Image illustrative de Doctor Who
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Doctor Who

Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par une femme ou un homme. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...

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En cours Anglaise, GB, CA Pas de durée
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique BBC One, France 4 2005
13.19

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Image illustrative de l'épisode 11.01 - La Femme qui venait d'ailleurs

The Woman Who Fell to Earth

Ryan Sinclair découvre un étrange appareil en forêt, qu'il montre à son amie Yasmin Khan, agent de police. Il reçoit un coup de téléphone de sa grand-mère Grace et son mari Graham : une forme tentaculaire flottante est apparue dans leur train, à l'arrêt. Tandis que Ryan et Yasmin se portent à leur secours, une femme chute du ciel et traverse le plafond du train sans une égratignure...

Diffusion originale : 07 octobre 2018

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Diffusion française : 07 octobre 2018
Réalisat.eur.rice.s : Jamie Childs
Scénariste.s : Chris Chibnall
Guest.s : Sharon D. Clark , Samuel Oakley , Jonny Dixon , Amit Shah , Asha Kingsley , Janine Mellor , Asif Khan , James Thackeray , Philip Abiodun , Stephen MacKenna , Everal A. Walsh , Samuel Oatley , Sharon D. Clarke , Everal Walsh

Tous les avis

Avatar Mmaginère Mmaginère
Rédacteur
Avis défavorable Déposé le 27 mars 2022 à 22:13

L'épisode est plus que moyen : la Docteure est pas mal et sauve l'épisode, les personnages secondaires sont vides,

Spoiler

la série décide en plus de tuer la plus intéressante, et l'intrigue longue et pas ouf avec le méchant en carton ...


Avatar elpiolito elpiolito
Administrateur
Avis favorable Déposé le 15 octobre 2018 à 12:36

Il y a du bon et du moins bon dans ce pilot.

Dans le bon, on peu noter le docteur qui semble retrouver des couleurs après un Capaldi qui finissait par s'enfoncer dans la naphtaline (peu aidé par les derniers scénarios, il faut bien l'avouer). Jodie Whittaker semble avoir bien pris le personnage en main, même s'il restera encore quelques points à ajuster pour finir de lui donner une personnalité propre.

Globalement, la réalisation est bien aussi, il y a de chouettes plans même s'ils sont parfois contrebalancés par du nanar (genre l'espèce de légume vaisseau spatial).

La nouvelle équipe est aussi rafraîchissante : enfin des gens à peu près normaux ! Même si les précédentes compagnons n'étaient pas désagréables, ils étaient toujours spéciaux d'une certaine façon (même Bill). Là, on a l'air d'avoir des gens normaux et je trouve l'idée intéressante, d'autant que, pour le moment, on semble loin de Mickeys.

Dans le moins bon, l'épisode est long et un peu ennuyeux par moment. L'histoire aurait pu être fortement raccourcie. Elle n'est pas non plus super intéressante : c'est plus un scénario bateau qu'autre chose à base de course à l'alien, pas vraiment top. Dommage, ça démarrait plutôt bien avec une scène dans le train très réussie mais ça retombe complètement à plat dès la créature sortie de son bulbe bizarre.

Le nouveau docteur est introduit, Jodie assure avec ce qu'elle a mais il manque une scène iconique, un évènement marquant qui va la définir pleinement, qui va laisser entrevoir son caractère. Là, le docteur se cherche encore et on enchaîne les passages obligés sans autre élément plus démarquant. C'est dommage.

Bref, l'épisode propose des bases intéressantes pour la suite sans pour autant parvenir à les transcender comme avaient pu l'être les précédents épisodes d'introduction des derniers docteurs. A voir si la suite monte en puissance ou reste stagner.


Avatar 4evaheroesf 4evaheroesf
Membre
Avis favorable Déposé le 12 octobre 2018 à 22:10
Spoiler

J'ai été agréablement surpris, l'actrice se débrouille bien dans le rôle.

Les personnages secondaires ont l'air prometteurs et j'attends de voir si la suite confirmera cette impression.

L'intrigue était un peu trop classique mais en général (si j'ai bonne mémoire), je n'en demande pas trop pour le premier épisode d'une saison.

Bilan : Un épisode qui réussit à introduire le nouveau Docteur.


Avatar chevrere chevrere
Membre
Avis neutre Déposé le 12 octobre 2018 à 20:12

De gros problèmes de rythme, un ton pas vraiment clair, comme si Chibnall cherchait à fédérer deux mouvances du show : la série SF cheap qui joue des références et un style plus sombre assez proche de son époque Torchwood.

Sauf que ce pari est idiot et ne prend pas vraiment, la faute à une exposition des personnages qui fait du surplace et oublie d'aller à l'essentiel. Chibnall veut jouer la montre et faire du sériel... bien, mais il ne l'assume pas et propose un méchant dont on sent dès la présentation qu'il ne sera qu'un loner de plus.

Le casting est parfait mais, heureusement que Jodie déchire car elle peine à faire progresser une intrigue qui n'est qu'une mise en route et se montre peu généreux dans sa progression, avec énormément de séquences statiques ou anecdotiques.

Chibnall sait réussir ses opener, Broadchurch 3 en était la preuve indiscutable : lorsqu'il est sur de sa direction, Chibnall sait mettre en valeur les éléments décisifs de son récit et leur donner une portée tragique. Ici, les personnages manquent d'humanité et leur mise en péril laisse un goût terrible de "on en a rien à foutre".

Bref, bon casting, quelques bonnes idées de mise en scène, mais une exposition et une résolution merdée dans les grandes largeurs. C'est fade, cela n'a pas d'ampleur... peut mieux faire.

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Avatar KingMob KingMob
Membre
Avis favorable Déposé le 12 octobre 2018 à 15:22
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Et bien c'était pas mal du tout!

Pour moi (et ce n'est que mon avis) les Docteur on décliné en intéret pendant Matt Smith parce trop cyniques et détachés du monde que ce soit dans leur caractère ou même dans la construction des épisodes voire des saisons. Le fil rouge "Clara" manquait de substance (et cette mort mon dieu...) et la suite a tué tout interet que je portait au personnage du Docteur (le seul épisode dont je me rappelle c'est celui dans le labyrinthe éternel et j'ai pas compris la fin)

(et je viens de me rendre compte que je n'ai aucun souvenir précis de la saison d'après...)

Et aujourd'hui, j'ai retrouvé un Docteur attachant et sympathique, moins cynique et qui me rappelle pourquoi j'aime cette série.

Pour la première fois depuis quelque années, je suis impatient de retrouvé le Docteur


Avatar Tan Tan
Rédacteur
Avis favorable Déposé le 12 octobre 2018 à 01:42

C'étais pas formidable, mais c'était du Doctor Who.

Les codes étaient là, l'ambiance aussi. Jodie Whittaker est parfaite dans le rôle.

Je suis aussi très heureux de l'ouverture des possibles. L’absence de grand mystère a l'ouverture de l'épisode promet une saison plus sérial que sous l'êre Moffat. Et j'en suis content

Redonnez moi du docteur!

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Avatar Koss Koss
Rédacteur
Avis favorable Déposé le 10 octobre 2018 à 20:07

Pas de concept ? Pas de problème avec Jodie aux manettes !

Deux ans pour écrire un remake de Predator, c'est un peu long quand même.

Critique à venir.

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Avatar nicknackpadiwak nicknackpadiwak
Rédacteur
Avis favorable Déposé le 10 octobre 2018 à 13:36

J'avoue avoir ressenti un petit truc, une petite pointe d'excitation au moment de lancer la lecture, ce genre de choses que Marie-Louise ne comprendra jamais.

Pour lancer sa nouvelle ère, Chibnall n'a pas pris beaucoup de risque. Une présentation efficace mais scolaire des nouveaux personnages, un nouveau Docteur tombée du ciel et une histoire simplissime qui n'est qu'une démarquages de Predator 2. Forcément avec ce genre de scénario, cela tire un peu sur la longueur d'une heure et j'ai été deux ou trois fois surpris par des évènements un peu faciles (le Docteur qui crée un tournevis supersonique en 5 minutes, les gentils qui retrouvent les serpents emmêlés en mode easy ou le hors-champ phénoménal qui résolut tout à la fin). Après, il y a des idées sympa, comme l'attaque du train très réussi, le look du méchant avec les dents de ses victimes ou le faut que le Docteur se trompe et pense d'abord à une guerre entre deux races d'ET.

Concernant le nouveau Docteur, elle le dit elle -même, il faut lui laisser le temps de nous découvrir sa nouvelle personnalité, mais comme ça à chaud, elle est pleine d'énergie, gigote beaucoup et parle sans arrêt. Bref, cela ne change pas trop des précédents Docteurs. c'est un peu dommage. Moi showrunner, je créerai un Docteur plus posé, moins fou-fou.

Donc un reprise pas exceptionnel, mais divertissante et qui pose efficacement les bases de la saison. Maintenant, un peu d'inédit est demandé...

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Avatar Gizmo Gizmo
Rédacteur
Avis neutre Déposé le 09 octobre 2018 à 05:57
Spoiler

Je n’ai jamais été un fan de Doctor Who.

Le Doctor Who de RTD était une sympathique et étrange petite série que je prenais plaisir à regarder comme une adorable anomalie, capable du pire comme du meilleur. Mais si je suis tombé amoureux de cette série, c’est grâce à Steven Moffat. Ainsi, à l’aube de cette nouvelle ère, je m’en rends compte désormais : j’ai toujours été un Moffan.

Moffat a, selon moi, des qualités qui se prêtaient particulièrement bien à l’esprit de la série :

- Un sens de la surprise. Moffat embrassait plus qu’aucun scénariste le potentiel dément de la série. On sautait du passé au présent en un claquement de doigts, en faisant un bref détours par le futur pour le thé. Moffat aimait tellement surprendre que lorsqu’il offrait un script « classique », nous en étions presque surpris.

- Un sens de la formule. Moffat savait injecter de la poésie dans son écriture, chaque réplique était écrite soit comme une punchline, soit comme un poème.

- Un sens du propos. Rares ont été les épisodes de Moffat qui ne servaient pas un vrai fond, un propos. La science-fiction était toujours là pour appuyer des idées fortes et universelles ce qui, selon moi, est essentiel pour créer un lien avec le spectateur.

Et pourtant. Et pourtant, Steven Moffat était arrivé au bout d’un cycle, son écriture s’épuisait, et son départ était nécessaire.

Chibnall a, avant même le début de son run, apporté certaines nouveautés essentielles à la survie de la série : le changement de genre du Docteur (preuve que la série peut toujours nous surprendre et aller de l’avant, en dépit des cris de certains fans), une esthétique plus aboutie qui fait plaisir à voir, un changement de compositeur, le retour d’une « Tardis Team » plus proche de la réalité…

Formellement, les décisions de Chibnall étaient nécessaires à la survie de la série, et proposent une nouvelle porte d’entrée à son univers foisonnant. Le problème est que Chibnall n’a aucune des qualités de Moffat, et que je peine à lui en trouver de nouvelles au vu de ce premier épisode.

Chibnall n’a pas vraiment le sens du rythme, et le format 1h est franchement plutôt pénible. Passées les 20 premières minutes plutôt rafraichissantes, le scénario s’enlise dans l’entrepôt jusqu’à un climax longuet et quelconque. Pour un « renouveau », l’ensemble manque clairement de rythme et de surprises. La menace alien, qui rappelle autant l’ère RTD que l’heureusement méconnue Class, tranche avec le style quasi-naturaliste proposé en début d’épisode, comme si Chibnall tentait de mélanger l’eau et l »huile. Moffat parvenait à créer des menaces aliens plus inquiétantes, moins gloubis, plus adaptées à l’ère du temps. Bien évidemment, les ennemis Power Rangers auront toujours leur place dans la série, mais voir cette chose comme première proposition du nouveau showrunner me laisse franchement sceptique sur la suite de la saison.

Mais je peux pardonner une menace à l’esthétique douteuse si elle sert un propos. Chibnall développe vaguement l’idée que « tout le monde est important » (appuyé par l’intrigue de Grace), mais c’est franchement plutôt générique et faiblard, en particulier dans un épisode de régénération qui doit nous donner envie de découvrir le nouveau Docteur. Il y a, avec Thirteen, une volonté évidente de rassembler le plus grand nombre autour d’une figure fédératrice. En dépit de toute la bonne énergie qu’y met Jodie, je la trouve pour le moment assez quelconque, la faute à une écriture très fade. Son discours sur la régénération ou sa confrontation finale font plus office de passages obligés que de véritables moments iconiques pour le personnage. J’ai souvenir que chaque Docteur avait un moment-clé qui caractériserait son ère lors de leur régénération (Ten qui se montrait aussi séduisant que cruel, Eleven qui se donnait en spectacle face aux Atraxi, Twelve qui révélait son trouble moral face au half-faced man), je n’ai pour le moment rien vue de particulier chez Jodie. Elle est sympa, fofolle, inventive, énergique, mais il lui manque encore un élément de caractérisation plus clair qui, je l’espère, viendra rapidement.

En l’état, The Woman Who Fell to Earth ne me semble pas très rassurant sur la direction qu’emprunte Chibnall. Si je peux reconnaître la qualité de ses décisions d’un point de vue formel, je dois avouer que c’est plus le Moffan que la femme qui est tombé de haut avec cet épisode. Prends garde, Chibnall, ton surnom est déjà tout trouvé. Et si je ne suis pas convaincu, je serai obligé de t’identifier sous ton nom de showrunner… The Chibnul.

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Avatar MrZ MrZ
Membre
Avis neutre Déposé le 09 octobre 2018 à 00:32

7 octobre 2018.

Un vent nouveau et pourtant si nostalgique s'abat sur la planète, et Serieall en est le premier concerné : Doctor Who est de retour, tout beau, tout neuf, et surtout complètement différent.

Le retour de Doctor Who, chez Serieall, ça signifie l'arrivée d'une tension (érotique ? Bonne question à se poser) entre tous les membres, Whovians dont le cas est désespéré et insolvable depuis trop longtemps, où très souvent un petit nombre de personnes jouent le rôle de méchants, de Daleks, de gens vraiment pas très gentils. Un peu comme Koss depuis la saison 7.

Et bien cette année, avec un Doctor Who tout beau, tout neuf, mais surtout tout raccourci, le rôle de Koss va peut-être malheureusement me revenir.

En fait, cet épisode n'a pas d'émotions.

Une bonne humeur et un excellent jeu évident de Whitaker ? L'épisode, lorsqu'il a l'occasion de commencer à creuser ce que Le Docteur est et surtout va être, préfère nous dire les choses plutôt que nous le montrer, via la mise en scène ou la direction d'acteur. Un monstre d'une grande dangerosité qui fait un carnage derrière lui ? L'épisode fait les choses à moitié en nous racontant le corps mais en ne nous montrant rien. (L'épisode, sur cette partie là, se retrouvant ainsi complètement le cul entre deux chaises, entre une horreur graphique et une horreur imaginée, fantasmée, comme dans les audios de la saga, coupant ainsi ce qui est provoqué par la scène, mais ne laisse pas le temps pour autant la mise en place de l'imagination) Un sentiment de danger pouvant nettoyer une partie du cast présent ? Un personnage, pourtant quand même creusé, meurt après que le problème soit résolu. Une situation inédite où Le Docteur se retrouve sans rien ni technologie, devant uniquement user de sa cervelle pour triompher ? Le sonic est construit en cinq minutes avec de la technologie primitive comparée à celle du TARDIS et de Gallifrey. (pardon ?)

Malgré des évidentes qualités d'écriture dans la volonté de dessiner ses personnages, Chibnall ne provoque jamais l'émotion, ou la désamorce avant même de la provoquer, ce qui donne un épisode trop posé et trop lent pour son propre bien où l'on ne croit ni en la dangerosité du monstre, ni au véritable choc du drame, ni à la tentative de dresser un nouveau Docteur, pourtant censée être le point pivot de l'épisode.

The Woman who fell on earth, malgré sa bonne volonté évidente et son véritable changement, se retrouve à faire les choses à moitié et à au final ne jamais provoquer réellement d'émotions, qu'elles soient joie, tristesse, ou peur.

J'attends quand même avec une impatience certaine la suite de la saison, d'autant plus que le format a l'air de se rapprocher un petit peu plus des classics.

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12.2

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