The Marvelous Mrs. Maisel
La Fabuleuse Mme Maisel
Dans le New York de 1958, Miriam “Midge” Maisel a tout ce dont elle peut rêver : un mari parfait, 2 enfants et un appartement élégant dans l'Upper West Side. Mais sa petite vie parfaite prend un virage inattendu lorsqu'elle se découvre un talent pour le stand-up.
Terminée | Américaine, US | Pas de durée |
Comédie dramatique, Historique, Comedy, Drama, Comédie, Drame | Amazon | 2017 |
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Avis sur l'épisode 5.02
Avis favorable | Déposé le 02 mai 2023 à 12:25 |
Le faux docu en intro m'a pris de court. Clairement, la série n'avait plus grand chose à raconter depuis un moment, mais elle acte désormais que tout va se passer exactement comme nous l'imaginions pour Midge. La série aurait clairement dû jouer plus tôt la carte de l'ellipse et exploiter ce qu'elle décrit dans ces quelques minutes au lieu de nous ennuyer avec toutes ces intrigues secondaires inutiles : la mafia des marieuses, le divorce des parents de Joel, le retour de Jack Pearson le temps d'une scène (vraiment un mystère cette scène), l'énième crise de couple d'Abe et Rose, le nouveau mec de Zelda... Les premiers pas de Myriam en scénariste sont sympas, mais c'est un peu tard désormais qu'on a quasiment toutes les cartes en main. Au moins peut-on se réjouir de voir que tout ne lui réussit pas immédiatement, mais évidemment cela ne saurait tarder... Il reste donc 2 sujets intéressants à traiter : l'impact de la mort de Lenny Bruce sur la carrière de Myriam (mais encore faudrait-il que le personnage réapparaisse avant la fin de saison) et évidemment la dispute Midge/Suzie, clairement ce qui sera le coeur émotionnel de la fin de série (tout du moins je l'espère). Au vu du titre de l'épisode, peut-être la série abordera la question de la survie quasi impossible d'une amitié professionnelle féminine au sein du partriarcat ? On peut se permettre de rêver... |
La série flingue tout son suspense dans un improbable flash-forward de scène d'ouverture. C'est assez dingue même la manière dont c'est évacué par-dessus la jambe, après nous avoir fait languir pendant quatre saisons. Tout dans cette série donne l'impression d'une vaste improvisation.
Reste seulement les scènes dans le Gordon Show, véritable nœud émotionnel de la série. Tout le reste (surtout les parents d'Ethan) n'est qu'une succession de scènettes toute plus fatigantes les unes que les autres.