Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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Avis sur l'épisode 13.18
Avis favorable | Déposé le 27 mars 2014 à 18:33 |
Le sérial poursuit son bonhomme de chemin en gardant toujours cette double casquette d'un épisode de mythologie autour de Karn et des Seigneurs du Temps avec le Doc, l'Elixir et Morbius, et d'un épisode plus conventionnel de cette ère, fortemment inspiré par une oeuvre culturelle (ici, Frankenstein) et mêlant science, horreur-fantaisie et ambiance gothique d'une main de maître. C'est aussi la confirmation du courage incroyable de Sarah Jane Smith qui se retrouve aveugle mais qui cherche toujours à aider. Le passage où elle tente de se réconforter est vraiment touchant avec pas grand-chose. Il y a un truc si naturellement cute avec ce perso et son tandem avec Four, c'est une alchimie de dingue. Le tout tandis que nous découvrons encore plus les mystères de la planète Karn avec un cliff finalement pas si surprenant que ça : il suffit de regarder le titre de l'épisode. Néanmoins c'était plutôt bien mis en scène et le scénario est propre et toujours assez intrigant. Il y a cinq personnages à tout casser et ça tient merveilleusement bien la route. L'ambiance continue d'être travaillée, notamment sur la scène du bûcher ("The barbecue's off" était une très bonne réplique d'ailleurs) et il y a des éléments toujours très sombres qui aident bien à dramatiser l'histoire et qui collent au contexte de gothic-sci-fi horror. Par exemple, Sarah aveugle, une idée tout de même plutôt osée et originale pour exploiter une compagne, qui avait déjà réussi à être assez active durant cet épisode.
Il est intéressant de voir un épisode qui n'attend pas le dernier moment pour se faire rebeller la créature contre son créateur, avec ce personnage de Condo, assez bêbête mais attachant.
En bref c'est toujours du bon Doctor Who. Pas exceptionnel non plus, certes, le déroulé est classique, mais ajouter un Seigneur du Temps renégat, Morbius, dans l'équation, permet tout de même à l'épisode de prendre une tournure encore plus intéressante. |
L'enfer du passage où Sarah Jane devient aveugle. Et qu'elle doit traverser la distance entre les deux seuls endroits qui existent sur cette planète. Tout, de toute façon n'est composé que d'allers et retours de personnages à qui on trouve des prétextes pour faire faire du chemin.