« Well, here we go again ! » comme diraient le Brigadier et Vastra. Près de dix mois après fin de la saison 8 et un sevrage total de nouveauté de neuf mois, Doctor Who nous revient dans une nouvelle saison qui s’annonce fort intrigante. Quasi uniquement composée de two-parters et promettant de nombreux retours de personnages et monstres appréciés, ainsi que certaines guest stars bien connues et des pitchs prometteurs, il y avait de quoi éveiller l’excitation de plusieurs fans.
Je me suis moi-même d’ailleurs surpris à en faire partie alors que malgré une impression globale plus que positive sur la saison 8, j’avais été très déçu par les deux derniers chapitres en date de la grande histoire Whovienne, au point d’émettre d’énormes réserves quant à la capacité de Steven Moffat de pouvoir continuer à travailler sur la série sans lui nuire davantage que de continuer à l’enrichir.
En effet, il y a tout d’abord eu l’incroyablement décevant Death in Heaven, qui non content de se torcher le cul avec le potentiel monstre que lui avait laissé l’excellent Dark Water, révélait rétrospectivement de sérieuses erreurs de showrunning au cours de la saison pour le résultat auquel Moffat voulait manifestement parvenir (quand bien même il avait opté pour une autre direction, ça n’aurait posé aucun problème rétroactif). Comme un Danny Pink bien trop présent et exigeant au niveau émotionnel pour le fantôme qu’il aura été quasiment tout le reste de la saison. Ou encore un arc « Am I a Good Man » qui revient trop abruptement au premier plan pour être résolu trois secondes après alors qu’il l’était déjà dans l’épisode principal de la saison en traitant et qu’il n’avait jamais vraiment été ressorti depuis lors…
Puis il y a eu Last Christmas, qui, fort de m’avoir bien énervé à l’époque par le simple fait de garder Clara dans la série alors que tout semblait avoir été dit sur son personnage à la sortie de cette saison, aura également été un festival des tics scénaristiques de Moffat, mais qui cette fois en dégageaient un tel narcissisme et automatisme qu’ils en devenaient réellement énervant (je ne vais pas tout citer mais rien que ça… « Personne n’aime les Mandarines »… Bah si, moi je les aime, pauvre con !) et inquiétant pour la suite, en plus du double combo d’énormes déceptions consécutives m’ayant carrément conduit à prendre de la distance avec le show !
Bref, il fallait y aller pour me motiver mais c’est finalement avec une réelle envie et une certaine confiance que j’ai regardé The Magician’s Apprentice. Et si l’épisode n’aura pas complètement écarté mes doutes vis-à-vis du Big Moff, il se dirige en tout cas vers la bonne direction.
De la continuité…
Tout d’abord, il va me falloir parler de ce que tente Moffat ici, qui est tout compte fait dans la forme assez unique dans l’histoire de la série. Ce cher Steven semble s’être en effet donné le défi de créer l’épisode le plus directement lié et référencé au passé de Doctor Who.
Et sur ce point-là, il n’a pas manqué son coup. Une chose est sûre, si jamais Galax était amené à faire une mise à jour de son article conseil pour bien débuter la série, je ne pense pas prendre trop de risques en disant que cet épisode ne figurera jamais dans la liste de ceux par lesquels il conseillerait de la commencer.
Je crois bien que jamais de la série il n’y avait eu un épisode faisant autant de clins d’œil à ce qui a pu le précéder. Ça fuse de tous les côtés, ça vient de vraiment n’importe où dans l’histoire du show, que ça date de deux épisodes comme d’il y a deux cent cinquante, ça peut être massif comme extrêmement discret, ça peut être lié au scénario au point d’être vital à sa compréhension, comme juste là pour le fun et totalement inoffensif si on ne la capte pas…
Vraiment, on a affaire ici à une véritable partouze de références, le pot-pourri ultime (du moins jusqu’à maintenant) de la série en la matière, l’épisode se révélant quand même être une suite plus ou moins directe de quatre histoires du show (The Daleks, Genesis of the Daleks, Dark Water / Death in Heaven et Last Christmas, et non ce ne sont pas forcément avec les plus récentes qu’elle a le lien filial le plus fort) et ce phénomène référencé allant même jusqu’au choix non anodin de certaines répliques. Il serait limite intéressant d’avoir un compteur en haut de l’écran pour pouvoir calculer le nombre de clins d’œil à la minute…
Mais contrairement à certains épisodes plus légers en références qui les emploient bien plus maladroitement (le Brigadier dans Death in Heaven pour ne citer qu’un exemple récent), c’est ici curieusement bien plus digeste car toujours soit en adéquation avec le récit (quand ça ne participe pas à son avancée), soit pour les plus gratuites d’entre elles existant sans jamais en entraver l’avancée. Du fan service intelligent et très savoureux donc, loin des clins d’yeux putassiers et indigestes des derniers opus de Moffat.
L’exercice de Steven est en plus assez intéressant dans le fait que cet épisode semble être une étape majeure dans la complétude du processus de rattachement à la série classique qui est progressivement entrepris dans la série depuis la saison 7. En effet, alors qu’auparavant, avoir vu la série classique n’était en aucune manière indispensable au suivi du show, et sans que ce soit devenu un impératif pour autant, les deux blocs distincts que formaient les vingt-huit premières années d’activité du show et le revival de 2005 se sont regroupés pour reformer une véritable unité, comme en témoignent les références aux épisodes classiques bien plus nombreuses et surtout plus incorporées à la trame de la série depuis lors qu’auparavant.
Du questionnement existentiel…
Mais c’est aussi par son contenu que l’épisode se révèle intéressant. Comme je le disais plus haut, l’épisode est quasiment une suite directe de plusieurs autres de la série, mais celui dont il revendique le plus la filiation est sans aucun doute Genesis of the Daleks, dont il se positionne comme le contrepoint.
Outre l’ironie de soulever la possible création de Davros ici (dans une phrase particulièrement bien trouvée de la part du Docteur : « Who created Davros ? » ; ne serait-ce plutôt « (Doctor) Who created Davros. », Peter ?) alors que Genesis of the Daleks était précisémment l’épisode qui introduisait le personnage de Davros, The Magician's Apprentice met ouvertement en application la métaphore que le quatrième Docteur avait employée lors de son questionnement sur l’action qu’il devait ou non entreprendre pour empêcher l’existence des Daleks.
Car Doctor Who, c’est aussi le show qui te demande de considérer à quel point la mort d’un jeune garçon hurlant de peur à l’aide peut être acceptable (si jamais elle peut l’être). Et à première vue, le Docteur semble avoir cette fois, compte tenu des circonstances survenues à la toute fin de l’épisode, trouvé un cas de figure où pour lui ça l’était. Affaire à suivre donc, mais entre ceci et la possible culpabilité et responsabilité du Docteur dans l’acte qui a créé Davros et donc à postériori les Daleks, ce qui est ici mis en place est déjà fort intéressant.
Au-delà de ça, sur un plan plus secondaire, l’épisode est aussi fort plaisant dans l’aspect du Docteur qu’il met en avant dans la sympathique scène de l’arène. Ce n’est pas quelque chose de particulièrement étonnant de sa part, ni de nouveau, mais en revanche bien quelque chose qu’on a trop peu eu l’occasion de voir (surtout ces derniers temps), et mine de rien cela fait plaisir (et c’est qu’il est totalement rock le Papy) !
Mais aussi la relation entre Missy et le Docteur, qui poursuit ce que Death in Heaven avait commencé, gagne ici en complexité, ne serait-ce que de par le fait que le Docteur était au courant de sa survie et a directement fait appel à elle, ou encore que pour la première fois de la nouvelle série elle soit du côté du Docteur et que leur rapport y est étrangement davantage focalisé sur l’aspect amical que sur celui de la collaboration forcée comme ça avait pu être le cas dans la série classique. Un aspect là encore très intéressant à suivre car concrétisant une idée de longue date de la série tout en changeant un peu la dynamique entre les deux. C’est d’ailleurs aussi la première fois que Le Maître collabore avec un compagnon du Docteur sans avoir mis de couteau sous la gorge de ce dernier pour le forcer à l’aider. Et là encore sur ces deux points, la suite promet d’aller plus loin…
Et pour finir, tant qu’on parle de compagnons, j’avais de sérieux doutes quant au fait de garder Clara une saison de plus. Sans les avoir totalement écartés, j’admets que j’ai été assez séduit par ce que j’ai pu entrevoir ici : une compagne qui a totalement achevé son processus de doctorisation montré en saison 8 (et notamment dans l’excellent Flatline), qui contrairement à la saison passée ne peut plus revenir en arrière (sur ce point, ça en légitimerait rétroactivement la fin de Last Christmas tiens. Mais ne rêve pas Galax, je trouve toujours le reste de l’épisode à chier…), qui résonne comme lui, agit comme lui, se lance comme lui à corps perdu dans l’aventure. L’aventure qui est devenue avec le Docteur sa priorité number one, celle pour laquelle elle va tout plaquer dans la seconde pour la rejoindre, peu importe le poids ou l’importance de ses autres responsabilités. Soit quelque chose qu’on a pas eu l’occasion de voir auparavant et qui me plaît beaucoup. Là encore il va falloir aller plus loin dans la saison pour être définitif là-dessus, mais comme beaucoup de choses dans cet épisode, c’est sur la bonne voie.
De l’entrée en matière des choses…
Mais là où l’épisode est particulièrement réussi, c’est dans sa fonction de season premiere qu’il remplit vraiment très bien. Car on aura beau dire ce qu’on veut et il y a beau avoir eu des variations sur le sujet, l’essence même d’un season premiere ça reste l’introduction, et de ce point de vue-là, l’épisode est vraiment très bon.
Il y a déjà cette scène d’intro absolument dantesque, dans cette zone de guerre complètement folle, ces hand-mines absolument horribles et le dilemme magnifiquement posé à sa fin couplé aux cris du gamin qui nous met dans tous nos états et nous fait ressentir pleinement la terrible situation dans laquelle le Docteur (qui nous offre une Capaldi face anthologique qui, j’en suis sûr, produira d’excellent gifs d’ici quelques temps) se trouve malgré lui, tout en nous permettant de nous interroger sur ce que nous ferions à sa place.
Fort de ce grand moment, il y a ensuite la traque du Docteur qui permet d’introduire le charismatique Colony Sarff qui est un ennemi au potentiel bien sympa, nous permettant de revoir au passage quelques haut-lieux qu’on n'avait plus vus depuis longtemps, soutenus tout du long par l’envie de savoir ce qu’il a pu faire de cette situation.
Puis arrive Missy qui, telle une tornade, défouraille tout sur son passage et fait passer l’épisode à la vitesse supérieure. Une fois de plus Michelle Gomez s’éclate dans le rôle tout en offrant à l’épisode une dose d’humour bien senti et efficace lui permettant d’aligner les répliques et passages instantanément cultes (Missy 3D, l’explication parodique sur son retour, le couple et le chien, sa crise de jalousie de ne pas être considérée par le Docteur comme son arch-enemy, …) tout en continuant d’entretenir l’aura mystique et menaçante du personnage, comme lors de l’excellente scène du retour de Skaro portée en grande partie par son interprétation (et aidée par un visuel magnifique couplé avec le son parfait en arrière-plan).
Niveau icônisation, soit la scène qui ré-introduit proprement le Docteur cette année (le reste du temps on était dans un Doctor-lite même quand il était là), le passage avec la guitare n’était pas mauvais non plus, d’autant que l’ère Capaldi ne raffole pas pour l’instant de ce genre de scènes concernant son héros, et on peut même dire que l’avalanche de cliff final qui nous laisse le Docteur dans l’une des pires situations dans laquelle il a pu un jour se trouver (avant de faire un callback judicieux à la première scène tout aussi épique que cette dernière) est aussi parfaite pour introduire… le prochain épisode !
Car ça oui, pour ce qui est d’entrer en matière, d’ouvrir le bal et de donner le ton avec panache et dynamisme, cet épisode est proche de la perfection. Mais de là vient aussi sa principale limite : il ne reste qu’une introduction. Avec toutes les limites inhérentes que cela implique. Car contrairement à un Dark Water ou The Impossible Astronaut, qui ont su transcender ce statut en étant devenus suffisamment riches pour exister en eux-mêmes de par ce qu’ils développent tout en préparant le terrain pour une seconde partie, là il faut avouer quand même que beaucoup de choses vont dépendre de la réussite ou non de The Witch’s Familiar, qui n’aura que peu le droit à l’erreur car cela risquerait de lui nuire rétrospectivement (là où Dark Water reste en soi peu impacté par les conneries de Death in Heaven, pour prendre un exemple où la seconde partie n’aura pas été à la hauteur de la première). En effet, il y a fort à parier qu’en cas de ratage de ce dernier, la scène de l’arène qui est ici sympathique, bien que déjà ici un peu trop longue en soi, en deviendra énervante de meublage et jugée handicapante pour l’histoire dans sa globalité.
Au-delà de ceci, je n’aurai qu’un seul vrai reproche à faire à cet épisode : cette sous-intrigue de mort du Docteur. En plus d’avoir pour le coup un vrai sentiment de réchauffé, c’est vraiment nettement moins bien traité que ce que la saison 6 ou The Time of the Doctor avaient pu faire sur le sujet, d’autant qu’il n’était nullement indispensable de recourir à cette ficelle-là cette fois-ci. Le Docteur flaire un piège potentiellement mortel et dévastateur, mais rien ne l’oblige à en prédire sa mort pour autant. De plus, il aurait pu attirer l’attention de Missy et Clara autrement, sans avoir à leur faire comprendre qu’il va forcément mourir et qu’il souhaite leur dire adieu.
Bref, j’avoue que pour le coup je ne comprends pas trop ce choix et je ne suis en plus pas certain que la seconde partie viendra le justifier. Bien que, encore une fois dans cet épisode, il va falloir attendre la suite pour être définitivement catégorique sur la question…
Le coin du fan
Le retour de la série, c’est également celui de notre rubrique star de toutes nos critiques sur la série depuis la saison 7. Et avec un épisode aussi riche que celui-ci en la matière, il y a de quoi faire et je risque surement d’en oublier…
Mais déjà, saviez-vous que :
- Colony Sarff peut être vu comme un clin d’œil à la Mara, un des ennemis les plus marquants du cinquiète Docteur (Kinda, Snakedance).
- « The Doctor is required » est la phrase que Wotan ne cessait de répéter à ses sbires dans The War Machines.
- On voit à peu près tous les types de Daleks qui ont existé dans la nouvelle série : bien évidemment les Marrons-Rouille, soit le modèle le plus répandu de ces derniers dans la série depuis l’épisode Dalek, mais aussi les Daleks Noirs du Culte de Skaro ou encore le Dalek Supreme Rouge et Or de Journey’s End. Étrangement, seuls les Daleks « Power Rangers » des saisons 5 à 7 semblent avoir été absents de cette première partie…
- Mais du côté de la série classique, on a également pu voir une liste certes non exhaustive, mais plutôt bien fournie des types de Daleks ayant sévi en ce temps-là : bien évidemment le modèle original Argent et Bleu des tous premiers Daleks de la série aperçus en noir et blanc dans The Daleks, mais également les Gris et Noirs de Genesis of the Daleks, les blancs et or de Revelation of the Daleks et même les Daleks Tanks de Remembrance of the Daleks ! Et là encore, la seconde partie va peut-être davantage enrichir le tableau…
- Skaro est reconstruite quasiment à l’identique (de l’intérieur, complètement à l’identique) de l’épisode The Daleks. Des références à l'histoire de Skaro sont d'ailleurs faites par l'enfant, notamment la guerre millénaire que l'on peut observer au début de par le déséquilibre des armes, à la fois anciennes et modernes.
- Karn et sa confrérie apparus pour la première fois dans The Brain of Morbius puis plus récemment dans The Night of the Doctor sont de retour ici, tout comme The Shadow Proclamation et les Judoons et The Shadow Architect aperçus pour la dernière fois il y a sept ans dans Journey’s End (six pour les Judoons apparus furtivement dans The Pandorica Opens), le Moldovarium qu’on avait pu apercevoir en saisons 5 et 6, les champs de bataille de Skaro tels que vus dans Genesis of the Daleks, et bien évidemment Davros, tous pour les revenants sous les traits des mêmes acteurs les ayant précédemment interprétés dans la nouvelle série.
- On peut voir dans la salle de Davros des clips des précédentes rencontres qu’il avait effectuées avec les quatrième, cinquième, sixième, septième et dixième Docteurs, provenant donc ici de Genesis of the Daleks, Resurrection of the Daleks, Revelation of the Daleks, Remembrance of the Daleks, et Journey’s End.
- Missy est de retour et sa célèbre comptine de Death in Heaven par laquelle elle s’annonce dans cet épisode aussi, ainsi que le fameux « Say Something Nice ».
- Ce n’est pas la première fois que Le Maître fait de sales coups impliquant des avions (Time Flight) ni qu’il ait à s’allier au Docteur pour contrer une menace encore plus grande (Logopolis).
- U.N.I.T. et Kate Stewart sont également un court instant de la partie, mais logiquement sans Osgood. Quoi que, logiquement…
- Lorsque U.N.I.T recherche le Docteur, on mentionne « trois possibles versions de l'Atlantis ». Cela fait référence à l'incohérence de longue date parmi le Whoniverse qui présentait en effet plusieurs versions de l'Atlantis.
- Missy utilise un manipulateur de vortex pour rejoindre le Docteur, et le décrit par la phrase « cheap and nasty time travel », les mots exacts du onzième Docteur.
- Quand le Docteur explique qu'il voyage depuis quelques temps sans sonic, Missy réplique par un « je n'avais jamais vu ça avant ». Bien qu'elle voulait parler de l'expression sur son visage, il est évident que c'est un clin d'œil à l'éternel désir du fan de voir le sonic retiré de la série car il permet trop de facilités (ce qui s'est un jour produit dans la série classique).
En résumé, c’est par un épisode fort plaisant et palpitant que débute cette neuvième saison de Doctor Who. Divertissant de manière efficace et intelligente tout en développant des idées et des aspects fort intéressants, il signe un retour efficace de la longue saga, de l’Alien à la Boîte Bleue. Toutefois, il ne reste qu’une introduction qui devra prier pour que sa suite fasse honneur à ce qu’il lui lègue. Alors croisons les doigts pour que ça se fasse, puis, Saison 9, allons-y !
J’ai aimé :
- « Davros. My name is Davros ». L’une des meilleures scènes d’intro de toute la série.
- Un fan service généreux, savoureux et intelligemment employé.
- Retrouver Davros, un des meilleurs antagonistes de la série.
- La grande convention cinquantenaire des Daleks de tous type, âge et couleurs. <3
- Skaro <3 (et le retour de The Dark and Endless Dalek Night lors de la scène… Murray <3).
- Missy. <3
- Le prolongement de Clara va peut-être mener à des trucs intéressants finalement.
- Retrouver le show, tout simplement.
- Une introduction très réussie à cette nouvelle saison…
Je n’ai pas aimé :
- … mais qui reste une introduction qui n’aura pas su transcender ce statut.
- L’épisode laisse un potentiel très prometteur pour sa suite. Just like Dark Water did. Et on connaît le résultat… Tout repose sur la suite.
- La scène de l’arène était marrante et met en lumière un aspect intéressant de la personnalité du Docteur, mais ça prend sans doute un poil trop de temps à l’épisode pour ce que ça lui apporte.
- Le truc sur la mort du Docteur, c’est vraiment très moyennement convaincant et bien moins traité que les fois précédentes.
- Quand est-ce que vous comptez exactement correctement recaler le son de ce putain de générique ? Fuck you In the Forest, tu as tout gâché !
Ma note : 15/20
À la semaine prochaine où vous retrouverez Galax pour la seconde partie de cette histoire, « The Witch’s Familiar » !