Plutôt sympathique comme toujours. Ce que j'ai réellement "apprécié" dans cet épisode, c'est la détresse et la solitude de Hank. Pour la première fois de la série, il se retrouve vraiment seul, sans Karen (qui voit quelqu'un d'autre) et sans Becca (qui ne voulait plus de lui dans sa vie). C'est bien maitrisé en ce qui concerne cette partie, ça prouve qu'il est allé trop loin et qu'il est arrivé à un point de non-retour. Les Runkle m'ont fait rire, même si le fait que Charlie soit sûrement le père est prévisible. La série n'a jamais fait dans les twists de dingue non plus. J'ai bien apprécié la scène avec Mia, un peu gâchée par la suivante où il se fait piéger un peu trop facilement à mon goût. Mais déjà qu'il était le vilain petit canard, ça ne va pas s'arranger de si tôt.

Moi, je l'ai plutôt bien aimé cet épisode ! Alors certes, il y'a de grosses ficelles, mais à mon sens, ça a toujours été comme ça dans Californication.

Par contre, pour te répondre Bleak, Hank ne souffre pas de fatigue particulière, mais était juste hyper mal car il a le vertige. Même si cette partie était un peu grosse, je l'avoue.