Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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11.04 - Arachnides au Royaume-Uni
Arachnids in the UK
Le Docteur et ses compagnons sont de retour à Sheffield. Yasmin invitent le Docteur et Ryan à prendre le thé. Ces derniers font alors la connaissance de Jade McIntyre, une arachnologue venue rendre visite à une collègue vivant dans le même immeuble que Yasmin. Lorsqu'ils découvrent que cette voisine a été victime d'une araignée géante, le Docteur et Jade commencent à s'inquiéter du comportement étrange des arachnides de la région...
Diffusion originale : 28 octobre 2018
Diffusion française :
28 octobre 2018
Réalisat.eur.rice.s :
Sallie Aprahamian
Scénariste.s :
Chris Chibnall
Guest.s :
Chris Noth
,
Shobna Gulati
,
Sharon D. Clark
,
Tanya Fear
,
Ravin J. Ganatra
,
Bhavnisha Parmar
,
Jaleh Apl
,
William Meredith
,
Jaleh Alp
,
Tanyaradzwa Fear
Tous les avis
Avis neutre | Déposé le 29 octobre 2018 à 15:35 |
Spoiler
“Arachnids in the UK” est un autre épisode important, car il cristallise la vision politique et éthique du Doctor Who “chibnallien”. Mais il en devient donc vraiment très déprimant car ce qu’il nous dit surtout c’est l’absence d’alternatives. Sheffield y est une ville remplie de vides et les personnages n’y affrontent donc pas seulement des araignées mutantes ou une caricature (insipide) de Trump mais l’absence et même, en un sens, le pourrissement puis la mort de l’Humanité. Cela se joue intimement quand Graham affronte le deuil, et voit sa maison vide. Mais il y a aussi le portrait par la réal’ d’une ville post-industrielle crépusculaire qui se dégrade et se laisse mourir. Comme pour rappeler la mort de l’ancien monde ouvrier. Mais le commentaire politique amer devient vite assez cynique car justement, face à un monde sans espoir, où des Robertson ont le pouvoir partout, qu’ils s’appellent Trump, Johnson, ou Macron, le Docteur qui pourrait être le catalyseur d’une énergie positive n’est rien. On connait tous cette fin, mais en fait “Arachnids in the UK” c’est presque la défaite de Doctor Who. Le monde y est pourri, et vidé de sens. Mais le Docteur aussi : Robertson s’en va. Elle détourne le regard. |
Avis défavorable | Déposé le 29 octobre 2018 à 07:59 |
Spoiler
Catastrophique. Du pur Chibnall. On vient vraiment d'assister au Docteur qui, volontairement, laisse des araignées suffoquer et mourir d'une lente agonie plutôt que de les tuer rapidement ? Pour une fois le méchant de l'épisode avait complètement raison , mais le problème c'est que ce n'est pas ce que l'épisode voulait véhiculer (Contrairement à un Waters of Mars ou Hell Bent), c'est juste mal écrit. Comment on peut passer d'un Docteur qui n'abandonne jamais et est prêt à sauver Davros à ça ? C'était cruel pour aucune raison et complètement OoC. Et c'est quoi cette fin sérieux, c'est encore pire que Power of Three. Le tout manque de subtilité et la politique de la série n'a jamais été aussi peu subtile et mal gérée que dans cette saison, l'époque où la cybernisation de Bill représentait le racisme et l'homophobie me manque, maintenant on à le droit à "Je suis américain j'aime les flingues et tout le monde devrait être comme moi", littéralement. C'est grossier et forcé. Sinon on a toujours le problème d'avoir trop de personnages à l'écran, le Docteur est une guest star à son propre show et c'est triste vu que Jodie est excellente. Yaz est toujours sous-developpée malgré l'apparition de sa famille et Ryan toujours insupportable à jouer son blasé et à sortir des têtes qui ne sont pas naturelles. Graham en revanche réussi à livrer quelques scènes touchantes ce qui rehausse légèrement le niveau de l'épisode. J'enlève 3 points à la note pour l'utilisation, une fois de plus, de musique pop lors du climax de l'épisode. Ok c'était intradiégétique mais même, c'est abmoniable et ils faut qu'ils arrête ça, on n'est pas dans un TV reality show, c'est Doctor Who. L'épisode a donc -2 mais hélas, je ne peux pas mettre en dessous de 1. En parlant de musique c'est tellement faible, pour Matt Smith et Capaldi dés l'épisode 1 je pouvais chantonner leur thème, là celui de Thirteen est tellement discret que je suis sûr que 99% des viewers n'ont aucune idée de ce que c'est (si si elle en a bien un). Je garde espoir car j'ai malgré tout aimé les deux derniers épisode, mais de façon global ça part très mal |
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J'avais écris un avis massif mais par l'opération du st esprit (traduire par complot organisé par l'alliance du mal composée de Galax, Koss et Dewey), bah tout est parti du coup j'vais résumer.
C'était vachement nul, Chibnall malgré ses personnages de qualité est complètement incapable d'écrire un concept de SF/épisode avec de la SF dedans et est tout autant incapable d'écrire un méchant satisfaisant.
Et le coeur de l'épisode (en dehors des parties données aux personnages) ne véhicule toujours aucune émotion.
Voilà, c'était naze, merci Chibnul qui nous refait un Dinosaurs on a Spaceship minus l'intervention Moffat sur Salazar qui était cool, vivement qu'il se remette en team-up avec une scénariste pour qu'il écrive un épisode potable parce que tout seul c'est hyper laborieux.
(Graham est le meilleur personnage de la saison, voilà je l'ai dis, salut et tchao)