Mr. Robot
Elliot est un jeune programmeur anti-social qui souffre d'un trouble du comportement et de dépression chronique. Il est ingénieur en cyber-sécurité le jour et hacker justicier la nuit. Elliot doit faire un choix lorsque le mystérieux chef d'un groupe underground de hackers le recrute pour détruire la société ...
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Terminée | Américaine | 50 minutes |
Drame, Thriller, Crime, Drama | USA Network, France 2 | 2015 |
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Avis sur l'épisode 1.05
Avis neutre | Déposé le 03 décembre 2016 à 18:46 |
L'ennui avec les passages d'infiltration dans les films et les séries, c'est qu'il y a toujours plein de facilités scénaristiques (*tousse* Time Heist *tousse*). Et cet épisode de Mr. Robot n'échappe pas à la règle. C'est censé être un bâtiment impénétrable mais ils font entrer les gens comme ça ? Le mec est censé être un informaticien milliardaire et c'est José le guide touristique qui le fait entrer comme ça ? Sans véritable vérification ? Il n'y a aucune caméra dans les couloirs ? Les techniciens laissent les portes ouvertes à l'arrière des chiottes ? Sinon, pour le reste, je suis assez de l'avis de Guismo. Même si je serais moins extrême tout de même... Ça commence à devenir assez mou, en effet... Surtout Elliott. Pas que ses réflexions intérieures me gênent, au contraire. J'ai même beaucoup aimé son dernier discours sur les choses qui se font lentement, sur des décennies, par succession de plusieurs personnes sur plusieurs générations. Mais sa façon de réagir en mode 2 de tension lorsqu'il interagit avec les autres commence à devenir quelque peu irritant... Surtout qu'au final, il s'avère que cet épisode n'aura pas servi à grand chose puisqu'il s'avère que leur infiltration soit devenue inutile suite à la réaction des chinois. Bref, un épisode de remplissage pas très bien fait... |
Avis favorable | Déposé le 02 janvier 2016 à 21:10 |
Épisode d'infiltration dans une forteresse en se servant des faiblesses humaines pour accéder aux lieux clés, concept très sympa qui soutient bien toute la première moitié de l'épisode. J'aime aussi beaucoup le personnage de Shayla, sa relation avec Elliot, et comment tout est brisé en fin d'épisode par le cliff. Le personnage de Tyrell signe ici probablement sa meilleure scène car ses faiblesses sont plus mises à jour, et qu'il est mieux introduit dans le récit. Seule l'intrigue d'Angela est finalement assez moyenne, avec une image de fin au symbolisme un peu trop évident : "Angela part faire un footing et s'arrête à un croisement entre deux chemins, ne sachant lequel le prendre". Ca va on a compris qu'elle avait un dilemme à faire quant à son père... Heureusement le speech de fin d'épisode le compense largement et, à l'instar du speech qu'Elliot fait au gardien de sécurité, est extrêmement noir : « My father picked me up from school one day, and we played hooky and went to the beach. It was too cold to go in the water, so we sat on a blanket and ate pizza. When I got home, my sneakers were full of sand, and I dumped it on my bedroom floor. I didn't know the difference. I was six. My mother screamed at me for the mess, but he wasn't mad. He said that billions of years ago, the world shifting and the oceans moving brought that sand to that spot on the beach, and then I took it away. "Every day," he said, "we change the world," which is a nice thought until I think about how many days and lifetimes I would need to bring a shoe full of sand home until there is no beach, until it made a difference to anyone. Every day, we change the world, but to change the world in a way that means anything, that takes more time than most people have. It never happens all at once. It's slow. It's methodical. It's exhausting. We don't all have the stomach for it. » |
Avis favorable | Déposé le 28 août 2015 à 09:54 |
Excellent épisode encore une fois, qui brode sur le thème classique en fiction de l'infiltration dans un bâtiment, en prenant le contrepied de ce qui se fait d'habitude. La sociopathie d'Elliott est un boulet qui manque de faire rater le plan à de nombreuse reprise. J'ai toujours des réserves sur le personnage de Wellick en revanche. Je me méfie des séries qui entretiennent artificiellement le mystère sur certains personnages, c'est souvent gratuit au bout du compte. On verra bien. Quant aux cadrages de cette série ! Bon sang ce que c'est beau, et osé ! Toujours filmer les personnages comme s'ils étaient écrasés par le bâtiment en jouant sur la géométrie froide des lignes architecturales et en relégant les personnages dans les coins du cadre... Je kiffe. Pauvre gardien du bâtiment quand même... |
Avis favorable | Déposé le 06 août 2015 à 10:46 |
J'ai une nouvelle fois adoré cet épisode, notamment la scène d'infiltration dans l'entreprise. Le plan qui ne marche pas, l’ambiguïté de Wellick, et puis un retour à la case départ. En parallèle, l'histoire avec la blonde dont j'ai oublié le nom qui revient chez son père, et Fernando qui sort de prison. Beaucoup de fils se croisent, avec une vraie tension et intelligence. |
Avis neutre | Déposé le 30 juillet 2015 à 20:42 |
Elle commence a me fatiguer cette série sérieux .... et blablabla et blablabla .... et vas y qu'il se passe walou, même Eliot que j'aime bien commence a me souler avec sa mollesse .... qu'est -ce que ça m'énerve dans les série ou meme dans les films quand un gars on lui pose une question et il met 3 plombe a répondre et commence avec ses monologues dans sa tête alors que l'autre il est là il attend comme un con et limite apres qu'il est eu sa réponse 10 ans apres il continue comme si rien ne s'était passé .... Bref tout ça pour dire que la série commence a tourner en rond, c'est lent, c'est prévisible, c'est chiant a mourir quoi !!! |
Très bel épisode - aucune scène douteuse pour une fois. L'infiltration est certes facile mais mémorable dans son approche et divertissante (il y a eu des incohérences plus gratuites auparavant). Le dîner-opération séduction avec Tyrell est un bon délire cynique plutôt bien joué. Et enfin peut-être le meilleur monologue d'Eliott dans la séquence finale, séquence à la tristesse sublimée par un doux remix d'un morceau de Tangerine Dream. Côté réalisation c'est toujours aussi soigné que ce soit les cadrages ou les plans d'intérieurs. Seul point noir que j'approuve : les silences-monologues exagérés d'Eliott dans les intéractions mais bon c'est pas nouveau.