The Handmaid's Tale
The Handmaid's Tale : La Servante écarlate
Dans une dictature où la stérilité a frappé les femmes, ces dernières sont divisées en trois catégories : les Épouses, qui dominent la maison, les Marthas, qui l'entretiennent, et les Servantes, dont le rôle est la reproduction.
| En cours | Américaine, CA, US | 50 minutes |
| Drame, Science-Fiction, Drama, Science-Fiction & Fantastique | Hulu | 2017 |
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1.06 -
La Place d'une femme
A Woman's Place
Une délégation mexicaine se présente à Gilead pour discuter avec le Commandant. A la tête des visiteurs se trouve une femme, qui interroge Offred sur son expérience de la vie à Gilead. Avec beaucoup de self-control, la jeune femme lui répond qu'elle y a trouvé la paix. Peu après, Offred se rend chez le Commandant...
Diffusion originale : 17 mai 2017
Diffusion française :
17 mai 2017
Réalisat.eur.rice.s :
Floria Sigismondi
Scénariste.s :
Wendy Straker Hauser
,
Margaret Atwood
Guest.s :
Tattiawna Jones
,
Christian Barillas
,
Zabryna Guevara
,
Stephen Kunken
,
Todd Thomas Dark
,
Edie Inksetter
,
Amanda Brugel
,
Jenessa Grant
,
Nina Kiri
,
Ever Carradine
Tous les avis
OmarKhayyam
jarboo| Avis favorable | Déposé le 26 février 2018 à 22:32 |
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Cette saison enchaîne les excellents épisodes. J'adore voir comment le monde en est arrivé là en si peu de temps. Comme je le disais dans mon commentaire de l'apisode précédent, rien n'est manichéen. Pas de de méchants ni de gentils, juste différentes façons (dont certaines peuvent paraître horribles) de gérer une crise mondiale sans précédent. Cette série fait vraiment réfléchir de par ce côté extrêmement réaliste. |
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Stean| Avis favorable | Déposé le 07 janvier 2018 à 18:50 |
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Tout a été dit plus bas, cet épisode est assurément l'un des meilleurs pour le moment. J'ai adoré le développement de la personnalité de Ant Lydia et de de la femme du Commandant. La série est loin d'être manichéenne, et c'est tout ce que l'on demande. |
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Manoune398| Avis favorable | Déposé le 19 décembre 2017 à 20:00 |
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Spoiler
Un épisode remarquable, où la complexité des personnages est à la fois terriblement humaine, belle et écœurante. La présence du Mexique (représenté par une femme, de surcroît), pouvait laisser croire à un espoir, mais la réalité n'en ressort que plus affreuse encore : tout l'épisode, on s'imagine que ce n'est pas sa faute parce qu'elle ne connaît pas la vérité. Mais quand elle l'apprend, elle dit qu'elle n'en fera rien. Une fois encore, ceux au pouvoir savent très bien ce qu'ils font même s'ils y croient profondément. La preuve avec le centric sur Mme Waterford, qui porte sa foi en quelque chose de réducteur pour les femmes, qui semble l'accepter mais finit par perdre ses privilèges car les hommes sont bel et bien puis puissants dans cette idéologie. Elle creuse sa propre tombe et semble partagée entre croyance et liberté individuelle. Son personnage est assez intéressant, j'ai hâte de voir comment elle va évoluer. De l'autre côté, nous assistons à des scènes routinières (malheureusement), où certains personnages montrent d'autres facettes. C'est notamment la cas de Tante Lydia (admirable Ann Dowd, comme toujours) qui, croyant en sa société, semble véritablement attachée à son rôle et ici à Janine (que l'on continue d'appeler Janine d'ailleurs). Enfin, June reprend pleinement conscience : la scène où elle révèle tout à l'ambassadrice, où elle dit tout haut ce qui se passe, ne nous paraît pas choquante. Le temps d'être choquée est passé, elle retrouve sa liberté, quelque part. Et l'histoire avance, du coup, avec ces dernières images et cet homme mystérieux qui connaît Luke. C'est toujours aussi magnifique visuellement, superbement porté par les acteurs, mais surtout actrices. |
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Philocratie| Avis favorable | Déposé le 20 novembre 2017 à 15:02 |
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Spoiler
Un épisode très bon qui explore le passé des Waterford et qui distille des infos intéressantes sur la situation des autres pays, chose qui manquait un peu à l'univers. On sent que de nouveaux enjeux se dessinent, dont l'objectif serait de continuer l'histoire pour une probable deuxième saison si je ne me trompe pas. Je suis assez sceptique sur cette idée mais je vais attendre de voir où les scénaristes veulent nous emmener. |
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Jo_| Avis favorable | Déposé le 22 octobre 2017 à 15:27 |
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Spoiler
J'ai bien aimé cet épisode, mais je l'ai trouvé moins intense que vous. Peut-être parce que dès le départ, je me doutais que le gouvernement mexicain n'allait rien apporter de positif, je ne sais pas. Sa présence amène tout de même de très jolies scènes, comme celle avec Tante Lydia notamment. Cela étant, j'ai beaucoup apprécié le passé de Mrs. Waterford, qui se retrouve prisonnière d'un monde qu'elle a en partie créé. Je pense qu'elle peut nous surprendre d'ici la fin de la saison. Quant au twist, je suis un peu partagée. Je me doutais que Luke n'était pas mort, mais la nouvelle est donnée de manière un peu brutale et sans réelle cohérence. Reste à savoir ce que cela peut donner sur la distance. |
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JPhMaxx| Avis favorable | Déposé le 11 octobre 2017 à 17:34 |
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Une réalisation parfaite pour cet épisode à glacer le sang. Tant sur le fond que la forme, Encore une fois c'est terrifiant de réalisme, et on en imagine à quel point cela est si proche du monde réel. J'ai juste été légèrement déçu par la scène finale, je ne vois pas l'intérêt de l'intervention de cet homme... |
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ClaraOswald| Avis favorable | Déposé le 07 septembre 2017 à 06:05 |
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Mon épisode préféré jusque là! On en apprend plus sur Mrs Waterford et je dois dire que j'ai un peu d'affection pour elle. Finalement elle semble s'être complètement fait avoir par un système qu'elle a elle même engendré.. |
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Galax| Avis favorable | Déposé le 27 août 2017 à 15:31 |
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Le point de vue macro de cet univers est absolument terrifiant. Le passage avec les enfants m'a laissé mâchoire grande ouverte pendant 3 bonnes minutes, le temps de réaliser ce qui est en train de se passer, que les servantes sont devenues l'avantage comparatif du pays. Insérer plus d'éco et de diplomatie avec la rencontre d'autres pays, c'est encore une chose que j'espérais beaucoup que la série allait nous montrer, et que je considérais nécessaire, et ça n'a pas loupé : c'est génial. C'est à ce moment parfait que la série choisit de se concentrer sur les Waterford et d'apporter une nuance de point de vue nécessaire. Si je suis un peu d'accord avec Ras sur le fait que Mrs. Waterford (dont on ne connaît pas encore officiellement le prénom, si ?) aurait pu être un tout petit peu plus mise en avant, le récit ne fait en fait que refléter l'idée de la femme de l'ombre qui sacrifie ses libertés. Ça indique beaucoup sur son personnage et nous donne les clés pour le comprendre, car il était bien mystérieux jusque là. Les notions de "féminisme domestique" et de terrorisme par l'avènement de la tradition font absolument froid dans le dos, et pourtant la série ancre son univers dans un réel inébranlable en évoquant les coups d'Etat contre les forces au pouvoir aux Etats-Unis (une réalité en 2020), ou les bienfaits environnementaux d'une telle dictature. Absolument glaçant. Et puis comme le dit très bien Altair avec Lydia, voire même avec Mrs. Castillo ou le Commandant Waterford, il n'y a aucun personnage unidimensionnel dans la série, juste une situation de crise gérée par des humains qui font de terribles erreurs. Tous sont persuadés de faire la bonne chose pour le "bien commun". Même s'il y a donc des "méchants" et des "gentils", la série ne tombe jamais dans le manichéisme et justifie tous les points de vue. Je suis particulièrement fan de la défense de Janine par Lydia dans une scène qui entrevoit un angle positif à ce monstre. Je ne l'avais pas dit dans les épisodes précédents mais j'apprécie aussi énormément comment la plupart des servantes que l'on côtoie régulièrement à l'écran ont un parcours et des personnalités propres (la nouvelle Ofglen, Janine, etc.). C'est ultra propre au niveau des personnages secondaires qui font vibrer l'univers de Gilead. Un grand épisode. |
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Altaïr| Avis favorable | Déposé le 19 août 2017 à 20:38 |
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Pour moi un épisode plus dans la continuité que dans l'apothéose. On continue de découvrir comment ce monde en est arrivé là, et c'est là encore troublant de réalisme. J'ai beaucoup apprécié le coup de projecteur sur Serena Joy, qui a finalement créé sa propre tombe en militant contre ses libertés individuelles sans bien mesurer les conséquences... elle aimait être porte-parole et jouer un rôle politique, comme les hommes qu'elle côtoyait "avant" - mais s'est vue évincer de la scène parce qu'elle était femme. Maintenant, si certaines militantes conservatrices pouvaient initier une réflexion à partir de cet exemple... J'apprécie beaucoup aussi que le personnage de tante Lydia soit montré dans tout son paradoxe et sa cohérence quand elle prend la défense des handmaids, ainsi que son attachement évident à Janine. Tous ces personnages tortionnaires sont à la fois monstrueux et terriblement humains. C'est une des grandes réussites de la série que de le montrer. |
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Un épisode vraiment intéressant car au-delà de tout manichéisme ! Il apporte en effet des nuances aux bourreaux et donne donc à chaque personnages des raisons légitimes de faire les mauvais choix.