Image illustrative de Doctor Who
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Doctor Who

Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par une femme ou un homme. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...

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En cours Anglaise, GB, CA Pas de durée
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique BBC One, France 4 2005
13.19

3 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable

Image illustrative de l'épisode 7.02 - Des dinosaures dans l’espace

Dinosaurs on a Spaceship

Le Docteur est appelé en urgence par l'Agence spatiale indienne pour stopper un gigantesque vaisseau menaçant de s'écraser sur Terre. Il s'y rend à bord avec la reine Néfertiti, le chasseur de fauves John Riddell et ses compagnons Amy et Rory. L'équipe découvre que le vaisseau transporte des dinosaures...

Diffusion originale : 08 septembre 2012

Cliquez pour voir plus d'informations sur l'épisode

Diffusion française : 08 septembre 2012
Réalisat.eur.rice.s : Saul Metzstein
Scénariste.s : Chris Chibnall
Guest.s : David Bradley , Sunetra Sarker , Riann Steele , Rupert Graves , Richard Hope , Robert Webb , Mark Williams , David Mitchell , Noel Byrne , Richard Garaghty , Rudi Dharmalingam , Karen Gillan , Arthur Darvill

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Avatar Galax Galax
Administrateur
Avis favorable Déposé le 19 juillet 2013 à 19:18

Dinosaurs on a Spaceship et moi, c'est une longue histoire. Au début je riais de cet épisode, le clashant par tous les côtés et le réduisant au rang de maillon faible de l'ère Moffat. Et puis plus le temps passait, à force de lire des reviews et autres à propos de cet épisode, je rejoignais quasiment toujours le parti qui prenait la défense de ce dernier, sans vraiment comprendre pourquoi.

Alors je l'ai revu, et effectivement, c'est un épisode sous-apprécié et injustement "détesté" à mon sens.

On repart à nouveau du principe "retour aux sources modernisées" de cette saison 7, autrement dit, revenir à des aventures individuelles sur chaque épisode mais en leur donnant une proportion unique, épique et cinématographique et tout une fine couche moderne. Cette semaine, Doctor Who et les dinosaures. Plus précisément, des dinosaures dans un vaisseau spatial.

Il faut avouer qu'on a rarement vu un pitch aussi efficace dans la série, car ça résume l'essence de Doctor Who. Le concept est (à peu de choses près) unique et complètement dans la veine de la série qui tente à chaque aventure de nous émerveiller. En démontre le "Dinosaurs... on a spaceship !" d'un Docteur abasourdi dans la scène pré-générique.

Alors oui, le reproche qu'on pourra directement faire à l'épisode, c'est que le pitch, les personnages, leurs répliques et le ton en général est plutôt enfantin ou fun/con-con... C'est une bonne chose. Doctor Who a toujours été et est encore un show familial et avec un peu de chance, le sera toujours. Des épisodes comme ça, il en faut. Dinosaurs on a Spaceship contribue à la diversité de la série. Il ne faudra attendre pas plus d'un épisode, A Town Called Mercy, pour qu'on trouve l'épisode le plus dénué d'humour de la série. Il y en a pour tous les goûts.

J'admire cette capacité à faire du nawak et à l'assumer. Oui, Eleven fait beaucoup trop son clown dans cet épisode et oui, les deux robots ont des lignes en trop qui sont assez lourdes. Tout est loin d'être parfait. Mais le reste est du fun en barre globalement bien maîtrisé. La chevauchée du tricératops était un excellent moment, par exemple, ridicule, pas pris au sérieux, drôle et amusant.

Et contrairement à ce que j'ai pu souvent lire, l'épisode n'est pas que de la poudre aux yeux qui veut nous en mettre plein la vue en laissant Matt Smith agiter les bras dans le vent. Il y a un scénario recherché là-dessous, avec des personnages intéressants et même des enjeux sombres.

Un scénario assezrecherché, tout d'abord, oui. Vu que Doctor Who est un show fauché, il a fallu en effet contourner le pitch lancé par Steven Moffat, afin de ne pas se taper des CGI dégueulasses pendant 45 minutes et préférer des apparitions ponctuelles des dinosaures - ce qui est réussi, car les créatures et le vaisseau sont très crédibles, tout comme la direction générale de l'épisode. J'ai notamment adoré ce principe d'arche silurienne pour justifier de l'existence de dinos dans l'espace. J'y vois une sorte d'hommage à The Ark in Space ce qui n'est pas pour me déplaire. C'est de la science-fiction très efficace à la sauce Doctor Who.

Dans le fond, Chris Chibnall s'est tout simplement servi des Siluriens, espèce qu'il s'est "approprié" depuis la saison 5, pour justifier l'intégration de dinosaures dans un vaisseau. Dans la première moitié de l'épisode, le scénario se déroule sous nos yeux et prend en épaisseur : cela commence par la révélation de la fameuse cargaison, puis un rappel des enjeux du crash qui prennent maintenant un sens différent. En effet, le vaisseau fonce droit sur la Terre et a été ciblé avec des missiles, mais ce vaisseau ne devient plus le danger à éviter, mais désormais le lieu d'une richesse rare qu'il faut protéger des missiles. La découverte de Solomon, le marchand qui a causé malgré lui cette dérive, ainsi que de l'implication des Siluriens, puis des motivations du méchant, tout cela est bien pensé et coule de source.

Au milieu de tout cela les dinosaures ne sont plus le centre d'intérêt mais restent au coeur de tout le propos et de toute la finalité de l'épisode, puisqu'ils sont l'enjeu émotionnel et financier. Voilà donc la recette de Chris Chibnall pour faire d'un épisode de dinosaures avec un scénario centré sur autre chose que des dinosaures, sans pour autant que l'histoire ne mérite pas son nom officieux de "Doctor Who et les dinosaures". C'est tout de même vachement malin.

Ensuite, les personnages, que je trouve pour la grande majorité très réussis. En très peu de temps, l'épisode parvient aussi à faire tourner de nombreux pions, et par rapport à des tas d'autres épisodes, il s'en sort extrêmement bien à ce jeu-là.

L'arrivée du père de Rory est un ajout inédit dans l'histoire des Ponds dont la famille a rarement été un sujet, notamment celle de Rory. Ce sont en effet les deux précédentes saisons, l'une baignant dans un esprit conte de fée qui laisse peu de place au réalisme, l'autre ensevelissant ses personnages dans des arcs scénaristiques assez complexes, qui avaient peu de temps pour ce développement "terrestre". Il est logique, depuis que le Docteur a lâché les Ponds sur Terre et leur a offert une maison, qu'on se sédentarise également un peu avec eux. Et puis, si l'intégration du Papa Pond est inattendue, le personnage passe bien par tous les stades courants chez un nouvel arrivant dans le TARDIS et l'on voit clairement que s'il est troublé au début, il apprécie de plus en plus son aventure. La scène finale où il prend un déjeuner dans l'espace posé sur le TARDIS est assez belle. Le plan final où le Docteur contemple Amy et Rory juste au-dessus est églement très révélatrice et bien pensée. Et le petit montage final où l'on voit que Brian a voyagé un peu partout est extra. C'est une petite storyline vraiment bien traitée, qui n'est pas mise au centre et qui est donc subtile mais assez bien fignolée. Et puis, qu'est-ce qu'il est bien interprété et attachant, le personnage en lui-même !

Quant au reste du support cast, l'épisode adopte une sorte de "gang de compagnons", mais étant donné que l'expression est utilisée par le Docteur, le scénario en a pleinement conscience et en joue avec un regard amusé, en démontre la remarque d'Amy sur le fait d'avoir des compagnons qui flirtent. La Reine Néfertiti est plutôt bad-ass comme personnage historique, son emploi est pour le moins original et assez gratuit. Elle apporte, avec le chasseur Ridell, des points de vue différents et parfois intéressants sur la situation, et bien qu'ils ne soient pas extrêmement fournis en backstory, chacun d'eux ont la chance d'être joué par de très bons acteurs et ont également une conclusion "interne" à leur histoire (pas aussi maligne que celle de Brian, mais malgré tout réussie). Parfois, une dynamique simple suffit.

On en oublierait presque les Ponds, sauf que leur évolution avec la dynamique du Docteur est vraiment un des meilleurs aspect de l'épisode. Rory a droit a beaucoup de temps d'écran et est dans l'épisode le parfait compagnon, il était temps ! Son apparition dans Dinosaurs figure dans celles que je préfère le plus pour son personnage. Je crois que c'est tout bêtement car on sent à quel point Rory a évolué. On ne voit pas une once de son côté "gentil nunuche dont on se moque légèrement et qui rate tout ce qu'il fait mais qui est amené à être bad-ass et courageux quand le scénario l'autorise ou quand Amy n'est pas dans ses pattes". Ici il est écrit comme un vrai personnage, humain, crédible et réaliste, et surtout il existe indépendamment d'Amy et a une réelle relation d'amitié avec le Docteur, et ça fait du bien.

Amy se retrouve quant à elle avec son duo de "flirting companions" et se met à jouer le rôle du Docteur, elle est un peu en retrait au début et dans l'ensemble de l'histoire. Mais à la fin elle a surtout plusieurs échanges avec le Docteur qui nous rappellent l'arc de ce début de saison : les Ponds s'éloignent petit à petit du Docteur et vivent leur vie... Ces échanges sont très bien écrits, et présagent déjà de leur fin. Il est très triste - mais en même temps inéluctable - d'en arriver à la même conclusion que Ten avait fait à propos de Sarah Jane : le Docteur sera peut-être là pour toujours pour Amy, mais l'inverse n'est pas vrai. Le malaise est assez palpable dans cet échange :

DOCTOR: No, come on, Pond. You'll be there till the end of me.
AMY: Or vice versa.

Bref la série continue à présager de la fin des Ponds et un petit pincement au coeur se fait déjà ressentir en voyant le regard mélancolique du Docteur à la fin dans ce (je l'ai déjà dit, mais vraiment) magnifique plan sur le TARDIS dans l'espace. Cet épisode de manière générale est une vraie réussite quant à l'intégration de détails dans la relation Pond/Docteur.

Enfin, si le duo sidekick de robots comédiens est clairement le poids mort de l'épisode, et allourdit complètement l'épisode, leur chef Solomon le marchand fait office d'un bon antagoniste. Hautain, manipulateur, traitant tout ce qu'il voit pour du profit potentiel, c'est le méchant détestable par excellence mais aussi très crédible. Tout le lore qu'on fait autour de l'épisode, entre la NASA indienne, le capitalisme spatial avec Solomon, est plutôt bien ficelé. La scène de fin de ce méchant est d'ailleurs tout à fait appropriée...Ah, cette scène si polémique. Le Docteur tuant de sang froid un homme, même si c'est un méchant. Pour moi c'était plutôt dans la continuité de ce que l'épisode avait amorcé en évoquant le meurtre de tous les siluriens et l'enlèvement de Néfertiti. Ce sera d'ailleurs un thème récurrent de cette mi-saison, la personnalité plus noire du Docteur. En tout cas je préfère de loin cette scène de fin et ce côté-là de la personnalité du Docteur plutôt que le gamin tout foufou qui s'agite au début de l'épisode. Cette dualité et ce passage de l'amusement à la colère caractérise vraiment Eleven depuis ses premiers épisodes, face à la baleine stellaire ou aux Daleks britanniques. Après tout, le Docteur résume tout en une phrase, plus tôt dans l'épisode :

DOCTOR: Don't ever judge me by your standards.

Il s'adresse bien sûr à Solomon, mais indirectement, n'est-ce pas un message pour les fans ? Nous croyons connaître le Docteur. Pas tellement.

Ce qui m'amène à mon dernier point sur pourquoi l'épisode ne doit pas être réduit à un gros délire enfantin : on a quand même l'évocation de termes et d'enjeux très forts, "piraterie et génocide", toutes les actions de Solomon qui déshumanise ce qui l'entoure, le meurtre de Tricy et celui de Solomon qui ont d'ailleurs choqué (les parents de) certains enfants, soi-disant "cibles" de l'épisode. Ce n'est pas l'épisode le plus sombre et qui pousse le plus ses enjeux, loin de là, mais il n'est pas tout rose, il n'est pas tout gentil et inoffensif, les instants les plus forts semblent justement léger en apparence, ce qui ne fait que les renforcer quand on en prend conscience.

DOCTOR: Did the Silurians beg you to stop? Look, Solomon. The missiles. See them shine? See how valuable they are. And they're all yours.
SOLOMON: You wouldn't leave me, Doctor.
DOCTOR: Enjoy your bounty.

"Enjoy your bounty" était une réplique extrêmement ironique, pourtant très glaciale venant du Docteur. Il y a de plus certaines petites piques moralisateurs que j'adore et qui pullulaient sous l'ère RTD (le système d'Identification et de "Valeur" à l'épisode, le peuple Silurien pacifique car "les anciennes espèces étaient encore pleines d'espoir", la lune et ses "habitants"...). On dit d'ailleurs souvent que la saison 7A n'a pas de fil rouge, pourtant dans cet épisode le Docteur n'apparaît pas dans la base de données de Solomon (en raison de ce qu'il a fait dans un minisode et de ce qu'Oswin a fait à la fin des Daleks). C'est un détail certes (qui reviendra d'ailleurs dans l'épisode 5), mais cela témoigne tout de même de ce que le Docteur avait annoncé en fin de saison 6 à Dorium : il est devenu trop bruyant, trop grand, il a réussi à échapper au Silence, maintenant il doit feindre son propre Silence et se faire plus discret. Après une saison 6 épique, il est donc logique d'obtenir une saison 7 plus aventureuse et minimaliste... où son Docteur est aussi plus sombre, voyageant sans Amy et Rory la plupart du temps, se croyant un peu trop tout permis.

Bref, je trouve suffisamment de choses intéressantes, "profondes" (dans la mesure d'un standalone où l'on passe la moitié du temps à courir) ou subtiles dans cette histoire.

Je dois dire en revanche que, je ne suis pas vraiment convaincu par l'absence totale de conséquence morale (dans l'épisode, du moins) à ce que fait le Docteur. Ni par la subtilité du contraste. En fait, Eleven est un peu trop foufou joyeux pendant l'aventure, et un peu trop dark et cynique face à Solomon. Il est triste de dire que la saison 7 est probablement la moins bonne d'Eleven, qui n'est plus jamais dans la demi-mesure et souvent dans l'excès entre ses deux facettes, contrairement à ses débuts. Dinosaurs on a Spaceship est même, à ce titre, un certain "jump the shark" dans le caractère du personnage, ce qui est assez tragique.

Tout sera plus ou moins abordé dans les trois épisodes suivants notamment, mais je n'oublie pas tout de même les travers de ce standalone.

Dinosaurs on a Spaceship ne restera pas dans les mémoires comme le chef d'oeuvre de l'ère Eleven et possède plusieurs gros défauts, c’est sûr, avec une surdose d'humour, de grosses facilités dans le scénario ou la résolution, et surtout un Docteur qui part en cacahuète. Mais c’est surtout un épisode sci-fi délirant, aspirant avant toute chose à assurer un divertissement pendant 45 minutes, ce qu'il fait avec brio, puis dans un second temps de poser quelques questions intéressantes sur ses personnages.

Dinosaurs on a Spaceship, c'est de l'action pure, du grotesque et de l'humour vache mêlés à des personnages écrits avec un certain soin, un scénario un peu bordélique mais néanmoins fouillé, un brin d'émotion et quelques thématiques sombres, un bon vieux méchant, des ptérodactyles et une course de tricératops, bref, un concept unique, propre au show et purement fun. C'est limite limite dans le fond et le traitement du Docteur, et trop irrégulier pour être très bon, mais trop de passages sont une pure réussite pour que je n'aime pas cet épisode.


Avatar dewey dewey
Membre
Avis défavorable Déposé le 30 septembre 2012 à 16:27

Comme j'ai la flemme de commenter ce mauvais épisode que j'ai en plus vu 2 fois, je vais faire très court et dire que Tan et Koss ont tout dit.

Vouloir mélanger Jurassic Park, Indiana Jones, Star Wars et La Momie dans un épisode de Doctor Who pourquoi pas, mais il faudrait peut être penser à écrire un scènario qui relie le tout entre eux de façon correcte.

A trop vouloir en mettre plein les yeux (ce qu'il, au final, n'arrive même pas à faire), cet épisode en devient gerbant.

Et puis comme l'a si bien dit Tan, c'est sans saveur et chiant ...

Et je reste quand même très douteux de l'utilité de l'épisode sur la suite de la série (bien que connaissant Moffat, je ne m'y ferme pas définitivement).

Comme je l'ai déjà dit avant, ça fait deux épisodes ratés à la suite qui ne sont pas d'Helen Raynor. Ce début de saison nous offre du jamais vu, c'est génial !


Avatar sin sin
Membre
Avis neutre Déposé le 28 septembre 2012 à 19:20

Bon y'a des moments fun dans cet épisode, mais je n'ai pas du tout trouvé l'intrigue intéressante.

Puis nephy et l'autre mec ne servent strictement a rien.


Avatar Tan Tan
Rédacteur
Avis défavorable Déposé le 24 septembre 2012 à 13:12

Qu'est ce que c'était nul! A quoi a servi cet épisode si ce n'est à nous rappeler que 11 est un meurtrier psychopathe?

Les personnages sont sans aucune saveur, c'est chiant.


Avatar Marino Marino
Membre
Avis favorable Déposé le 24 septembre 2012 à 02:37

Oui, bon, c'était un GROS délire! Plein de scènes mythiques, néanmoins. Cette saison 7 est définitivement très enfantine- même si la réaction finale du docteur, et la découverte du sort réservé aux siluriens m'a simplement glacée d'effroi!! Sinon, vive les POnds!!


Avatar elpiolito elpiolito
Administrateur
Avis neutre Déposé le 12 septembre 2012 à 20:06

Pour le coup, j'ai eu du mal à accrocher sur celui-là, je ne me suis jamais senti vraiment impliqué. L'histoire est surement un peu trop superficielle pour pleinement accrocher.

C'est fun mais l'intrigue est, au final, assez vide, pas grand chose sur cet épisode, ça traine un peu en longueur par moment.

Et puis bon, les effets spéciaux sont pas tous top (les dinos sont mieux que terra Nova quand même) et il y a un peu trop de cliché (va cherche le dino, va). Un épisode bien pour les gamins en fait, un peu léger pour les autres...

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Avatar Koss Koss
Rédacteur
Avis défavorable Déposé le 10 septembre 2012 à 13:51

Ils sont sympa ces webzod, mais elle commence quand la saison ?

Non mais sérieusement, c'est quoi cette merde ?

Il n'y a absolument rien à sauver de cet épisode qui se positionne directement en pôle position pour la pire daube sous l'ère Moffat. Le rytyme, sans cesse fuyant, masque les lacunes béantes du reste. Après avoir écrit des épisodes mauvais de Doctor Who (rappelez-vous, "42" c'était lui) et d'autres encore pire sur Torchwood, Chris Chibnall confirme son absence de talent. Alors qu'il aura fallu baser toute l'intrigue sur un truc pop délicieusement sucré, l'ami Chris gache toutes ces munitions en accumulant sans cesse les mauvaises idées et ces talentueux guest réduit à de la figuration gênante. Et non mille fois non, faire répéter au Doctor ainsi qu'au père de Rory, le titre de l'épisode "We're on a Spaaaaceship" ne convainc nullement le spectateur de la qualité de la chose.

J'en veux assez à tous ceux (fans ou non) qui ont bruyamment conspué la saison précédente à base de : "c'est trop complexe" et autres : "On dénigre complètement le Doctor classique". Réjouissez maintenant, petits et grands, car vous l'avez devant vous.

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Avatar Aureylien Aureylien
Membre
Avis favorable Déposé le 10 septembre 2012 à 02:27

L'épisode était sympathique comme un bon Doctor Who qui se prend pas au sérieux.

Mais je pense qu'il y a des trucs à comprendre comme la non réponse à la blague de Miss Pond sur le "vice et versa". Un peu trop gros pour dire qu'ils vont mourir.

Je suis persuadé que le Doctor revient très peu car il revient de leur futur où quelque chose de pas génial leur ait arrivé. Il revient pour passer du temps avec eux.

On sent le docteur énervé et changé. Il l'a laissé crever le Salomon, même si ce n'est pas lui qui le tue directement. Par contre la scène où les machines tuent Tricey c'était un peu de trop.

J'ai bien aimé le chasseur, il m'a fait marré. Ça le change de son rôle de Lestrade. Sympa aussi la réunion Harry Potter, il manquait que le chat.

J'ai hâte de voir les épisodes de Noël, ça risque de pas être marrant.

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Avatar sephja sephja
Membre
Avis favorable Déposé le 09 septembre 2012 à 21:10

Il faut reconnaître quelque chose de personnel, j'aime beaucoup Chris Chibnall et j'étais très triste de ses participations précédentes dans Doctor Who. Mais, un épisode qui lorgne gentiment vers le Rama d'Arthur C. Clarke, offrant un vaisseau entier à explorer pour le docteur.

Le terrain de jeu est immense et les alliés du docteur assez sympathique, en particulier Nefertiti qui trouve sa place dans cet épisode. En évitant d'encombrer son équipe avec une mythologie trop complexe, Moffat laisse l'ancien showrunner de Torchwood s'amuser avec une idée de départ aussi fantasque que bien pensée.

Le Docteur prend la défense des espèces disparues et nous emmène pour un voyage sur un vaisseau abandonné par les Silurien. C'est léger, amusant et on se plait clairement à suivre cette aventure qui ne prend pas au sérieux, tout en offrant un antagoniste convaincant.

Le docteur est frénétique, mais une fois le premier acte passé, l'intrigue est plaisante et retrouve le caractère assez enfantin typique de la série. Avec cette saison sept, c'est un vrai retour aux sources que se permet Moffat, puisant dans l'imaginaire enfantin pour offrir une aventure enthousiaste, malgré ses quelques défauts.

Bref, on s'amuse bien et les dix premières minutes sont vraiment très bonnes. Du bon Doctor Who, sympathique et divertissant.

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Avatar ndanan2212 ndanan2212
Membre
Avis favorable Déposé le 09 septembre 2012 à 13:28

un épisode correcte, seuls défauts de l'épisode:

-la reine

-une histoire qui ne nous surprend pas avec un ton trop enfantin sauf la mort de la fin

-pas assez de travail sur le comportement des dinosaures

j'ai bien aimé:

-la mort de fin qui montre le docteur sous un autre visage que d'habitude

-le fait d'avoir incorporer des dinosaures

-le vaisseau

-la famille pond au top, mention speciale à la famille williams surtout le père

-le clip du prochain épisode qui me donne envi de continuer la série.


11.58

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