Avis sur les séries
Avis sur les saisons
Malgré de grands noms du cinéma d’horreur (Tobe Hopper, John Carpenter, Dario Argento, Joe Dante, une anthologie très décevante. Seul la Maison des Sévices tient son rang, les autres segments alternent le sympa sans plus ou le sans-intérêt. Pas du tout indispensable…
Avis sur les épisodes
Un week-end à la plage qui tourne au fiasco, tel est le synopsis de base. Pour cela, on additionne les ingrédients (le retour des parents relou de The Boyfriend, mais aussi de Rachel, un docteur craquant, un bébé moche, la copine de George qui refuse de coucher avec lui, mais qui fait du topless devant ses amis et des tomates), on agite le tout (George qui veut se venger en voyant Rachel nue, mais c’est l’inverse qui se passe, Kramer en braconnier d’homards) pour atteindre un point de non-retour de la virilité bafoué (le shrinkage qui offre les moments les plus hilarants).
Bref, ce n’est pas le meilleur, mais on y passe un bon moment et on accepte même de fermer les yeux sur la chute de l’épisode et cette tomate jetée, gag bien pourri ou tout ce qui a rapport avec Rachel et les homards).
Jerry en stand-up : Human fascination with water is amazing. We’re constantly going to beaches, pools, lakes, rivers. We’re swimming, we’re snorkelling, we’re scuba-diving. We bathe in it. Our bodies are mostly made of water. We can’t get enough water. Unless it rains then we’re like «Oh, look, I’m soaked ».
George : Could you tell her about the shrinkage factor ?
Jerry : No. I’m not gonna tell her about your shrinkage. Besides, I think women knwo about shrinkage.
George : How do women know about shrinkage ?
Jerry : Isn’t it common knowledge ?
Ils appellent Elaine.
George : Do women know about shrinkage ?
Elaine : What do you mean, like laundry ?
George : No.
Jerry : Like when a man goes swimming, afterwards….
Elaine : Ohhh. It shrinks ?
Jerry : Like a frightened turtle.
Elaine : Why does it shrink ?
George : It just does.
Elaine : I don’t know how you guys walk around with those things.
Un très bon final avec une Elaine et un George en très grande forme. Elle, lorsqu’elle retourne s’acheter une friandise juste au moment où elle apprend que son copain est hospitalisé ou lorsqu’elle met un taquet à George après sa mauvaise blague. Lui, tous ce processus de faire l’inverse de son instinct et que cela fonctionne, c’est énorme. Jerry au milieu et toujours en équilibre ajoute au côté gentiment décalé de l’histoire. Reste Kramer à qui on offre un peu les miettes et un passage dans un show américain que je ne connais pas.
Bref un grand final, bien marrant.
Un épisode de reprise très moyen, composé de 3 subplots pas méga folichons. Kramer qui sert de chaperon à la candidate à Miss America que convoite Jerry est sans doute l'intrigue qui tient le mieux la route, mais il n'y a rien de vraiment hilarant. Idem pour George et les tenus en cotons de ses joueurs, sympa sans plus. Quant à Elaine, elle bloquée avec Mr Pitt pour une histoire de chaussette, ce qui semble obliger Julia Luis-Dreyfuss a appuyé une forme de cabotinage à la limite de l'excessif.
Puis, entre nous, Lippman, Mr Pitt, Peterman qui viendra ensuite, c'est chaud de ne pas s'emmêler les pinceaux entre tous les noms des boss d'Elaine.
Du mieux par rapport au précédent, mais on n'atteint pas encore les sommets.
George nous gratifie d'une grande scène typique George's névrose lorsqu'il veut absolument qu'Elaine sache que c'est lui qui lui a payé sa big salad, mais mis à part ça, le trio George-Elaine-Kramer et son partenaire de golfe meurtrier, subplot inspiré par l'affaire OJ Simpson ne nous offre rien de vraiment exceptionnel. C'est Jerry qui s'en sort mieux (névrose toujours) lorsqu'il découvre que la fille avec qui il sort est une ex de Newman et que, summum du summum, c'est ce dernier qui a mis fin à la relation car il ne la trouvait pas assez belle. Lorsqu'on connaît le dégout qu'inspire Newman à Jerry, cela donne des moments bien savoureux, notamment cette scène formidable où il se fait griller à scruter le visage de Margaret pour détecter ce qui peut clocher en elle.