Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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6.04 - L’Âme du TARDIS
The Doctor's Wife
Le Docteur détecte un signal de détresse d'un Seigneur du temps au confins de l'Univers. Alors qu'il débarque avec Amy et Rory sur un astéroïde désolé, l'âme du TARDIS disparaît... Le Docteur va vite comprendre que lui et ses amis sont en danger et que l'appel de détresse est un leurre pour Seigneurs du Temps...
Diffusion originale : 14 mai 2011
Diffusion française :
14 mai 2011
Réalisat.eur.rice.s :
Richard Clark
Scénariste.s :
Neil Gaiman
Guest.s :
Suranne Jones
,
Michael Sheen
,
Elizabeth Berrington
,
Daniel King
,
Adrian Schiller
,
Paul Kasey
,
Louise Bowen
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 25 juin 2011 à 18:13 |
Doctor Who a toujours fait appel à des scénaristes de renom dans chacune de ces saisons, pas totalement étranger au show. Ici, c'est Neil Gaiman, grand fan de la série, qui s'y colle. Et, y a pas à dire, il fait le job. Doctor who est une série extrêmement difficile à manier pour un scénariste. Elle a son propre univers, ses propres personnages implantés depuis longtemps et ses propres codes, vieux de près de 50 ans. On peut, alors,avoir la tentation de faire n'importe quoi (Helen Raynor, si par hasard, tu me lis, je te salut bien) ou de rendre une copie assez passable, voir correcte. Ce "Doctor's Wife" se situe à un tout autre niveau. Il fallait à vrai dire, une bonne grosse paire pour faire ce que Neil Gaiman accomplie comme prouesse ici. Il casse tout, il déconstruit tout et brise le rêve de milliers de fans en répondant, précisément, aux multiples questions qu'il se sont toujours posées : le Tardis a-t-il plusieurs pièces ? Pourquoi n'obéit-il quasiment jamais au Docteur ? Comment le Docteur a-t-il récupéré le Tardis ? Il va même juste qu'à sous-entendre, au détour d'une phrase, comme ça l'air de rien, que les Times Lord peuvent changer de sexe. Neil Gaiman remet tout à plat et secoue la fan-base en livrant un épisode d'une beauté plastique irréprochable, d'un scénario magistral et d'un méchant grandiose (Putain, Martin Sheen quoi !). C'est le chaos dans un univers si codifié, l'anarchie comme modèle établit. Mieux qu'un épisode parfait. Un épisode historique. |
Avis favorable | Déposé le 14 juin 2011 à 21:37 |
Un scénario du grand Neil Gaiman, Suranne Jones en matérialisation du Tardis, un rythme rapide, l'épisode devrait nous emballer et pourtant je suis légèrement déçu de l'ensemble. Peut-être suis-je en train de devenir blasé ? En tout cas, la partie comique est très réussi et l'univers rappelle Neverwhere du même auteur par certains aspects. |
Avis favorable | Déposé le 05 juin 2011 à 16:39 |
Des personnages baroques, grotesques (dans le bon sens du terme), hauts en couleurs mais dans un contexte très sombre. Une relation du Docteur avec son Tardis qui est juste géniale et très érotisée. Superbe épisode. |
Avis favorable | Déposé le 15 mai 2011 à 19:20 |
un épisode qui no permet de mieux comprendre l'histoire du docteur et de son tardis la relation qui les unis cette saison promet de grandes choses |
Avis favorable | Déposé le 15 mai 2011 à 00:56 |
Un très bel épisode, qui met en avant la part sombre du Docteur et sa solitude. J'ai trouvé que l'univers créé pour l'occasion était très original, rempli d'idées excellentes. |
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La semaine dernière, je n’ai pas eu le temps de faire une critique, et je n’ai donc pas pu exprimer mes inquiétudes quant au final. Je voyais effectivement mal comment celui-ci aurait pu offrir le lot d’épique que l’on exige de tout final, tout en liant les évènements de la saison 6 entre eux afin d’offrir une vraie conclusion, cela en un seul épisode de 45 minutes. Moffat a voulu, pour des raisons qui me restent totalement mystérieuses, couper avec la tradition du double épisode final alors que cette saison était certainement celle qui en aurait le plus nécessité. C’est donc inquiet que j’ai lancé l’épisode, conscient du talent du bonhomme, mais également bien au courant de tous les faux pas dont il était capable. Alors, final réussi ou conclusion foireuse ? Je suis moi-même tiraillé.
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La vie est pleine de surprise. Par exemple jusqu’à hier, j’étais absolument certain que ma cuisinière avait quatre feux de taille différente, or il s’avère que deux d’entre eux sont de taille identique. Vous vous imaginez mon extrême étonnement face à ce coup de théâtre que me réservait le destin. Et bien là c’est la même chose : je me mets à considérer la saison 6 d’une manière bien différente depuis quelques épisodes. Je la croyais parfaite, elle s’avère en fait bien moins maitrisée que ce que je pensais, surtout lorsqu’on la compare à cet épisode.
Bon épisode, fort drôle et bien fichu.
Le fait d'avoir mis le Tardis dans un corps humain est vraiment une bonne idée et amène ici de très bons échanges avec le docteur. Pour la première fois, ils peuvent se parler et on a vraiment l'impression d'avoir affaire à un couple.
La partie Amy/Rory dans le Tardis est également bien foutue et particulièrement angoissante.
Reste un petit je ne sais quoi qui m'empêche de mettre une note plus haute à cet épisode. Quelques répliques qui tombent un peu à plat je pense, ce genre de choses.
L'épisode n'en reste pas moins très bon.