Westworld
À Westworld, un parc d'attractions dernier cri, les visiteurs paient des fortunes pour revivre le frisson de la conquête de l'Ouest. Dolores, Teddy et bien d'autres sont des androïdes à apparence humaine créés pour donner l'illusion et offrir du dépaysement aux clients. Pour ces derniers, Westworld est ...
Lire le résumé complet >
Terminée | Américaine, US | 60 minutes |
Science-Fiction, Western, Thriller, Drame | HBO, OCS City | 2016 |
0 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable
1.01 - L'original
The Original
À Westworld, un parc futuriste qui recréé une ambiance western pour de riches visiteurs, des comportements anormaux ont été repérés chez des androïdes.
Diffusion originale : 02 octobre 2016
Diffusion française :
02 octobre 2016
Réalisat.eur.rice.s :
Jonathan Nolan
Scénariste.s :
Jonathan Nolan
,
Lisa Joy
,
Michael Crichton
Guest.s :
Bradford Tatum
,
Brian Howe
,
Currie Graham
,
Demetrius Grosse
,
Eddie Rouse
,
Kyle Bornheimer
,
Lena Georgas
,
Leonardo Nam
,
Louis Herthum
,
Michael Wincott
,
Ptolemy Slocum
,
Steven Ogg
,
Keller Wortham
,
Bridgid Coulter
,
Regi Davis
,
Mataeo Mingo
,
Trevante Rhodes
,
Micky Shiloah
,
Olivia May
,
Alex Marshall-Brown
,
Jeffrey Muller
,
Brook Kerr
,
Bradley Snedeker
,
Patrick Quinlan
,
Bianca Lopez
,
Molly Schreiber
,
Stefanie Chin
,
Joshua Sawtell
,
Nihan Gur
,
Jackie Moore
,
Timothy Lee DePriest
,
Jeff Daniel Phillips
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 17 octobre 2016 à 17:58 |
Spoiler
Commençons par le commencement : le générique. Sa musique étant composée par Ramin Djawadi, j’avais peur qu’elle ressemble trop à celle de sa précédente création : Game of Thrones. Il s’agit, certes probablement, du meilleur générique jamais créé à la télévision, mais une redite aurait empêché Westworld d’avoir sa propre identité. Heureusement, il n’en est rien. Si elle n’a pas le panache de celui de la série d’heroic fantasy, elle est, à l’image de ce que l’on voit se dérouler sous nos yeux pendant ces une minute et cinquante secondes, beaucoup plus complexe. Avec une véritable danse onirique entre violons et piano. Elle n’est donc pas forcément évidente à aborder dès la première écoute mais nul doute qu’elle sera de plus en plus appréciable au fur et à mesure des écoutes… Visuellement, il n’a pas autant d’intérêt visuel que Game of Thrones mais il reste graphiquement très réussi, et surtout, on peut soupçonner les différentes images d’être des indices pour la série. À surveiller de près… La première partie de l’épisode est assez classique puisque l’on découvre le scénario de base, tel qu’il a été écrit par les scénaristes du Westworld (va falloir faire gaffe, dans nos critiques, à ne pas confondre « les scénaristes DU Westworld », le parc, et « les scénaristes DE Westworld », la série… ^^). Du coup, on découvre une bête histoire de western hyper classique avec histoire d’amour et père tué à la tombée du jour, mais les scénaristes de Westworld n’ont pas pu s’empêcher de vouloir jouer avec nous. Si au début, la mise en parallèle entre le dialogue entre Dolores et son père et la scène d’arrivée de Teddy nous fait croire que ce dernier est un visiteur du Westworld, on apprend à la fin de cette journée qu’il s’agit aussi d’un androïde. Cette révélation (des androïdes se cachent parmi les nouveaux arrivants) couplée à la journée qui recommence exactement comme elle a commencé au début de l’épisode, nous fait alors poser pas mal de questions, à commencer par : au final, qui est humain, qui est androïde ? Du côté des androïdes, il est facile de deviner que Dolores, son père, et Teddy le sont. Mais chez les humains, rien n’est moins sûr… Ed Harris semble l’être puisqu’il est capable de tirer sur les androïdes (on nous dit bien que les androïdes ne peuvent pas tirer sur les humains). On repensera alors à sa phrase : « cela fait 30 ans que je viens et tu ne te souviens toujours pas de moi »… Mais tout son dialogue est vraiment très énigmatique et fourmille de détails à analyser : « Je n’ai jamais compris pourquoi ils vous ont mis ensemble. Ça me semblait cruel. » Qu’est-ce que cela veut dire ? Pourquoi cela lui semble-t-il cruel de mettre ces deux personnages ensemble ? Si Ed Harris n’était pas intervenu (en supposant qu’il est humain), que serait-il advenu de Teddy et Dolores ? Puisque c’est la fin de la journée, ils ne se seraient pas fait tuer puisque Teddy avait réussi à écarter la menace. Il y a le père de Dolores qui meurt mais ça n’en fait pas moins un destin tragique pour le couple Teddy/Dolores… « Mais j’ai fini par comprendre : la victoire ne veut dire quelque chose que si quelqu’un perd. Ce qui veut dire que tu es le perdant ». Mais là encore, si Ed Harris n’était pas intervenu, que ce serait-il passé ? Teddy n’aurait pas perdu. Le dialogue de Ed Harris n’a alors de sens que si lui aussi est un androïde et qu’il vient à chaque fois pour tuer Teddy, et violer Dolores (enfin, c’est ce que l’on suppose qu’il fait). Mais alors pourquoi n’a-t-il pas été tué par Teddy ? Et pourquoi lui, a réussi à le tuer ? Serait-il l’un des rares androïdes (le seul) à posséder une arme véritable ? On repensera alors au flingue qui apparaît dans le générique… Ed Harris serait donc un androïde et il possèderait une « arme magique » ? Et pourquoi dit-il : « C’est bon d’être de retour ? », « ils t’ont rendu plus intrépide » avait-il dit à Dolores quelques minutes avant. C’est bien ça, il n’était pas venu depuis quelques temps… Sans oublier la phrase : « on dirait que tu n’es pas l’homme que tu croyais être »… Putain, si rien qu’une scène de 2 minutes nous fait poser toutes ces questions… Nous commençons alors une 2ème journée qui semble identique à la première. D’autres questions me viennent alors déjà : comment se passe la transition entre les journées. Les androïdes se téléportent-ils ? Ou bien se transfèrent-ils à leur point initial ? Mais alors les visiteurs ne doivent pas les voir, au risque de briser le 5ème mur (oui pas le 4ème puisque l’on parle du parc de Westworld, et non pas de la série) Comment tout cela se passe ? La caméra recule alors du Westworld pour nous montrer une version miniature de celui-ci pour aller vers le monde (le nôtre, j’imagine) qui contrôle ce Westworld. Lorsque j’ai vu ça, et n’ayant jamais rien su de l’histoire à travers le film duquel elle est adaptée, je me suis demandé : est-ce le véritable monde que l’on voit-là ? Les visiteurs doivent-ils alors être miniaturisés pour rentrer dans ce monde ? D’autres sur Internet parlent aussi d’univers parallèle, ou tout simplement d’un endroit sur terre qui abrite cet endroit. J’imagine que l’on nous expliquera ça plus tard… On retourne donc ensuite dans Westworld avec la seconde journée. On peut alors s’amuser à voir les différences qu’il y a avec la première et nous demander qu’est-ce qui a bien pu se passer pour que la scène que l’on voit soit différente de la précédente, alors que ce que l’on a vu juste avant était la même chose… Par exemple avec le shérif qui demandait auparavant à Teddy de s’occuper d’un malfrat, mais qui, cette fois-ci, le demande à ce qui semble être un visiteur. S’adressait-il à Teddy lors de la journée précédente parce qu’il n’y avait pas de visiteur dans les parages et qu’il fallait absolument quelqu’un pour poursuivre le scénario ? En tout cas, c’est avec cette histoire de malfrat que l’on pense forcément aux jeux vidéo, et notamment à Red Dead Redemption, pour le monde du Far West dans lequel ce jeu et la série évoluent. Le visiteur s’approche d’une cinématique et enclenche alors une mission qu’il peut choisir d’effectuer ou pas. Je pense que l’on est beaucoup à s’être amusé à suivre les PNJ dans GTA pour voir ce qu’ils font (nan, pas vous ?), mais on s’aperçoit bien vite qu’ils ne font malheureusement qu’une boucle dans le quartier, ne vont nulle part et ne suivent aucun scénario. Eh bien dans Westworld, si. Chaque personnage aura son histoire et vous n’aurez probablement pas assez d’une seule journée (en tant que visiteur) pour tout découvrir… Et ça m’a fait aussi penser aux jeux de rôle. Qu’ils soient grandeur nature ou sur plateau. Tout bonnement passionnant ! On a ensuite un visiteur qui reconnait Teddy pour l’avoir guidé dans le parc. Et c’est là que je me rends compte que les histoires des personnages semblent être d’une diversité assez fascinante, à partir d’une simple petite histoire d’amour bateau ! Une autre remarque me vient alors que je vois Ed Harris croiser la prostituée qui s’adresse à lui comme il s’adressait à Teddy lors de la première journée. Il semblerait donc que les androïdes ne font absolument pas la distinction entre les humains et leurs semblables. Voilà qui risque de nous donner de potentiels twists de ouf à venir dans la série… À moins que, encore une fois, Ed Harris soit un androïde… #headache Autre scène, autre nouvelle règle du Westworld. Si les androïdes ne semblent pas reconnaître leurs semblables, ils ne semblent pas étonnés de voir leurs semblables buguer, comme on le voit lors de la scène du couple de visiteurs qui a accepté la mission du shérif… On a aussi cette mouche qui semble être la cause de ces bugs (le shérif en est sujet lorsque la mouche se pose sur lui) mais elle ne le fait pas pour tous (Teddy et Dolores, eux, ne buguent pas, enfin pas au début…). Autre question : Qu’est-ce qui est scripté, qu’est-ce qui ne l’est pas. Les personnages que l’on voit sont-ils humains ou androïdes ? À chaque fois, il faudra attendre qu’un événement spécifique arrive pour prouver leur identité. Exemple avec cette famille d’afro-américains. Sont-ils humains ou androïdes ? On ne le saura qu’au moment où le gamin demande à Dolores si elle est réelle ou pas (ici, il est évident que les scénaristes du Westworld ne vont pas inventer une telle ligne de dialogue à une de leurs créations…). Et la scène de la photo trouvée par le père de Dolores, ce n’est clairement pas quelque chose de scripté puisque c’est une photo de quelqu’un à Times Square, aucun rapport avec le Westworld. Mais on les voit bien interagir avec cette photo. Alors ? Jusqu’à quel point sont-ils capables d’improviser ? Et qui nous dit qu’ils sont capables d’improviser de petites choses, seulement. Ou est-ce un bug qui touche déjà le père de Dolores ? Les androïdes peuvent se tuer entre eux, les humains peuvent tuer les androïdes, mais pas l’inverse. Mais alors comment fonctionnent ces armes ? Car ils tirent effectivement des balles. La preuve avec le malfrat qui boit du lait avec un trou dans le bide. Quel est le système mis en place pour ne pas que les humains prennent les balles ? Le scénariste en chef est-il un fétichiste du lait ? Bref, c’est complètement hallucinant ! Il n’y a pas une seule scène qui ne nous fait pas poser au moins une question (et c’est plus souvent plusieurs qu’une seule) ! Même le pilot de Lost ne nous le faisait pas autant ! Sans compter le potentiel absolument gigantesque de ce monde dans les histoires à venir. Si chaque androïde à sa propre histoire, et qu’elle a plusieurs ramifications selon ce qu’il va se passer avec les visiteurs ou pas, on est tout de suite vachement curieux de connaître tous leurs scripts ! On a aussi un peu de drama entre les différents gérants du Westworld. Mais je dois avouer que cela ne me passionne pas particulièrement pour l’instant. On peut donc redouter le pire comme le meilleur, de ce côté-là… On a aussi, bien sûr, le sujet de l’empathie pour les androïdes selon les humains. Cela m’a particulièrement frappé lorsqu’un des visiteurs arrive à tuer le méchant de la scène de Paint It Black et que sa femme s’amuse d’en voir un en train de cracher tout son sang. En parlant de Paint It Black, n’étant pas un grand fan des Rolling Stones (#TeamBeatles), je n’ai probablement pas autant été subjugué par la reprise de ce titre que mes collègues, mais je dois avouer que cela donnait une scène de pur western plutôt sympathique (même si pas transcendante pour ma part). Mais les scènes les plus impressionnantes, ce sont celles lorsque les androïdes se font questionner par leur maître. Notamment la scène où l’actrice incarnant Dolores doit passer d’un état de panique à un état apathique en une demi-seconde, mais surtout l’acteur incarnant le père qui doit jouer toute une palette d’émotions (le sérieux, la panique, la menace, la folie), tout en gardant une gestuelle robotique, voire robotique buguée. Complètement hallucinant ! En parlant du père, on remarquera que celui-ci est donc maintenant interprété par le personnage que l’on a vu au début de l’épisode sous les traits du barman. Un peu comme dans un pilot de série où il arrive parfois qu’un acteur soit recasté entre deux versions de l’épisode (et justement, cet épisode EST un pilot, coïncidence ?) Ah oui, par contre, petit défaut dans la mise en scène de l’histoire, ils utilisent par 2 fois la technique du murmure à l’oreille que le téléspectateur ne peut pas entendre. Un procédé un peu éculé en 2016, non ? Au final, voilà un premier épisode particulièrement impressionnant qui nous fait questionner à chaque instant sur ce que l’on voit. Seul problème à cela : à trop réfléchir, on se retrouve à n’éprouver que très peu de sympathie, voire même d’empathie pour les personnages. Pour les robots… car ce sont des robots, on ne s’inquiète nullement pour eux. Et pour les humains, la plupart évoluant dans l’ambiance très froide de leurs « bureaux », le tout avec beaucoup de sérieux, il est assez difficile de s’y attacher… En espérant que ce point-là s’améliore par la suite… |
Avis favorable | Déposé le 15 octobre 2016 à 09:19 |
Moi, le questionnement existentiel (qui suis je? La réalité que je vis est elle la vraie?), j'adore ça! Et comme tous j 'ai été piégé par le début. Mais, mais, mais, je suis moins emballé par ce pilote que d'autres. 1 - à mon goût, on voit trop souvent le côté des programmateurs. Ça casse le rythme et empêche l'immersion. 2 - comme pour The Exorcist (paye ta référence ), ça se dérègle trop vite. Trop de cyborgs deconnent dés le pilote. A mon avis, il faut d'abord montrer la normalité d'une situation pour que l'impact de sa dégradation soit forte. J'aurais aimé un épisode sur une journée normale dans ce parc d 'attraction, exploitant la richesse énorme de ce monde de jeux vidéo live, une sorte de Red Dead Redemption en vrai. ici, ça va trop vite. Ça reste bien, mais ça aurait pu être dément. |
Avis favorable | Déposé le 09 octobre 2016 à 16:48 |
Ca fourmille de pleins d'idées géniales (franchement, la boucle temporelle au format série, c'est une super idée qui n'avait pourtant - à ma connaissance - jamais été faite, et les morceaux modernes à la sauce western, c'est épique tout en restant cohérent avec l'intrigue), c'est original, divertissant, cohérent et intrigant, que demander de plus ? Tout de même, comme je suis pas doué, 2-3 petites questions : - Les visiteurs ne viennent que pour une seule journée ou restent sur place le temps qu'ils veulent ? Et du coup c'est lié : comment Ed Harris fait pour faire ce qu'il veut et être pépère ? - Pourquoi ça a emmerdé l'équipe que le braquage se finisse mal ? |
Avis favorable | Déposé le 09 octobre 2016 à 12:43 |
I see a red door and... Tout a été déjà assez bien écrit par le vénérable Koss. Je n'ai donc plus qu'à arriver à 100. Voilà. |
Avis favorable | Déposé le 09 octobre 2016 à 12:12 |
Prenez un peu de Jurassic Park, ajoutez-y un zeste de The Truman Show et de Frankenstein, mélangez le tout avec Groundhog Day. Le tout sur fond de Western et vous obtenez Westworld. Une recette étonnante, efficace et surtout très enthousiasmante. Que dire si ce n’est que c’est un excellent pilot. J’attendais beaucoup de cette série et je ne suis pas déçu. Visuellement et esthétiquement, c’est une réussite et cet épisode regorge de plans magnifiquement mis en scène. Sans surprises, le casting fait des merveilles, avec une mention spéciale à Ed Harris et Mr Anthony Hopkins. Le générique est sublime. Le scénario est d’une fluidité incroyable et on ne voit pas passer le temps. Les thématiques sont intéressantes et surtout très bien amenées dans le récit, surtout celle portant sur le libre arbitre. La mécanique fonctionne avec brio, le concept est maîtrisé de bout en bout, offrantes multes réflexions. Pour être honnête, j’ai un peu de mal à voir ce que l’on pourrait jeter dans cet épisode. L’histoire se suit pour le moment avec une certaine facilité et les questions/mystères posées ne sont pas trop compliquées et restent finalement assez simples (même s'ils sont bien présents, j'ai pas l'impression qu'on cherche à m’embobiner avec une multitude de mystères et de secrets non plus).
Bref, c’est un pilot prometteur et efficace qui ne donne qu’une envie : découvrir la suite. C'est brillant :) |
Avis favorable | Déposé le 06 octobre 2016 à 20:50 |
C'est vraiment très intriguant, c'est la première impression que j'ai eue. Pour l'instant il n'y a pas vraiment d'intrigue, on va dire que c'est plus un épisode de présentation. J'ai hâte d'en connaître un peu plus sur l'univers et sur les personnages (notamment celui joué par l'incommensurable Anthony Hopkins). Tous les acteurs font un sans faute pour le moment, vivement la suite et la découverte d'une menace (parce que forcément , à un moment tout ne sera plus aussi rose) |
Avis favorable | Déposé le 05 octobre 2016 à 22:03 |
Un épisode fantastique, incroyable, extremement intriguant, assurément le plus complexe et l'un des meilleurs que j'ai pu voir, du très beau travail! |
Avis favorable | Déposé le 05 octobre 2016 à 15:42 |
Un pilote parfait aussi bien sur la forme que sur le fond ! Le générique est très beau mais un peu long à mon goût.. La réalisation du petit frère Nolan est efficace et maîtrisée de bout en bout et puis visuellement c'est une belle claque ! Leçon 1 : Toutes les séries ont besoin d'un Ed Harris ! il est là pour poser ses couilles sur des têtes. Leçon 2 : L'utilisation du 35mm... sérieusement c'est la vie... Leçon 3 : Choisir Hopkins pour ce rôle était le meilleur choix possible... La scène entre le père de Dolorès et "son créateur" est puissante et efficace.. à l'image de la première apparition du "Man in Black"... |
Avis favorable | Déposé le 05 octobre 2016 à 14:55 |
Excellent pilote qui en met plein les yeux tout du long. Ça ne pouvait pas vraiment se planter en même temps. Reste à voir si la série pourra s'élever. Détails dans la critique. |
Derniers articles sur la saison
Bilan - Podcast : Westworld saison 1
Où nous faisons le bilan, calmement.
Critique - Podcast : Westworld 1.10
Où tout est révélé.
Critique - Podcast : Westworld 1.09
Internet VS Westworld.
Effectivement, excellent pilot - je n'ai pas grand chose à ajouter à ce qui a été dis précédemment...
Je suis plus réservée sur le sous-texte, cf. mon avis de l'épisode suivant.