The Strain vs Z Nation

Le 08 janvier 2016 à 09:11  |  ~ 18 minutes de lecture
Match passionnant entre les saisons 2 des deux séries.

The Strain vs Z Nation

~ 18 minutes de lecture
Match passionnant entre les saisons 2 des deux séries.
Par nicknackpadiwak

Article spécial The Strain vs Z Nation

 

– Baaouurarrghhh les monstres débarquent !

 Zombies versus vampires.

 Z versus strigoi.

 Syfy versus FX.

 Saison 2 versus saison 2.

 Ah bah non là, ça ne fonctionne plus.

 Ah oui, saperlipopette. Du coup ça me donne une idée : faisons un article comparatif entre les deux séries, une sorte de versus. On peut même l’appeler : le Versus !

 Mais attends, ce n’est pas ce que RasAlGhul avait déjà fait ? Un Versus ? Entre Grandfathered et The Grinder ? On n’est pas en train de lui piquer son idée ?

– Mais non.

 Mais si. Et ça, des dialogues avec soi-même, c’est aussi un truc qu'il fait souvent ! On est en train de tout lui voler !

 Peut-être, peut-être, mais cela reste des bonnes idées. Et puis comme ça, on vérifiera s’il lit les articles des autres. Smiley qui sourit.

 Hein ?

 Sourire.

 Ah ok.

 

Voilà, voilà.

Avant de commencer le combat, on va reprendre au début. Alors c’est quoi ces séries, au fait ? Ça racontait quoi ?

Eh bien, The Strain raconte l’invasion de New-York par des « vampires » de nos jours. Vous avez noté les guillemets ? Très bien. En effet, ces « vampires » n’entretiennent que très peu de rapport avec les descendants de Dracula. Il s’agit plutôt de créatures chauves, grognantes, libérant une sorte de grosse langue par un trou dans leur cou et répandant la contagion par des petits vers qui s’infiltrent sous la peau. Qu’ils craignent la lumière du jour est le seul point commun qu’ils ont avec les vrais vampires (expression bizarre s’il en est).

Pour lutter contre ce fléau, un vieux prêteur sur gage ancien déporté, un dératiseur, une cyber-criminelle et deux médecins se lient. La fine équipe que voilà.

 

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Ceux qui peuvent sauver l'humanité selon The Strain.

 

Z Nation prend place dans un univers post-nuke où les zombies ont envahi la planète et où des bandes armées y font la loi. Murphy est l’espoir de l’humanité. Seul humain mordu par des zombies et ayant survécu, son sang contiendrait l’anticorps qui pourrait stopper le Z virus. Problème, le sauveur de l’espèce humaine est un balochard ex-taulard et roublard.

Une équipe de guerriers se forme pour l’accompagner de force en Californie où un laboratoire l’attend.

 

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Ceux qui peuvent sauver l'humanité selon Z Nation.

 

Voilà pour les synopsis.

La première saison de la création de Guillermo Del Toro avait séduit avec sa mythologie et son atmosphère gothique, avant de péricliter en mi-parcours et s’écrouler totalement. Situations grotesques, remplissage grossier, dialogues ampoulés avaient eu raison de ma patience. C’est bien simple, je me serais cru dans The Walking Dead (et bif, un tacle gratuit).

Z Nation avait, au contraire, tout contre lui (Asylym + Syfy quand même) mais son énergie, son humour potache et sa débilité assumée en avait fait une des bonnes surprise de l’année précédente.

Maintenant que vient de s’achever leurs deuxièmes saisons, l’heure du verdict a sonné. Laquelle s’est améliorée ? Laquelle n’a pas compris les erreurs passées ? Laquelle a passé triomphalement cette toujours difficile épreuve ? La réponse dans ce comparatif en onze points.

Ready ?

Fight !

 

 

L’esthétique

 

The Strain est très classique dans sa mise en scène. Par contre, dès que les strigois apparaissent, la série dévoile de magnifiques scènes gothiques, avec lumière bleue, rouge ou verte. On sent clairement la patte de Guillermo, qui n’est peut-être pas le plus grand scénariste du monde, mais clairement pas un manche lorsqu’il s’agit de créer de belles pages d’épouvante. Sans contestation possible, le point fort de The Strain.

 

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The Strain.

 

À Syfy, on n’a pas d’argent. Pas pour les séries en tout cas. Le budget de Z Nation est donc cheap et les producteurs ont dû penser qu’en surexposant la lumière, les spectateurs ne s’en apercevraient pas. Conséquence : image d’un blanc dégueulasse, délavée et moche au programme.

 

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Z Nation.

 

Verdict : Point donné à The Strain.


The Strain 1

Z Nation 0

 

 

Atmosphère, atmosphère

 

La force de Z Nation est incontestablement son côté western apocalyptique, un monde où le combat pour survivre est incessant. Entre les hordes de zombies (les Zunami) et les gangs armés, on ne sait plus où donner de la tête. Par contre, le réalisme n’est pas de mise : les personnages peuvent prendre une balle dans le ventre et courir comme un lapin l’épisode suivant, les munitions sont en option infinie et la recherche de nourriture ne semble pas être un problème majeur.

 

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Z Nation.

 

Dans The Strain, l’invasion des vampires n’en est qu’à ses débuts. Mais le souci est qu'elle est à géométrie variable. Selon les besoins des scénaristes, sur certains épisodes, il est impossible de mettre un pied dehors sans se faire attaquer par un monstre, alors que dans d’autres, la vie semble continuer normalement, les gens se promènent tranquillement dans les rues, font leurs courses et vivent comme si de rien n’était. Perturbant.

 

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The Strain.

 

Verdict : Même si tout n’est pas parfait, la continuité de Z Nation lui permet de remporter 1 point.


The Strain 1

Z Nation 1

 

Égalisation de Z Nation ; le match est lancé.

 

 

Enrichissement du background

 

Pour The Strain : l’Occido Lumen, un livre capable d’enrayer l’invasion, les Anciens (trois vampires millénaires aux desseins assez troubles), un vampire gladiateur-samouraï-ninja, des vampires-enfants-aveugles-araignées (oui, oui), et quelques flashbacks (dont la genèse du Maître), les auteurs envoient le pâté et la mythologie s’enrichit considérablement en début de saison. Puis, à mi-chemin, tout se calme et The Strain capitalise sur ses acquis pour terminer.

 

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The Strain.

 

Pour Z Nation, on a droit à des zombies radioactifs, des zombies-plante servant à cultiver de la Z-weed, mais aussi une sorte de gang de méchants, les Zéros, au look ringard. Plus enthousiasmant, Murphy devient papa et se laisse de plus en plus tenter par sa nature morte-vivante.

 

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Z Nation.


Verdict : The Strain a fait un véritable effort sur ses premiers épisodes pour accroître son background, contrairement à Z Nation, et mérite donc le point.


The Strain 2

Z Nation 1

 

The Strain reprend l’avantage.

 

 

Humour

 

Alors ici, il ne devrait pas y avoir de match, cela devrait être point bonus d’attaque pour Z Nation, comme au rugby. Car, primo, l’humour est le fond de commerce de la première saison et les scénaristes s’étaient fait le challenge de trouver le maximum d’idées à la con (zombie sortant d’un WC le pantalon aux chevilles, ours-zombie). Et deuxio, à part deux ou trois répliques de Fet, The Strain ne prête pas réellement le flan à la gaudriole.

 

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The Scène de Z Nation !

 

Et pourtant, Z Nation se retrouve à court de carburant à mi-parcours, les idées débiles commencent à se raréfier et les sourires se font désirer. Après une scène avec un camembert géant, la série atteint son chant du cygne avec un George R. R. Martin zombifié. Après ce moment dantesque, l’humour va disparaître progressivement, inéluctablement, à mon grand désarroi.

 

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The Strain.

 

Verdict : Match nul entre les deux séries, Z Nation se voit sanctionnée pour l’abandon en cours de chemin de sa connerie, aucun point n’est attribué.


The Strain 2

Z Nation 1

 

 

Nouveaux personnages

 

Qui dit nouvelle saison, dit nouveaux personnages. Pour Z Nation, un bébé zombie bien moche fait une trop rapide apparition, tandis que Vasquez, archétype du beau brun mystérieux et tireur d’élite, mais au final sans grand relief, intègre le crew.

Dans The Strain, un seul vrai personnage incorpore le casting : il s’agit de l’assistante d’Eldritch, la sexy Coco Marchant (ce nom !) interprétée par la craquante Lizzie Brocheré. Personnage fascinant, à la motivation floue (est-elle vraiment amoureuse de son boss ou joue-t-elle un jeu ?), gracieuse, intrigante, ce personnage séduit, fait retenir la respiration et monter mes idées libidineuses.

 

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<3

 

Verdict : Coco, je t’aime (point pour The Strain).


The Strain 3

Z Nation 1

 

Et de 3 ! The Strain conforte son avantage. Cela va être difficile pour Z Nation de revenir…

 

 

Évolution des personnages

 

Pour The Strain, c’est vite vu : à part Eph qui s’est rasé la tête et a repris l’alcool, il n’y a aucune évolution des autres personnages, ils sont restés exactement les mêmes qu’au premier épisode. Comme je suis franc jeu, je dois tout de même signaler que Le Maître a changé de corps, ce qui est plutôt une bonne nouvelle, tant son premier look était, comment dire, un peu gênant (cf annexe 1).

 

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Après / Avant (The Strain).

 

Pour Z Nation, ce serait mentir que de parler de changement radical, mais deux personnages ont bien évolué depuis la saison 1. Murphy, notamment, est devenu tout bleu, arrive à commander les zombies et les humains qu’il mord. De plus, le personnage est de plus en plus attiré par son côté obscur, au point de se demander s’il veut vraiment sauver cette humanité dont il se sent de plus en plus éloigné.

Et, pour le second personnage, glorifions l’intelligence des scénaristes. En effet, Cassandra, dans la première saison, était la caution sexy du show, mais le personnage était interprété par une actrice au jeu assez limité. Pour pallier cela, au fur et à mesure de la saison, le personnage se réduisait à un rôle de potiche quasi muette. Coup de génie : en ce début de saison, Cassandra, mordue par Murphy, devient une créature mi-morte mi-vivante. Cette transformation a le mérite de permettre à l’actrice de se limiter à des grognements et des grimaces, ce qui lui convient totalement. Et Cassandra devient l’incarnation du sexy zombie en mini-short et manteau de fourrure. La voir, la bouche en sang et protégeant toutes griffes et dents dehors son maître fait passer le personnage dans une autre dimension.

 

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Cassandra (soupir).

 

Verdict : Cassandra, ce point est pour toi.


The Strain 3

Z Nation 2

 

 

Invulnérabilité des personnages

 

En claquant en milieu de saison un (très beau) générique façon comics où tous les personnages (gentils comme méchants) étaient représentés, The Strain annonce la couleur : rien ne leur arrivera plus jusqu’au final. Très mauvaise idée, car ensuite les confrontations entre les deux parties perdent tout intérêt. D’autant que les vampires s’acharnent à ne vouloir utiliser leurs langues rétractables que sur les figurants ou personnages plus que secondaires.

 

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The Strain.

 

Dans Z Nation, par contre, à l’image de Tom Everett Scott, promu personnage principal en première saison mais tombé en cours de route, tout le monde ou presque (Doc, Murphy, 10k sont, d’après moi, intouchables) peut tomber à tout moment. Confirmation dans cette deuxième saison qui voit l’équipe de base se réduire de plus en plus, telle une peau de chagrin.

 

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Z Nation.

 

Verdict : Point pour Z Nation.


The Strain 3

Z Nation 3

 

Égalisation de Z Nation ! Quel match de fous !

 

 

Tout de suite, la suite, après cette courte pause publicitaire pour l’excellent article sur la saison 1 de Master Of None.

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Master Of None, une série qu'elle vaut le coup d'être vue, par Nicknackpadiwak.

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Fin des publicités

 

 

Casting

 

Côté The Strain, on a le droit à un casting hétérogène (à part les Boulets), tout le monde fait bien son job, avec professionnalisme et application. Très bien, mais il manque l’acteur en plus.

L’acteur en plus, oui, celui qui porte la série sur ses épaules comme pour Z Nation et Keith Allan qui interprète Murphy. Charismatique, détendu, s’amusant visiblement à jouer les raclures égoïstes, il endosse parfaitement le costume de The Murphy et tient la série sur ses épaules.

 

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Murphy (à droite).

 

Mention aussi très spéciale à Kellita Smith (Warren), leader sexy et bad-ass.

 

Verdict : Même si certains acteurs ont un jeu un poil léger (Cassandra, 10k), Z Nation remporte le point grâce à The Murphy’s show !

 

The Strain 3

Z Nation 4

 

Z Nation prend l’avantage ! Incroyable.

 

 

Boulets

 

Eph-Nora-Zack, les boulets de The Strain, les trois rois mages des boulets. Allez, je ne vais pas mentir, Eph s’en sort mieux dans cette saison. Sa chute dans l’alcoolisme, aussi peu subtile soit-elle, le fait devenir un peu plus dark, ce qui lui donne un peu plus de consistance.

Nora, par contre, est une plante verte, totalement transparente, voire ridicule lorsqu’on l’arme d’un sabre. Ce non-personnage nous plonge dans un dédale d’ennui dès que sa frimousse apparaît à l’écran. La série essaye bien de lui donner un peu de chair, en lui consacrant des flashbacks, mais elle n’échappe pas à son destin : le charisme d’une chaise au milieu d’un salon.

 

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Nora dans The Strain.

 

Zack, le fils d’Eph, n’échappe pas au prototype du gamin qui tire la tronche, tout le temps, sans arrêt (coucou Carl). Bon, on peut le comprendre vu les circonstances, mais voilà, il ne sert à rien. Tellement inutile à l’intrigue que les scénaristes le mettent hors champs des épisodes complets, prétextant une sieste. Genre le gamin qui dort des journées entières. Malin.

 

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Zack boude (The Strain).

 

Le boulet de Z Nation s’appelle Citizen Z. Bloqué dans son bunker, isolé de tous, il sert de deus ex machina lorsque les scénaristes ont besoin de lui, pour aider à guider la troupe vers l’objectif. Et contrairement à la première saison où les scénaristes se sentaient obligés de lui donner du temps d’antenne, ils sont ici sans pitié et n’hésitent pas à la dégager de la majorité des épisodes. D’ailleurs, un des rares épisodes où il a un peu de présence est comme par hasard le plus mauvais de la saison. Révélateur.

 

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Citizen Z (Z Nation).

 

Verdict : Pour avoir eu le courage de se débarrasser de son épine dans le pied, le point revient à Z Nation.

 

The Strain 3

Z Nation 5

 

Z Nation a maintenant 2 points d’avance, quel retournement de situation incroyable !

 

 

Le déroulement de la saison

 

Difficile de comparer les deux séries tant le format les oppose : feuilleton pour The Strain contre stand-alone pour Z Nation. Mais on va les comparer quand même.

Z Nation s’était lancé un pari fou : quinze épisodes. Et tel le mauvais coureur de marathon, la série a tout donné dans ses huit premiers épisodes, avant de donner d’inquiétants signes de fatigue, pour finir sur les rotules et tirant la langue. La faute à une disparition progressive de son humour, qui fait rentrer la série dans le rang de la moyenne des productions Syfy. Pas un compliment.

 

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Z Nation.

 

The Strain a aussi du mal à tenir la distance (comme l’année dernière), et la deuxième partie de saison fait du surplace. Mais la chute de qualité est moins vertigineuse que l’an passé.

 

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La légendaire scène de torture à l'ananas (The Strain).

 

Verdict : Grosse faute pour Z Nation de nous imposer cette longue dégringolade vers l’indigent. The Strain récolte le point, même si ça reste pas toujours très convaincant.

 

The Strain 4

Z Nation 5

 

 

L’épisode final

 

D’un épisode final, on attend qu'il envoie du lourd, de la tension à gogo, du cliff haletant et des personnages qui restent sur le carreau.

Z Nation l’avait bien compris en première saison, mais a perdu la recette en route et propose une horrible confrontation gunfight avec les horribles Zéros, ces horribles méchants de pacotille et leurs masques de carnaval pour enfants. Seul le sort de Murphy, promu à devenir le fossoyeur de l’humanité, fait ouvrir une paupière. Une vraie catastrophe…

 

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Les trop bien nommés Zéros (Z Nation).

 

The Strain s’en sort plus beaucoup mieux, avec une scène d’enchères pour acheter le Lumen pleine de tension. Et surtout, la série a conscience de ses faiblesses et prend le courage d’en régler le compte (pas définitivement mais presque). C’est inespéré, beau, jubilatoire et j’ai failli pleurer de bonheur. Big up, les gars.

 

Verdict : Pour ça, The Strain mérite deux points !

 

The Strain 6

Z Nation 5

 

Et but compte double ! Fin du match !! Quel retournement de situation, on se croirait dans Friday Night Lights ! The Strain l’emporte sur le fil, au terme d’un match exceptionnel. Z Nation a totalement craqué en fin de partie (à l’image de sa saison) et s’est vue dépasser par son concurrent.

 

 

Bilan

 

Donc victoire de The Strain. Félicitations. Et je peux dire que c’est mérité, tant la série a su fructifier les qualités de sa première saison. Même si elle a une nouvelle fois terminé en roue libre, le niveau n’a pas sombré cette fois-ci et c’est avec intérêt que j’attends la troisième saison.

 

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Fet content (The Strain).


Z Nation, par contre, a beaucoup déçu. Bien démarrée, la série a oublié en cours de route son côté déconnant. Et c’est ballot, parce que c’était sa force. Conséquence, la fin de saison a été éprouvante à regarder car Z Nation, sans son humour, ressemble à une production standard de Syfy, c’est à dire fauchée, clichée et sans passion. Quelle déception…

 

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Warren pas contente (Z Nation).

 

 

Annexes

 

Annexe 1 : Le Look « spécial » du Maître, en première saison.

 

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Hum, hum....

 

 

Annexe 2 : Erratum - Une erreur s'est glissée involontairement lors de l'édition des photos pour le paragraphe sur les boulets ; voici la bonne image de Nora.

 

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Nora (The Strain). Désolé pour l'erreur.

L'auteur

Commentaires

Avatar RasAlGhul
RasAlGhul
Un jour tu m'as dit que tu adorais mon humour. Aujourd'hui, je te rends la pareille. Je regarde aucune des deux séries mais je me suis bien marré. T'es vraiment fier de Master of None dis donc. Ron Swanson te dirait que tu deviens ridicule. Seulement aux enterrements et devant le Grand Canyon qu'il dit le Monsieur. Bon, en revanche. C'est Ras. Puis Al. Puis Ghul. Attaché. Pas de "h" qui se balade un peu partout. Mais, à part ça, rien à dire :D

Avatar Marie-Louise
Marie-Louise
"Bon, en revanche. C'est Ras. Puis Al. Puis Ghul. Attaché. Pas de "h" qui se balade un peu partout." Merde, c'est de ma faute, désolée. Je ne l'ai pas vu à la relecture. :/ Étourderie réparée. :) (En même temps, z'avez vu l'état de vos pseudos, sérieux ? Entre Nicknackpadiwak et RasAlGhul, c'est gratiné ! :p)

Avatar nicknackpadiwak
nicknackpadiwak
Belle anticipation ml, car j ' aurai mis la faute sur ton dos :) Sinon ras faut qu' on écrive un article en commun un jour, ça peut donner.

Avatar Marie-Louise
Marie-Louise
Ah ouiiii, j'ai hâte que vous fassiez ça !! Mes deux préf réunis ! (Comment ça, ça fait fangirl ? J'm'en fous et j'vous emmerde.)

Avatar RasAlGhul
RasAlGhul
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