Better Call Saul
Six ans avant de croiser le chemin de Walter White, Saul Goodman, connu sous le nom de Jimmy McGill, est un avocat qui peine à joindre les deux bouts, à Albuquerque, au Nouveau-Mexique. Pour boucler ses fins de mois, il n'aura d'autres choix que se livrer à quelques petites escroqueries. Chemin faisant, il va faire ...
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Terminée | Américaine, US | 45 minutes |
Aventure, Drame, Crime, Drama, Comédie | AMC, NETFLIX (FR) | 2015 |
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Avis sur l'épisode 1.05
Avis neutre | Déposé le 13 mars 2015 à 10:30 |
Un épisode plutôt poussif dans son humour, et un peu trop patchwork pour être totalement convaincant. L'ensemble manque de cohésion et de rythme. Le plus faible depuis le démarrage, à mes yeux. |
Avis favorable | Déposé le 10 mars 2015 à 18:16 |
L'humour est sans doute la chose au monde la plus subjective. Même si je comprends les réticences exprimées ici, moi je suis désolé par avance, mais des toilettes qui parlent en faisant des références sexuels, ben ça me fait rire. Et c'est même exactement ce qu'il manquait à la série, des toilettes qui parlent. Mieux encore, la série parvient à réaliser quelque chose qu'elle n'avait pas réussi à faire jusque là (et que Breaking Bad n'a que rarement accomplit) : m'émouvoir. Il s'agit de deux scène en fait : celle où Saul / McGill prend l'argent de la petite vieille et la discussion avec son frère lorsque ce dernier sort de l'hôpital. Les deux scènes se recoupent parfaitement. Dans la première, on perçoit tout le mauvais côté de Saul qui n'a aucun scrupule (même si son visage marque de l'hésitation) à prendre l'argent là où il est. La seconde montre son autre face, le Saul super-héros qui dessine son costume blanc. Et je trouve que mine de rien, la série a jusque maintenant pleinement réussi cette balade entre ces deux côtés, par petites touches et nuances pour faire complètement apparaitre le personnage dans ce qu'il est : un humain. En fait, la série manque sans doute d'une petite étincelle, ce petit quelque chose indéfinissable qui fait basculer les show. Et je pense que ce manque sera comblé par l'épisode suivant, par ce Mike Centric. Pour la première fois donc, j'ai assez hâte. |
Avis neutre | Déposé le 06 mars 2015 à 17:40 |
Par le soin porté aux détails, la mise en scène travaillée et les dialogues ciselés, en regardant cette épisode j'ai pensé aux frères Coen. Mais malheureusement, pas les frères Coen des géniaux The Big Lebowski ou Fargo, mais ceux de Inside Llwyn Lewis ou A serious Man, les auteurs de films visuellement beau mais chiants et superficiels. Et surestimés. Clairement, je ne connaîtrais pas BB, BCS serait, pour moi, une série sympa qui ne casse pas des briques. Ses changements d'atmosphère (comédie, film noir) me perturberaient et je lui reprocherais sa façon d'avancer en tâtonnant, son rythme boiteux et de ne proposer aucun début d'intrigue ou d'enjeux à long terme, après 5 épisodes. Et si je continue à regarder, sans enthousiasme, c'est uniquement pour les réminiscences du parfum de Breaking Bad et parce je sais comment ça finit (ou commence) et veut savoir comment les séries vont se raccorder. Mais ça va pas durer mille ans.... |
Avis neutre | Déposé le 05 mars 2015 à 22:47 |
Bah moi je me suis fait chier .... mais chiiier a un point pas possible !! Ennui total ... Sérieux l'épisode il raconte quoi ?? - Saul commence a avoir des clients grâce a sa pub mais il s'avère qu'il tombe que sur des chelous .... l'autre avec ses billet genre monopoly, l'autre avec ses chiottes sexuelles et la vieille avec son testament tout flingué ... bon apparement ça en fait rire certains a un niveau internationnal limite a se taper le cul par terre .... oh les gars au grand max elle te font sourire les scènes mais de là a avoir un fou rire pendant 20 minutes .... mais bon chacun ses délires ! - Ensuite on a la partie Chuck et sa maladie bidon où encore une fois on a de la chance de vivre en france quand on voit les keufs la bas qui sortent leur taser pour un rien .... bon déjà ce personnage depuis le début je trouve qu'il flingue la série, le rythme, il sert a rien quoi. Et qu'il se fout de la gueule du monde j'avais compris depuis longtemps .... bref - Et enfin on a la partie la plus intéressante, celle sur Mike qui m'a intrigué et annonce du mieux pour la suite ! Donc si je résume et biensur c'est mon point de vue : Saul avec ses clients ahahaha c'est marrant vite fait mais au final ça avance pas les choses, Chuck et sa maladie de merde ARRETE DE FAIRE LE MITO TU FLINGUE LA SÉRIE , et Mike aaaah ba voila ça c'est intéressant .... même si ça dure 2 minutes !! Bref tout ça pour dire que la série ne raconte pas grand chose, je vois aucune intrigue et mon intérêt pour la série commence a faiblir !! J'ai quand meme cette impression qu'on se fout un peu de nous quoi, genre " vous avez aimé BB alors cette série est pour vous, les trois premiers épisode on reste dans l'esprit BB avec en guest Tuco et une tension de malade, ça risque de plaire au fans et ainsi repéter les audiance .... MAIS a partir de l'épisode 4 on oublie BB, et oué mon gars la série s'apelle BCS faut pas déconner quand meme, Walter White est mort faudra t'y faire T'A CRU QUOI QU'ON ALLAI FAIRE UN BB BIS ... non on va se concentrer sur Saul et sa petite vie de merde et son frère psychopathe ... eeeeh où tu va le fanatique de BB, non reviens, bon ok Mike va aparaitre un peu + et je te promet qu'on parle de drogue dans les épisode a venir ... " Woiiiinn jsui partie dans un délire mon gars !! Bref |
Avis favorable | Déposé le 05 mars 2015 à 14:57 |
La première partie est vraiment drôle pour permettre a la seconde d'installer l'intrigue de la suite tranquillement. C'est bien géré, c'est toujours très propre et ça fait grandement plaisir de retrouver Mike dans son rôle. Je suis d'ailleurs content qu'il ne fasse pas que partie du décor et je me prend a rêver qu'on croise un jour l'oncle Tio voir même Gus. BCS pourrait être le prétexte pour raconter de nombreuses histoires autour de Breaking Bad ce qui rendrait la série mère d'autant plus profonde. La gageure était de fabriquer un produit qui s'emboite parfaitement dans la série mère et si l'on continue dans cette direction, BCS pourrait bien s'avérer autant indispensable que BB. |
Avis favorable | Déposé le 04 mars 2015 à 16:07 |
Après un premier quart d'heure particulièrement réussi qui nous fait parfois bien rire et qui ne nous laisse aucun doute sur le but de l'épisode, ce dernier retourne progressivement au calme plat et c'est l'ennui total. Kim se montre plus présente mais sa relation avec Saul ne semble pour l'instant avoir aucun intérêt vu qu'elle ne le confronte jamais. Les éclaircissements sur la condition de Chuck n'ont rien de bien surprenants et en 5 épisodes le personnage n'aura pas bouger d'un pouce, heureusement cet épisode-ci aura au moins permis de lancer ce qui semble être la source de conflits dans cette intrigue : le fait de l'interner ou pas. Je ne râlerais pas trop sur l'aspect docu aujourd'hui. C'est vrai qu'encore et toujours ils ont cette volonté de reprendre tout pile là où le précédent s'était arrêté (ici, avec Chuck et le journal) qui donne une sensation de long, très long film où peu d'audaces dans la narration sont effectuées. Mais je ne m'attendais pas vraiment au changement de point de vue Saul-Mike et j'ai trouvé ça assez malin. Evidemment ça aurait pu être bien mieux exploité... Encore une fois dommage de voir que ça ne corrige pas le problème de lenteur de la série vu que le montage de la vie de Mike est franchement pas trippant pour une fin d'épisode. Les scènes sont trop longues et certainement pas judicieuses pour "introduire" le cliff. Qui n'a rien de trippant lui non plus... Bref, dommage quoi. Encore un épisode avec un problème de rythme et de manque d'un conflit, d'un enjeu ou d'une construction plus intéressante. Ca reste à un niveau correct. |
Avis favorable | Déposé le 04 mars 2015 à 09:31 |
Le ressort comique est à nouveau très bien utilisé comme l'ont dit mes deux camarades ci-dessous. Les trois clients que va voir Saul dans l'espoir de trouver sa poule aux oeufs d'or donnent trois scènes excellentes. Mais j'ai moins apprécié les scènes suivantes, notamment en raison du fait que j'avais bien cerné le problème de Chuck depuis le début, donc pas de surprise, et tout est prévisible. Et j'arrive pas à m'attacher à lui. Beth en revanche beaucoup plus, et j'ai hâte de savoir pourquoi on ne l'a jamais vue dans BB, est-ce parce qu'elle s'est barrée ou juste qu'elle ne bosse pas avec Jimmy/Saul ? Concernant la fin de l'épisode, la partie sur Mike comporte une grosse facilité qui m'a beaucoup dérangé, comme par hasard Jimmy lui file sa carte et le lendemain il se fait serrer par les flics. Bref encore une fois y'a de bons trucs et des moins bons trucs mais on voit toujours pas où ça veut réellement en venir, quels sont les enjeux, et on est à la mi-saison. C'est frustrant. |
Avis favorable | Déposé le 04 mars 2015 à 02:31 |
Putain. Un quart d’heure après que ça ait commencé j’ai envoyé un message à taoby pour lui dire que j’étais en train de taper par terre de rire. J’ai reçu à peu près la même chose au bout du même laps de temps quand il l’a regardé. Je crois que ça résume tout, et que tout tourne atour de ces chiottes. Vraiment on atteint des sommets là. La gueule du type quand Saul lui dit que seuls les crazy basterds du Pacifique pourraient être intéressés, mon dieu… C’est un fou rire rare qui m’a mis de bonne humeur pour la suite de l’épisode, déjà que la scène du séparatiste m’avait beaucoup plu. La tête de Saul quoi. On a vraiment été gâté par ce que j’appelle les personnages tertiaires. La scène de la vieille aussi. La gestion comique des silences et leurs durées, la réplique sur les avocats moitié idiots moitié escrocs puis le rire gras derrière c’était fort. Vince Hazanavicius. La scène de l’hôpital était bonne, bien écrite et éclaircissant une des parts d’ombre qui régnait sur la série. La médecin met Saul face à une réalité intéressante le concernant, au delà de cette simple situation : essaie-t-il d’aider ou est-il complice ? Mike dirait que si tu ne l’aides pas tu seras complice de ton suicide (vince si un de tes dialoguistes a solfège tu m’as vu), mais cette problématique est plus complexe qu’il n’y parait. Et puis vu que je suis désormais complètement impliqué pour chacun des personnages, ça m’a fait plaisir d’en savoir plus sur Chuck. Ce qui a le plus piqué ma curiosité, c’est que Saul dise à la médecin que son frère est plus intelligent qu’eux deux réunis. Cette donnée liée à sa condition peu banale peut accoucher d’un beau bébé. De même, j’apprécie beaucoup Kim et son alchimie avec Jimmy vaut son pesant d’or. On la croirait réelle. Comme quoi, des bons dialogues et de bons comédiens, ça donne parfois des trucs très beaux. On cerne également de mieux en mieux le dingo Hamlin et sa veste Hamlindigo. J’aime bien, quand ça va péter ça va être bon. Bon concernant la fin je suis assez d’accord avec taoby. Le problème, c’est que le climax intervient au bout d’un tiers de l’épisode grosso modo. Puis la séquence Chuck. Après y a plus de montée. Des scènes cools, mais pas de montée en pression comme systématiquement dans Breaking Bad par exemple. Du coup petite frustration car le meilleur était passé et on s’en rend compte à mesure que le temps passe. Cependant, ne nous méprenons pas. Les scènes ne sont pas ratées, que ce soit celle à la maison de retraite où il manquait juste ce cher Tio, ou bien Jimmy qui dessine son costume de Saulman, c’était sympa. Même Mike j’ai trouvé ça malin. J’attendais fortement la première rencontre avec le background de Mike comme je l’avais exprimé, je dois admettre que c’était inattendu et pas con. On suit Saul qui le croise, puis on reste sur lui et on récupère le point de vue de Mike pour la première fois de la série au cinquième zode. J’aime le parti pris de nous montrer une séquence de deux trois scènes à l’image de cette période de sa vie : quasi inertes, silencieuse et donc ennuyeuse. Jusqu’à ce que quelque chose se passe. C’est une façon de nous dire, finalement : « Bon, on ne vous a rien montré jusqu’ici donc regardez ce que vous avez manqué : bah rien », puisqu’il ne se passe rien. Puis il se passe quelque chose, « et ça vous allez le voir. ». Ce que j’aime aussi, à l’image de ce qu’on a pu voir dans BB, et je pense d’un amour immortel, c’est lorsque Gilligan et son crew nous parlent avec des regards. Est-ce une bonne façon de ressituer où en est Mike en peu de temps ? Je trouve, amenée de façon surprenante. Est-ce une bonne fin d’épisode ? Je ne pense pas. Le rythme baissait déjà depuis un moment donc une séquence casse-vitesse de six-sept minutes comme cell-ci n’était pas la plus adaptée. Un dernier coup de pression ou quelque chose de plus transcendant niveau réal aurait été plus adéquat à mon goût. Celle-ci je l’aurais mise un peu plus tôt voire pourquoi pas en pré-générique. J’ai eu un peu de mal là, mais pas à cause de la séquence en elle-même. Mais bon, la série joue constamment avec les codes, je pense qu’il y a un vrai parti pris sur le rythme et le format des épisodes qui est de se distancer de Breaking Bad. C’est plus rythmé, plus rapide et plus drôle (ça influe aussi sur le rythme ça ne s’écrit pas de la même façon), mais il n’y a pas de vrai changement de rythme ou d’accélération sur la fin. Ca explique peut-être les remarques de certains sur l’aspect docu de la série ; je ne vois pas le rapport avec un docu mais je suis d’accord sur le rythme et le format parfois un peu déroutants. Ou surprenants, c’est selon. Pour ma part, c’est la deuxième fois de suite que l’épisode se termine par une séquence loin d’être ma préférée de l’épisode et surtout que je n’aurais pas mise en dernière. Ni l’une ni l’autre ne sont pour autant mauvaise. Tout cela ne me dérange donc pas plus que ça mais à voir si ça perdurera. Bref, cet Alpine Shepherd Boy, seul titre ne se finissant pas par un o visiblement, sera d’autant plus facile à retenir qu’il restera pour moi comme l’épisode des sex-chiottes parlantes pour enfants. Et c’est déjà beaucoup. Better Call Saul, m’impressionnant déjà par sa constance, m’a offert le petit truc en plus cette semaine. Je n’aurais jamais cru que ce serait par le comique qu’elle ferait la dif, mais tant mieux, j’aime être surpris. A la semaine prochaine. |
Avis favorable | Déposé le 03 mars 2015 à 22:52 |
La série continue de me convaincre. Certes ce serait mentir d’affirmer que l’épisode est de qualité constante. La dernière partie certes prometteuse pour la suite, et amenée un peu trop mollement en abusant de certains effets de style. Mais bon pour le reste ça va être compliqué pour moi d’être négatif. Vu que cet épisode m’a foutu le plus gros fou rire depuis.... Depuis quand dans une fiction ? Non je vous assure, le coup du chiotte qui parle, et dont il ne faut pas en parler à Playskool et qui balance des punch line toutes les plus incroyables les unes que les autres à des gamins en bas age. Je suis partie dans un fou rire qui a bien duré 20 minute, non stop. J’en ai pleuré putain. Pleuré. Du coup je ne vais pas être très objectif. Alors juste j’ai aimé la gestion de la story line de Chuck, on sait désormais à quoi s’en tenir. J’aime beaucoup le cast féminin, vraiment. Rhe Seehorne campe un personnage que je pense assez prometteur et l’alchimie avec Bob fonctionne nikel. Et puis le quotidien de Saul. (Bordel le séparatiste) c’était du kinder bueno. J’étais sceptique sur la capacité de la série à me faire rire. Me suis bien trompé. Bref impatient de voir la suite. Une association Saul – Mike est plus que d’actualité, les emmerdes devraient revenir via les Salmanca et il va falloir s’affranchir du cabinet d’avocat. J’ai envie de voir où ça va nous mener. Et si c’est pour à chaque fois m’envoyer un fou rire pareils. Je vous dis à Mardi prochain. Du coup je surnote, mais putain ce fou rire. Je vous assure... |
Globalement, moyennement convaincue. J'ai un peu de mal à adhérer à la série et aux différents personnages, mais ça m'avait fait exactement la même chose lors de la première saison de Breaking Bad. C'est aussi ce qui me fait persévérer.
Alors pourquoi mettre un avis favorable, me direz-vous ? (et vous auriez raison, car vous êtes malins) et bien tout simplement parce que je suis persuadée que la série a un putain de potentiel. La scène des chiottes qui parle en est la preuve, idem (dans un autre genre) pour la scène de l'hôpital.
Je sais que je suis à ça de réellement apprécier, donc j'attends patiemment (et j'espère ne pas me planter).