Pas l'épisode du siècle mais franchement plutôt sympathique. Le coup du chèque à un million de dollars c'est assez facile, autrement l'épisode est assez drôle et porté par le personnage de Diana que j'ai beaucoup aimé. Il sert à appuyer encore une fois que Don est au fond du trou.

Si certaines parties m'ont intéressé, j'en ai franchement trouvées d'autres beaucoup trop longues. Je pense notamment à celle de Peggy et de la photographe, qui m'a pour le moment laissé de marbre.

Le plus intéressant reste bien entendu Don, qui en plus d'être seul sentimentalement (son histoire avec la serveuse m'a beaucoup touché. Elle joue extrêmement bien et est très juste), l'est aussi chez lui. Il est désormais, pour reprendre la chanson de M, en "tête à tête, avec lui même". Sa solitude sonne le glas de la fin de la série, je pense.

Un épisode sous le signe de la légèreté pour parler de choses graves. Je remarque que Peter supporte mal le changement d'époques : son look est à chaque apparition plus ridicule...

“Jiminy Christmas! You think you’re going to start your whole life over again, but what if you never get past the beginning?”

"Already?"

"Which part?"