J'ai préféré cette partie à l'autre. L'idée des dessins sur le visage était bien trouvée et j'aime beaucoup The Silence. La fin avec la grossesse d'Amy est vraiment très intrigante.

Très bonne deuxième partie, même avis que le précédent épisode. le seul problème est que la saisin ne tiendra pas toutes les promesses faites par ce double épisode.

Fabuleuse relation entre River et le Doctor, toute la puissance de l'ironie dramatique. La scène du baiser, avec la fameuse phrase que c'était son dernier.

Des bonnes relations entre les persos. Mais je n'ai pas trop envie qu'ils jouent trop sur les doutes d'Amy entre qui choisir.

DOCTOR: We are not fighting an alien invasion, we're leading a revolution.

Une deuxième partie qui accomplit tout ce que la première partie avait amorcé, en laissant tout de même tout le gros du gâteau pour la saison à venir. En effet, niveau intrigues lancées, on est servi : grossesse d’Amy, femme au cache-œil, la Fillette, les Silence, qui est River ?, sans oublier la mort du Docteur, et cette régénération finale dingue ! Il faut souligner le fait qu'à ce stade, les seules personnes qu'on a vues se régénérer dans la nouvelle série, sont le Docteur et le Maître. Bref, c'est une avalanche de questions entremêlées qui nous laissent tout bonnement bouche bée.

L'épisode est toujours aussi créatif et trollesque que le premier. La scène d'introduction est une immense mascarade qui résume en fait bien tout l'effet "le show pour le show", mais tant qu'on y croit, qu'est-ce que c'est malin ! Chaque apparition de Nixon pour faire avancer le scénario plus vite et permettre au Docteur de s'en aller sans aucun souci parmi l'armée, la NASA et autres, avec la petite musique patriotique, c'est aussi savoureusement amusant. L'épisode est tout aussi drôle voire encore plus que le premier (la vanne avec Canton à la fin), et tout aussi blindé d'idées. Typiquement, on a beau assister à de la mise en scène pure et simple, soit parce que le scénario nous ment, soit avec le montage, la scène d'introduction est juste dingue. Du spectacle à l'état brut.

La construction de l'épisode est généralement excellente, et le scénariste a laissé l'épisode respirer avec quelques scènes décontractées et très drôles par moments. Le simple fait qu'on débute l'épisode avec une ellipse de trois mois qui a déjà permis au Docteur de réfléchir à un plan pour se débarrasser de tous les Silence, c'est intéressant et cela permet d'intervenir plus vite dans le vif du sujet. La scène dans le TARDIS avec Canton et l'hologramme Silence est également très maligne pour expliquer le concept parfait de ces ennemis. La résolution est quant à elle juste fabuleuse, une des plus intelligentes que le show ait jamais fait, qui regroupe tout ce qui fait une très bonne conclusion : c'est savoureusement mijoté, c'est crédible, cela utilise l'arme des ennemis contre eux, c'est par le biais d'un écran et donc assez méta, ça nous touche.

En bref, toutes les qualités de The Impossible Astronaut se retrouvent dans Day of the Moon. Sans avoir ce petit éclair de génie qu'avait la première partie dans son premier acte, Day of the Moon a le mérite d'avoir de son côté une plus large palette de scènes. Notamment par les scènes d'action à vous couper le souffle qui ouvrent l'épisode ou qui le concluent. Mais aussi par ce détour à l'orphelinat nous rappelant à quel point Steven Moffat est un maître dans le genre du Doctor Who horrifique. Il nous livre ici un détournement à la sauce Who de l'"American Horror Story" américaine. L'épisode tire d'ailleurs extrêmement bien partie de son contexte, que ce soit avec l'explication de la paranoïa de Nixon à la fin (relativement subtile, Doctor Who n'étant pas un show faisant de la politique, mais avec tout de même quelques messages clairs).

Et entre toutes ces idées et scènes fabuleuses, l'épisode prend le temps de solidier plus que jamais l'amitié inégalable de Eleven et Amy, de mettre un terme définitif au triangle amoureux entre Amy, Rory et le Docteur. D'autre part, l'épisode donne à River sa scène la plus triste jusqu'à maintenant (le baiser), qui illustre parfaitement à quel point son histoire est plus tragique que drôle, et qui fait écho à ce qu'elle disait à Rory dans la première partie. Entre ça et les multiples cliffhangers, jamais une saison ne s'est ouverte avec autant de mystères et d'intérêt pour la suite. Et puis il y a cette scène finale dans le TARDIS où tout le monde démarre joyeux et où une phrase du Docteur ("You only live once") suffit à rappeler aux Ponds et à l'audience que le pire reste à venir. Les Ponds et le Doc ici connaissent chacun un secret sur l'autre qu'ils ne révèleront pas tout de suite, ce qui est assez génial pour lancer la saison. Et enfin, cette régénération surprise finale vient ascéner le coup de grâce.

Probablement la meilleure ouverture de saison de l'histoire, et sans aucun doute l'épisode le plus ambitieux de la série à mon sens à ce stade, celle qui la fait vraiment évoluer vers quelque chose de plus grand que tout ce qui a été fait précédemment.

2ème partie d'épisode légèrement en dessous de la précédente, notamment à cause d'un début un peu confus. L'idée des marques sur les bras est excellente et très réussie.

Et encore un cliffhanger énorme qui permet d'imaginer des tas de théories.

Je voulais mettre 15 mais la qualité de l'épisode diminue à la fin.

Le début était très agréable surtout le moment ou ils sont enfermés dans la prison du Docteur.

Je doutais de la méchanceté des monstres dans le premier épisode mais la je dois avouer que c'est clair.

L'idée que l'on ne se souvienne plus d'eux et assez remarquable. (Dommage que leur physique et leur façon de parler soit si désagréable).

L'épisode est vraiment excellent. Le mystère est vraiment là et les Silences sont vraiment effrayants. Par contre, j'ai vraiment du mal à tout comprendre, que ce soit River, l'enfant à la fin, Amy qui soit enceinte, ... Alors j'imagine pas s'il y a encore des enfants de 7-8 ans qui regardent.

Bref, c'est vraiment génial, les idées sont très bonnes, l'épisode passe très vite. Cette sixième saison commence très bien.

Toujours aussi bon que la première partie, mention spéciale à l'excellente scène d'intro qui était juste géniale. Le reste de l'épisode est bien rythmé comme il faut. J'adore particulièrement les scènes ou Nixon se la pète devant tous les fonctionnaires qu'il croise, et sa dernière scène avec le doctor.

Par contre, les Silence m'ont pas fait flipper comme les Weeping Angels, loin de là. Ils me font plus penser à des grands frères rageux d'E.T. entrainés par l'empereur Palpatine.

Au fait, c'est qui cette femme pirate ? Je trouve qu'elle ressemble vachement à River Song, mais pourtant, on voit que c'est pas la même actrice ...

Par contre, il ne fait que confirmer davantage mes théories précédentes, et sur ces détails précis, les rouages de la saison crèvent de plus en plus les yeux, bien qu'avec la scène finale, j'ai 2, 3 doutes quand même.

Attention, possible (et je pense, probables ^^) spoilers :

J'ai tout de même un peu de mal à avaler le fait que le Doctor ait pu se taper Amy (je n'ai plus aucun doute sur l'identité de sa petite fille) dans le dos de Rory et qu'il se soit ensuite tapé à sa propre fille (si c'est le cas, c'est the ultimate perv après M. Garrison de South Park). Eleven a beau être bien plus fourbe et violent que Ten (et même Nine je trouve), ça m'étonnerais qu'il soit allé jusque là, ça rendrait le personnage détestable, et de manière irréversible (en tout cas pour moi), et ce n'est je pense, ni le but, ni dans l'intéret de la série.

Le truc, c'est qu'à part une excuse un peu dans le même style que le fait que Rose puisse être absorbée dans le Vide parce qu'elle a traversé les dimensions, ou que Jack soit devenu immortel car le pouvoir du time vortex l'as résuccité à travers Rose, (Du type le bébé à baigné dans le jus du Tardis pendant toute la grossesse donc il a absorbé le vortex du temps ou une astuce dans ce genre), je vois pas comment on pourrait éviter l'inceste et l'infidèlité ...

Putain c'était bon.

Non seulement les ennemis sont particulièrement réussis, mais en plus particulièrement terrifiant.

Tout l'épisode est mené tambour battant et le final est de toute beauté. Il souligne particulièrement le caractère du nouveau Docteur que l'on aurait pu croire indentique au 10ème mais qui est à l'opposé sur un point capital: il n'a pas peur de la violence.

Bon j'ai longuement hésité avant de noté cette épisode, étant donné que je l'ai regarder directement après le précédent (oui je les regarde dans l'ordre).

Et en faite, même si je me pose encore plein de question sur toute les pistes qui nous on été donné au cours de ces deux épisodes, avec presque aucune réponse. En effet on voit un Silence en 2011, "la salle des commandes" des silences cherchais un pilote dans le S05E11.

Bah comment dire... il était juste génial, et j'adore avoir des épisodes qui s’enchevêtre de cette manière. Et ses 2 épisodes ne pourront pas être sans conséquence sur tout le reste de la saison (ou sinon j'en serai fortement désappointé.)