Image illustrative de Doctor Who
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Doctor Who

Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par une femme ou un homme. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...

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En cours Anglaise, GB, CA Pas de durée
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique BBC One, France 4 2005
13.19

3 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable

Image illustrative de l'épisode 6.07 - La Retraite du démon

A Good Man Goes to War (1)

Amy Pond a été enlevée et le Docteur lève une armée pour venir à son secours. Mais tandis que Rory et lui rassemblent d'anciens alliés pour cette mission, ses ennemis préparent un piège soigneusement dissimulé...

Diffusion originale : 04 juin 2011

Cliquez pour voir plus d'informations sur l'épisode

Diffusion française : 04 juin 2011
Réalisat.eur.rice.s : Peter Hoar
Scénariste.s : Steven Moffat
Guest.s : Alex Kingston , Frances Barber , Christina Chong , Simon Fisher-Becker , Catrin Stewart , Neve McIntosh , Danny Sapani , Jimmy Vee , Nicholas Briggs , Dan Starkey , Charlie Baker , Dan Johnston , Hugh Bonneville , Joshua Hayes , Damian Kell , Richard Trinder , Annabel Cleare , Henry Wood , Oscar Lloyd

Tous les avis

Avatar MarieJeanne MarieJeanne
Membre
Avis favorable Déposé le 06 avril 2014 à 13:06

Je mets mes avis un peu en retard, mais cet épisode, je suis pas prête de l'oublier. L'action est de plus en plus présente au fil de l'épisode, le docteur est génial, Rory (très beau en centurion) et Amy étaient touchants et la révélation de fin, je m'y attendais absolument pas! Petite anecdote; J'ai cru me faire spoiler sur Wikipédia sur l'identité de River: Y'avais écrit le vrai truc sauf que, mon cerveau à lu que River était la MERE d'Amy, ça paraissait assez logique. Du coup je croyais tout savoir mais non. J'ai ri de moi même... (et puis le fait qu'Amy était pas Amy depuis tout ce temps, on a du me le dire parce que j'avais rien capter)


Avatar oberown oberown
Membre
Avis favorable Déposé le 03 décembre 2013 à 01:44

D'un seul coup tout le puzzle se fait devant les yeux. Toute la dramaturgie de Song. Pourtant ca paraissait tellement évident, et j'ai rien vu venir.


Avatar ndanan2212 ndanan2212
Membre
Avis favorable Déposé le 24 novembre 2013 à 00:55

Première partie épique et très interessante, le docteur est aujourdhui plus un héros qu'un docteur.!


Avatar Dreamsteam Dreamsteam
Membre
Avis favorable Déposé le 02 novembre 2013 à 01:01

Ca c'est du Doctor Who !

Une superbe intro, des personnages intéressants, le retour de plusieurs aliens, un scénario bien construit et une fin renversante. Génial !


Avatar Galax Galax
Administrateur
Avis favorable Déposé le 01 juillet 2013 à 18:10

DOCTOR: Good men don't need rules. Today's not the day to find out why I have so many.

Fantastique, brillant, épatant sont les mots qui me viennent à l'esprit après cet épisode. Non satisfait de seulement clôturer cette première moitié de saison en apothéose, A Good Man Goes to War est aussi la clé de voûte dans l'ère et l'évolution du Onzième Docteur.

Tout respire l'épique dans la première partie où le Docteur, jamais montré au début, constitue son armée à travers l'espace et le temps. Ça a vachement de la gueule. Le montage entre plusieurs époques où-tu-piges-rien introduisent ou réintroduisent une floppée de personnages importants par la suite. Rory est carrément classe avec le caméo des Cybermen qui conclut une scène d'ouverture épique à souhait. Rarement on aura eu une dose aussi hallucinante de caméos, d'épique et d'idées en un épisode. Une sorte de penchant moins intimiste à The Pandorica Opens.

Cet épisode est la grande fête aux callbacks mais également majeur dans l'étape de la construction de son Docteur. Pas que dans la forme, en termes de personnages et d'institutions établies (Madame Kovarian, l'Unité Papale militaire, la "guerre contre le Docteur"...) mais surtout dans le fond. Le Docteur s'élève en effet plus haut que jamais avant de chuter, comme l'annonce River, le tout en un épisode très symbolique, où le Docteur fait simplement froid dans le dos mais en même temps atteint des sommets d'impuissance. Après une saison 5 vaguement introductive, on voit ici que le personnage prend tout son sens : le Docteur d'Eleven est le vrai héros, le chevalier de River Song qu'elle mystifie dès sa première introduction à la Bibliothèque, celui qui est devenu Bigger Than Life... mais aussi un Docteur beaucoup plus violent que ne l'étaient ses prédécesseurs (du moins après Rose pour Nine, et avant Journey's End pour Ten), où les incarnations étaient toujours traumatisées par la Guerre du Temps. Un Docteur trop puissant, trop OP même, qui défait ses ennemis sans combat en 3 minutes 42 secondes. Un Docteur qui ne peut que succomber sous son propre poids, dont le nom signifie en fait "Guerrier Puissant" dans la langue de la forêt.

Cette même langue qui lui révèle pourtant la plus grosse révélation de la série à ce stade à mes yeux : l'identité de River Song, dans une scène finale plus poétique, drôle, excentrique, incompréhensible et bouleversante que tout : c'est Doctor Who à son apogée ! Le Docteur pensait avoir tout gagné, il a effectivement repris un certain contrôle sur sa vie mais a surtout appris qu'il ignorait plein de choses, de l'image que les autres ont de lui jusqu'à River Song elle-même. Malgré le soulagement de savoir que River est Melody, et donc que la fille d'Amy et Rory grandira en sécurité, cela veut aussi dire qu'il est trop tard et que Melody est à jamais irrécupérable : River ne pouvait empêcher cela, et le Docteur non plus. Le Docteur est véritablement défait par la chose qu'il pensait contrôler : le temps, comme souvent dans la série. Mais la scène reste très positive après tant de chaos.

Matt Smith livre ici une de ses meilleures performances, à la hauteur des nuances de son personnage. Il n'est jamais aussi bon que lorsqu'il est imprévisible, toujours entre l'imposant et le colérique, pouvant valser du rire avec Amy au mépris total face au Colonel Runaway.

Au milieu de tout ça, l'épisode est lui aussi totalement un ascenseur émotionnel. On passe du rire (avec le running gag du quiproquo sur "qui est le père du bébé ?" qui m'a eu à chaque fois, ou le malaise du Docteur face à la sexualité) aux larmes (les retrouvailles des Ponds) ou à la jubiliation (le berceau du Docteur, juste trop mignon) en une seconde.

On traverse tous les registres, aussi. De l'épique pur et simple, à l'heroic fantasy (malgré leur peu de temps de présence, j’adore les Headless Monks – des moines, sans têtes, n’est-ce pas juste un concept génial ?), au drame familial avec ce cercle très privé de la team TARDIS. On nous introduit également quelques personnages fabuleux, du sontarien infirmier Strax au couple Vastra/Jenny, en passant par Dorium (déjà vu dans Pandorica Opens, mais bon), Kovarian, ou la jeune Lorna Bucket. Cela n'a l'air de rien mais l'ère d'Eleven avait tout de même jusqu'à maintenant pour petit défaut d'être extrêmement centrée sur elle-même et d'avoir un univers finalement peu fourni, puisque tout tourne toujours autour du Docteur, de River, d'Amy et de Rory. Cet épisode fait entrer son ère dans la deuxième étape. Exit le conte de fée, place à l'épopée. Tout l'épisode est une gigantesque fresque de tout ce que a été, peut être, et sera le Docteur. Il y aurait même dû avoir Captain Jack dans l'épisode !

Et notamment avec Lorna Bucket, ce superbe "personnage symbole". Symbole pour tous ces enfants marqués à vie par le Docteur qui court dans tous les sens, des enfants qui ne peuvent plus vivre pareil après l'avoir rencontré. Personnage tragique jusque dans son sacrifice pour un Docteur qui ne se souvenait même plus d'elle, une petite hypocrisie pour le Docteur qui déclare "de n'avoir jamais rencontré quelqu'un sans importance" et de ne jamais oublier personne. Et pourtant le Docteur lui a quand même apporté du réconfort final avec ce pari de dire qu'ils ont "couru ensemble". Un pari en fait très peu risqué car même le Docteur l'a compris : sa vie ne se résume qu'à cela. Il est devenu un symbole et une idée, presque un automate plus qu'autre chose.

Un épisode à la construction géniale, pourtant annoncée au début de l'épisode par River : une élévation, une apogée, une désillusion et une chute, pourtant tout est fait avec tellement de cohérence qu'on ne peut qu'applaudir. Il est vrai que pour quiconque avait fait quelques réflexions, la réponse semblait déjà évidente, et les fans sur internet avaient déjà grillé le rebondissement à l'époque. Mais quand bien même, les indices avaient beau être extrêmement nombreux, ce n'était pourtant pas évident et il fallait un sacré paquet d'imagination et de suppositions pour deviner.

A Good Man Goes to War est un des piliers de l'ère de Matt Smith, entamant vraiment son développement en tant que personnage et en tant que Docteur, concluant toute une saga d'épisodes sur une épopée épique avec une poésie méta inégalable et surtout ouvrant son ère à tout un tas de perspectives pour la suite. Ironiquement, je crois qu'à part quelques exceptions, cet épisode marque aussi la fin de la qualité incroyable du début de run de ce Docteur, qui aura tendance à se simplifier par la suite.

Demons run when a good man goes to war. Night will fall and drown the sun. Friendship dies and true love lies. Night will fall and the dark will rise. Demons run, but count the cost. The battle's won, but the child is lost. When A Good Man Goes to War.


Avatar Jasper Jasper
Membre
Avis favorable Déposé le 22 mai 2013 à 21:39

Un milieu de saison très réussi, avec plusieurs révélations successives très fortes et des émotions qui font les montagnes russes.

Matt Smith s'est définitivement imposé comme un superbe Docteur


Avatar Cannibal Cannibal
Membre
Avis favorable Déposé le 18 juin 2012 à 13:31

L'intro était super, je pensais qu'elle était enceinte du Docteur.

Sinon, l'épisode est excellent, j'aurais pas pu tenir 3 mois pour voir la suite !


Avatar dewey dewey
Membre
Avis favorable Déposé le 09 avril 2012 à 09:59

Ah tiens. River song est la fille d'Amy et Rory. Et c'est aussi une demi time lord ? et c'est aussi l'assassin du doctor ? Révélation vraiment surprenante, je ne l'aurais jamais devinée. On voit içi toute la maîtrise de Moffat, qui reste d'une logique implacable tout en ne laissant rien traîner derrière lui qui pourrait nous mener à cette conclusion ...

Bon, ma minute hypocrisie étant finie, je vais parler de cet épisode. Ca m'a certes bien énervé que Moffat nous vende son truc comme le cliff de la mort ultime imprévisible, totalement surprenant qui déchire sa race de sa mère la ...

D'autant plus que je me rend compte que j'avais tablé juste sur tout. Sur TOUT (même ma théorie foireuse du bébé conçu dans le Tardis).

Mais d'un autre côté c'était nécessaire pour me redonner espoir en la saison, puisque maintenant que Moffat est content, et qu'il nous a bien eu, la saison va pouvoir se concentrer sur un plan scénaristique sur lequel Moffat est bien plus habile pour cahcer les indices : la manière dont le tout va se résoudre. Et puis, j'imagine que le cliff fait pleinement son effet quand on n'a pas tout grillé à 100 km.

Sans ça, l'épisode était génial, mais je rejoins un peu la critique de Goulou : Le début de l'épisode va à 100 à l'heure pour une deuxième moitiée bien trop calme où Moffat jubile à nous balancer ses révélations (le fameux moment irritant de l'épisode pour tout spectateur ayant tout grillé depuis longtemps), et c'est quand même pas super comme construction d'épisode. Ca te fait espérer une grande bataille épique telle elle de la fin de saison 4, qui plus est avec un effet "noël avant l'heure" (c'est déjà très rare les séries qui nous balance des épisodes à l'étoffe de season finale en milieu de saison), alors qu'au final, c'est juste les 20 minutes de préparation qui sont épiques, et sur le reste, ça retombe un peu. Et puis, autre point aussi discutable que prévisible : le coup du baby flesh, franchement, c'est à croire que Moffat veut vraiment cliffer à tout prix ...

Donc en gros, je reste à 16 car l'épisode était kiffant, mais c'est dommage car sans ces défaults, j'aurais pu mettre facile un 18.

Voilà, maintenant que Moffat s'est débarassé de son jeu de carte transparant, j'exige une deuxième moitié de saison géniale, car cette saison à vraiment les moyens d'être la meilleure de la série ! J'epsère que la résolution sera plus surprenante que l'introduction, et surtoût qu'elle sera réussie.

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Avatar Tan Tan
Rédacteur
Avis favorable Déposé le 28 mars 2012 à 20:35

Un épisode qui démarre sur les chapeau de roue! ... et qui s'écrase quand même lamentablement. Pour ne finalement tenir que par son cliffhanger.

Comme le fait si justement remarquer Goulou dans sa critique l'épisode est construit sur rythme terriblement bancal.


Avatar sin sin
Membre
Avis favorable Déposé le 21 novembre 2011 à 22:49

Pourquoi? Mais pourquoi mon pc m'as lâcher, pourquoi j'ai mis plus de deux semaine a regarder cet épisode?

Car clairement c'est le meilleur épisode de la saison.

Presque tout a été dit, et même si le cliff était des plus prévisibles, c'est juste énorme.


16.17

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