très bon épisode ! .

Ca m'emmerde un peu de devoir donner mon avis après celui de Moolfreet alors je serai bref. De plus, tout a été dit, comme d'hab.

J'ai trouvé cet épisode globalement très bon, évidemment ça démarre plus vite que les autres saisons, j'imagine que c'est parce qu'on entre dans la dernière ligne droite ou que la saison va être malheureusement tronquée.

L'omniprésence de Mike dans l'épisode n'a pu que me réjouir et chacune de ses lignes étaient justes et puissantes.

Walt en Michael Corleone, Skyler en Kay, ca me va bien.

Assez impressionné par la vitesse de Hank et ses petits copains, ca promet du grabuge rapido.

Ca sent effectivement le retour des Mexicanos et j'espère revoir Tio très prochainement.

Je mets "que" 15 car on sait que ca va ne faire que monter, et parce que ca parlait Allemand au début et ça je ne supporte pas.

Par ailleurs, quelqu'un a des nouvelles de Marie la pute mélomane?

On m'a réclamé, je viens justifier ma note totalement outrancière de 13/20.

Là où je rejoins tout le monde, c'est que ça met beaucoup moins de temps à se mettre en place qu'à l'accoutumée, et c'est un bon point. On est dans le vif du sujet et c'est pas plus mal.

En revanche, j'ai eu plus de mal avec certains passages qui ont été appréciés ici. Par exemple les deux premières scènes : j'ai trouvé ça très confus, très désorientant. Esthétiquement, au niveau de la réalisation c'est bien foutu, mais dans le contenu j'ai trouvé ça léger.

La première scène est pour moi très dispensable, du point de vue de l'épisode. Peut-être (probablement même) que ça aura son importance par la suite, mais pour l'heure je ne sais trop que faire de cette introduction. Comme le dit alan, c'est très dispensable.

Ensuite, introduction de Lydia. Le problème, c'est qu'on traite le spectateur comme s'il était censé la connaître. Alors c'est immersif, mais ça porte à confusion. J'ai passé un moment à me demander si on avait déjà vu cette femme ou pas, pour au final pas trop comprendre et en ressortir frustré.

Breaking Bad c'est une série qui a une identité incroyablement forte. C'est très louable, c'est ce qui en fait sa richesse, mais pour moi ça peut s'avérer être une faiblesse : on veut tellement faire dans l'esthétique, la montée en tension, le non-dit, que par moment, on en dit trop ou on n'en dit pas assez, les deux cas étant avérés dans les deux premières scènes. Une réplique m'a fait tiquer dans ce sens : lorsque Mike dit à Lydia, qui souhaite se débarrasser des 11 hommes pouvant les faire tomber, il lui dit que c'est la réalité, qu'on n'est pas dans un film. Ca va totalement à l'encontre de l'identité de la série, qui se veut scénarisée, stylisée, soignée dans l'excès, et ça m'a fait rire.

J'ai du mal également à voir la cohérence chez Walter. On l'avait laissé en fin de saison 4 sur son "I won", qui pour moi engendrait la véritable transformation en Heisenberg. On le retrouve, on dirait qu'il est Heinsenberg depuis 3 ans, expérimenté, vicelard, "parrain". Ca va trop vite pour moi dans l'évolution psychologique, puisque je pensais que la première partie de la saison serait justement de développer ce caractère chez Walt.

Mais ça a le mérite de nous offrir des scènes sympathiques et fortes. L'effondrement de Jesse quand il retrouve la cigarette par exemple (qui vient conclure une scène plus pénible, celle de la recherche, mais ça c'est moi, j'adhère pas du tout à cette réal en fast-motion, ça me gonfle), c'est très fort, et ça vient nous rappeler une énième fois le talent d'Aaron Paul.

Mais les scènes les plus puissantes sont à l'actif de Mike : l'interrogatoire avec Hank est tout simplement génial, à chaque fois qu'un personnage avance, l'autre le renvoie dans ses 22 et fait un pas en avant. On aurait presque l'impression de finir sur un statu quo, alors que pas du tout. La deuxième scène découle de celle-là, c'est celle où Mike se trouve chez Lydia pour l'assassiner. C'est aussi très fort, mais là aussi ça va trop vite. Impossible de comprendre le cheminement de Mike l'amenant à accepter finalement l'offre de Walt...

La partie avec Skyler m'intéresse bien moins, la dernière scène ne m'a pas semblé aussi intense que le "I forgive you", mais elle ouvre d'excellentes perspectives.

Je pense que cette saison va s'avérer grandiose, sincèrement. Mais ce n'est pas pour cela que je vais surnoter cet épisode qui m'a semblé relativement inégal et plutôt calme, même si on a eu quelques belles scènes et confrontations. D'où mon 13.

Comme il ne manque rien niveau émotion et intensité et que ça se paie le luxe d'être parfaitement maitrisé tout en nous gratifiant d'une scène d'anthologie, je ne peux pas mettre moins de 15. Les trois points de plus, c'est pour la clarté de l'intrigue, la maitrise des dialogues et la scène de fin.

rien a dire, l'épisode est captivant et bien mis en oeuvre.

encore une fois un aperçoit la mise en place de petite pièce d'un puzzle qui vont prendre toute leur importance plus tard ( comme la capsule).

je comprend pas pourquoi les gens après avoir donne un très bon commentaire sur l'épisode qu'ils viennent de voir donnent des note plutôt basse.

Encore un épisode mené de main de mettre pour breaking bad. Je suis réellement ravis de voir ce trio s'instaurer et je me dis que ça va donner forcément quelque chose de détonnant pour cette dernière saison.

C'est fou comme le chara design est léché et si finement mené.

Vivement la semaine prochaine.

Ca va en effet beaucoup plus vite que les autres saisons et c'est pas plus mal quand on sait que c'est la dernière, ça montre que Giligan sait où il veut aller. Je me pose de plus en plus la question de comment tout ceci peut finir.

Sinon je me demande où vont-ils chercher des gueules pareils. Le mec de la scène d'intro est fascinant et dégage un charisme incroyable, Chow a une gueule à réveiller les morts, et Mike... Mike c'est un peu la réunion de tous les bad boys d'Albuquerque sur un seul visage, c'est fou.

Bref tout ce beau monde donne lieu à des scènes épiques, c'est beau, c'est grand, c'est Breaking Bad. Mais on a l'habitude.

J'ai trouvé cet épisode vraiment bon, enthousiasmant et magnifiquement réalisé (personne le relève ?)

OSS a raison la série nous avait pas habitué a allé si vite, mais ça lui réussit plutôt bien.

Tous les personnages secondaires sont absents, et tout converge pour faire avancer l’intrigue, et lancer définitivement les grands axes de la saison.

C’est une idée génial d’avoir centré l’épisode sur Mike, le perso est franchement fantastique et mérité d’avoir son épisode. Toutes ses scènes, (a part peut être comme le dit Alanparish celle avec la nouvelle fournisseuse, que j’attends de voir un peu plus avant de me prononcer) sont brillantes de chez brillante, (Putain de dialogues et d’ambiance chez l’ami Chow où dans la salle d’interrogatoire).

Walter me donne envie de dégeuler et j’ai de plus en en plus l’impression de voir Satan (sans déconnez vous l’avez vu faire la vaisselle, ou essayer d’exciter et de faire culpabiliser sa femme en même temps ?)

Et je pense que Mike résume bien le truc en une phrase, Walt est devenu une vrai bombe à retardement, vaut mieux ne pas être là quand ça va péter.

L’association des 3 comme je le pressentais, va faire des putains d’étincelles.

Quand à la DEA, hallucinant comme elle bombarde.

J’en avais parlé dans la saison 3, le combat de K1 et entre Mike et Hank aura bien lieu.

Bref je ne vais pas répéter ce qui a été dit mais on a une intro génial, une intrigue et des dialogues au dessus, une psychologie passionnante, une réal d’enfer et un héros qui à force, devrait bientôt se retrouver comme nouvel ennemie du Dark knight...

Comme me l’a fait très justement remarqué Cad, La question de savoir si un épisode de BB est bon où pas ne tient presque plus la route, la vrai question c’est combien au dessus de 15 ?

C’est un début de saison que je trouve idéal pour le moment, pourvu que ça dure.

PS : Mista, ça sent un peu le retour des mexicanos avec l’arrivée de la fournisseuse ex ami de gus non ?

PPS : Putain plus que 6 épisodes…

Un gros coups de frein par rapport a la semaine dernière. on s'arrête, on reprend son souffle et on repart dans un atmosphère plus grave, plus terrible, plus sale.

L'épisode est vraiment bien réalisé, je l'ai ressenti comme une sorte d'étau qui se resserre scène après scène autour de notre chimio-chimiste chef de bande. Oppressant.

Quelques longueurs au milieu entre les scènes avec la police ou au diners. Mais rien de frustrant.

ça fait plaisir de retrouver ce bon vieux Mike aux affaires comme l'on dit mes prédécesseurs. La dernière scène est un summum glauque et écoeurant comme BB sait le faire.

Wow, dès le deuxième épisode ça envoie du lourd.

Quelle réal de folie, vraiment. Et du début à la fin. L'intro, in deutsch bitte, en plus de faire comprendre à mista notre teaser de la semaine dernière dans la langue de Eichmann, me fait penser que la série a repris sa bonne habitude de nous foutre une intro de dingue un peu décalée à chaque fois.

Le fait que l'épisode soit centré sur Mike apporte indéniablement du rythme. La scène chez le chinois je sais pas si elle est plus tarantinienne ou breakingbadesque, en tout cas c'est énorme. Les dialogues sont toujours très juste, notamment lors de l'interrogatoire.

La scène chez Jesse avec montage accéléré comme on en voit régulièrement dans BB était très sympa. Par contre je le sais bien que Aaron Paul est excellent, pas besoin d'un gros RAPPEL tous les deux trois épisodes, dans ce contexte ça m'a paru un poil exagéré.

Et les scènes de Skyler au lit montrent bien, comme la série l'a souvent fait avec Jesse, que Walt est le seul monstre qui n'éprouve aucune culpabilité ni remord alors que ceux qui l'entourent souffrent et ne s'y font toujours pas. La dernière scène, poignante mais pas de la même façon que celle de la semaine dernière, rappelle une nouvelle fois que Walt se ment à lui-même. Bon c'est bien écrit et très bien joué mais ils sont gentils on commence à comprendre. Il s'agirait pas qu'on en ait une à chaque fois.

La DEA avance au rythme des pas de Uncle Hank c'est à dire de plus en plus vite et j'annonce qu'il courra très bientôt le 100m en moins de huit secondes.

Bref, je crois qu'on peut dire qu'après deux épisodes les enjeux sont déjà bien posés et que la saison est plus que lancée.

Ça démarre beaucoup plus vite que d'habitude je trouve.