire (on est pourtant au 3e épisode et la prétention ne baisse pas d'un cran). Non désolé la scène du cercle catho n'élève pas l'épisode, des siècles de littérature ou même BB en série sont passés avant. Et chez Angela, on est dans la redite du 1x07.