Westworld
À Westworld, un parc d'attractions dernier cri, les visiteurs paient des fortunes pour revivre le frisson de la conquête de l'Ouest. Dolores, Teddy et bien d'autres sont des androïdes à apparence humaine créés pour donner l'illusion et offrir du dépaysement aux clients. Pour ces derniers, Westworld est ...
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Terminée | Américaine, US | 60 minutes |
Science-Fiction, Western, Thriller, Drame | HBO, OCS City | 2016 |
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1.04 - Théorie de la dissonance
Dissonance Theory
S'émancipant de son scénario habituel, Dolores quitte Sweetwater avec deux visiteurs. L'homme en noir progresse dans sa quête du centre du labyrinthe.
Diffusion originale : 23 octobre 2016
Diffusion française :
23 octobre 2016
Réalisat.eur.rice.s :
Vincenzo Natali
Scénariste.s :
Ed Brubaker
,
Jonathan Nolan
Guest.s :
Chris Browning
,
Demetrius Grosse
,
James Landry Hébert
,
Sherman Augustus
,
Josh Clark
,
Judson Mills
,
Hugo Pierre Martin
,
Mason McCulley
,
Charlie John Hopkins
,
George Jonson
,
Jose Rosario
,
Mayank Saxena
,
Folake Olowofoyeku
,
Liam Cronin
,
Zeke Nicholson
,
Alex Urbom
,
Bradley Fisher
,
Kate Rene Gleason
,
Jeff Daniel Phillips
,
Izabella Alvarez
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Internet VS Westworld.
« Vous êtes nouvelle ici. Comme vous au début, j’élaborais des théories » (ou quelque chose comme ça). Ahaha les cons ^^. Chaque dialogue de cette série possède une double voir un triple entrée. C’est assez fascinant d’écriture et de subtilité de langage (tous les passages Ford et MIB sont des perles).
Un épisode destiné à « rassurer » le spectateur. La série avait été repoussée il y a quelque mois pour faire quelques plans en plus. J’ai l’impression que c’est HBO qui a eu peur de perdre son spectateur. On le voit ici avec la multiplication des flashbacks / souvenirs (et ça commence à me gaver d’ailleurs), les scènes d’expositions, le fait qu’on voit dans la « tour de contrôle », les techniciens agirent sur les écrans et enfin, ce type qui vient voir Ed Harris pour le remercier d’avoir sauvé sa sœur. Alors comme la série est fine, forcément ce genre de chose est fait avec délicatesse, mais quand même, j’ai senti une vraie volonté de la série de donner des explications. Ce qui est assez marrant, c’est que (encore une fois), c’est exactement ce qu’il se passe à l’intérieur même de l’épisode. Ford le dit : avant que les gens de Delos (on apprend que ce n’est pas l’entreprise de Ford), les financiers, ne viennent « tout gâcher », Westworld était pure.
L’épisode poursuit également son parallèle avec la religion et j’ai trouvé ça intéressant. C’est désormais clair : les robots = les humains, les visiteurs = Les anges ou les démons, la remise des robots = le purgatoire et Ford = Dieu. La scène de dialogue entre Théressa et lui est captivante et c’est ma préférée de cet épisode. Là où l’épisode va un peu plus loin, c’est en expliquant que les robots se créent leur propre mythologie, à partir des choses qu’ils n’arrivent pas à expliquer (en l’espèce, les hommes en combinaison). Et ça, c’est vraiment un point de vu nouveau pour une production JJ Abrahms (on rejoint plus K. Dick, disons grossièrement).
Bon épisode donc, mais il faudrait vraiment freiner sur les scènes où les robots se rendent compte que quelque chose ne va pas. C’est assez lassant.
Le coin du Fan :
- On voit le clocher de l’église (épisode 2) dans le flashback de Dolores. Dans ce flashback d’ailleurs, Dolores est accompagnée d’un autre homme lorsqu’elle enterre quelque chose (le flingue probablement). MIB ? Arnold ?
- MIB = humain, confirmé par le dialogue avec le visiteur. Après bon, il est peut être une copie d’un humain existant vraiment. D’ailleurs, à la fin de Futureworld, on apprenait que les robots sont des copies des humains.
- Bernard = robot. Pas de confirmation immédiate, mais un étrange sentiment dans la façon qu’ont Ford et Térésa de prononcer son nom. Et dès que Ford parle de Bernard, on a l’impression qu’il parle d’un objet.
- La théorie de multiple time-line. Là, je te jure, j’ai mal à la tête tellement ça devient compliqué de la faire tenir debout cette théorie. On verra.