Avis sur les séries
Avis sur les saisons
Malgré de grands noms du cinéma d’horreur (Tobe Hopper, John Carpenter, Dario Argento, Joe Dante, une anthologie très décevante. Seul la Maison des Sévices tient son rang, les autres segments alternent le sympa sans plus ou le sans-intérêt. Pas du tout indispensable…
Avis sur les épisodes
George et le monde du travail, c’est souvent savoureux.
George : What’s the worst that could happen ?
Jerry : You’d be embarrassed and humiliated in front of a large group of people and have to walk out in shame with your tail between your legs.
George : Yeah. So ?
Jerry : Yeah. I see what you mean. I forgot who I was dealing with.
Ici, c’est topissime et vraiment drôle, surtout de le voir se pointer à son poste sans savoir s’il est pris ou non, puis glander comme on le rêve tous dans son petit bureau.
Du côté de Seinfeld et sa tragédie Italienne avec ses coiffeurs, c’est du bon délire, avec le fil rouge d’Edward aux Mains d’Argent, l’arrivée de Newman et la coupe de Jerry qui occasionne le fou rire de ses amis. Elaine et Kramer à la vente aux enchères pour célibataire complètent honorablement le très bon tableau qu’est cet épisode.
Un bien amusant épisode qui se concentre sur les relations « amoureuses » des personnages et qui met en avant leur total manque de maturité.
On a d’un côté Jerry qui boude parce ce que sa copine masseuse professionnelle couche avec lui, mais refuse de le masser et de l’autre George qui malgré qu’il soit en couple fait une fixation sur la même fille (la pauvre) car celle-ci ne l’apprécie pas, ce qui le rend fou.
Pour Elaine, l’idée de base de son intrigue est excellente (sortir avec un homme qui s’appelle Joel Rifkin comme le sérial killer new yorkais), dommage que la fin ne soit pas vraiment à la hauteur (cette dispute sur les prénoms), tandis que Kramer fait son show habituel.
Un épisode amusant, mais fourre-tout où il est question du racisme ordinaire des expressions américaines, de Kramer et ses « coffee-table book about coffee tables », de magasines télé, de George qui fait l’amour sur le lit de ses parents, de sandwichs, d’indien en bois et de drague reloue dans le métro.
Et si l’ensemble finit par être relié, cela tient plus du monstre de Frankenstein que d’un script ciselé.
Un épisode très moyen, avec des storylines sans éclats (Jerry et le gel antifongique, Kramer et sa Cavorka, George qui veut devenir orthodoxe letton pour chopper une fille et cette pauvre Elaine et son podologue).