Le chemin de cette saison 2 sera long.....
The Morning Show
Portrait sans concession des coulisses d'une matinale télé aux États-Unis, où l’ego et les ambitions génèrent des tensions au sein de l'équipe. Parmi ces personnes qui aident l'Amérique à se réveiller, deux femmes tentent de tirer leur épingle du jeu dans ce milieu impitoyable.
En cours | Américaine, US | Pas de durée |
Drama, Drame | Apple TV+ | 2019 |
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Avis sur l'épisode 2.04
Avis neutre | Déposé le 17 décembre 2021 à 23:07 |
Mouais. Je suis partagée. Je me suis ennuyée durant cet épisode. Je dois avouer que la sexualité de Bradley, je m'en fous un peu. Ca tombe vraiment comme un cheveu sur la soupe, et j'ai peur que ça n'apporte aucun intérêt à la saison. Je suis d'accord avec elle sur l'idée qu'elle n'a pas à correspondre à une étiquette, et voilà qu'on la fout en plein dedans. Je dois avouer que le reste de l'épisode, entre jeu de pouvoir et hypocrisie, me lasse. Autant, cela avait un intérêt lors de la première saison, autant cela semble franchement poussif ici. |
Avis neutre | Déposé le 29 novembre 2021 à 14:12 |
J'étais circonspect et curieux face à l'ellipse de début de saison, mais après quelques épisodes je constate qu'elle a été mal gérée : pourquoi faire sortir des personnages en fin de saison 1 pour les faire réapparaître après un épisode la saison suivante ? Quel est le sens de ce un pas en avant/un pas en arrière ? Bien sûr c'est utile pour résoudre hors champ des conflits, comme dans cet épisode avec Alex et sa fille qui redeviennent proches. Aussi, pourquoi continuer une intrigue avec Mitch alors que le personnage n'a plus rien à dire ? Sans doute que la série a prévu quelque chose pour la fin de saison, mais c'est très laborieux alors que sa conclusion fin de saison 1 était parfaite (et puis ça nous aurait épargné la scène gênante de la "féministe extrêmiste" dans un épisode précédent). (sinon dommage que le mot bisexuelle ne soit pas prononcé une seule fois concernant Bradley) |
Avis favorable | Déposé le 18 octobre 2021 à 09:11 |
Mis à part la bisexualité de Bradley qui tombe comme un caillou dans la soupe (d’autant que cela sert l’intrigue et offre un laborieux et poussif cas de conscience à la journaliste), on retrouve l’excellence d’écriture de la série, après 3 épisodes de mises en place entre jeux de dupes et ambitions freinés, dents longues et frustrations. |
Effectivement, l'intrigue sur la sexualité de Bradley est très maladroite car elle passe quand même le concept de fluidité tout en voulant l'exploiter, mais en même temps on sent la volonté de lui coller une étiquette... C'est un peu confus, et ça ne sert personne.
Autrement, et mise à part l'Italie (comme depuis le début), j'ai trouvé l'écriture vraiment bonne car elle allie les individualités avec les problèmes collectifs en plus de montrer les manigances diverses et ce n'est pas chose facile ; pour moi c'est vraiment la qualité principale de la série.