Cette critique est extraite d'un article plus large, le Comedy Week disponible ici.
Ils sont de retour ! Pour la dernière et ultime saison (qui a dit : « enfin ! » ? ), le groupe du Mc Laren va t'il répondre à LA question : « Qui est la mother ? » (Non, soyons honnêtes, tout le monde s'en fout désormais) « Peut on faire pire que la saison précédente? » .
Et il faut avouer que le départ a été douloureux, avec une première moitié d'épisode ressemblant à tout ce que la saison 7 rassemblait de pire : la relation Quinn-Barney, Robin qui ne sert à rien et surtout le bébé Eriksen (j'en ai des frissons rien que d'y repenser...).
Seul Ted et son humour sur les notes de départ sortait péniblement son épingle du jeu, même si cela tenait sans doute à la présence de Victoria qui m'aveuglait : elle est toujours aussi jolie.
Raaaah les chiens !
Puis tout change, deux évènements viennent complètement sauver l’épisode, au détour d'une cabotinerie nullisime de marshall et lily (qui perdent tout les deux leurs majuscules parce qu’ils ne les méritent pas). Le premier est un résumé en une minute chrono de la série par Barney, résumé qui s'attarde particulièrement sur les deux premières saisons au détriment des cinq autres, comme quoi. Le second est l'apparition de Klaus, le fiancé de Victoria, qui nous offre un dialogue hilarant se moquant gentiment des mots valises de nos voisins d'Outre-Rhin.
De là à penser que cet épisode est une métaphore des deux dernières saisons de la série, une première moitié (la saison 7) chiante à base de bébé Eriksen et une seconde moitié (la saison 8) hilarante avec la tant attendue Mother à la fin ? Je l'espère sincèrement.
13/20