Bilan 2018-2019 de Nicknackpadiwak

Le 30 juillet 2019 à 08:42  |  ~ 18 minutes de lecture
Un bilan mois par mois par moi.

Bilan 2018-2019 de Nicknackpadiwak

~ 18 minutes de lecture
Un bilan mois par mois par moi.
Par nicknackpadiwak

 

Comme chaque été, les membres de l'équipe de Série-All rédigent leur bilan par rédacteur de l'année de séries qui vient de se terminer, afin que vous puissiez le lire, au calme et au frais, en sirotant un cocktail, sur un hamac, devant un décor paradisiaque. Ou à Paris-Plage, cela marche aussi (et en plus, cela produit moins d'émission de CO2). C'est moi qui ai l'honneur d'ouvrir le bal et je vous propose donc mon bilan mois par mois par moi (je suis assez fier de cette allitération, je ne vous le cache pas).

 

Logo Série-All bilan 2019 Nick

 

Une fois mon bilan de l’année passée publié, j’ai commencé le nouvel exercice par le rattrapage d’une série sortie en juin 2018 et qui forcément serait un monument, j’ai nommé Yellowstone. Imaginez : le retour de l’iconique Kevin Costner dans le rôle d’un cow-boy moderne dans une saga familiale, le projet était excitant et je savourais déjà ce Dynasty 2.0, mélangeant drames, soap et déchirements familiaux. Que j’étais naïf... Car au lieu de ça, j’ai vu une série d’une crétinerie absolue, bête comme ses pieds et écrite au burin, au point d’en devenir un monument de comique involontaire. Mon année de séries venait à peine de commencer et je tenais déjà ma référence en matière de nanard puissant. Durant ce rattrapage, j’ai aussi terminé The Affair saison 4. Après les deux premières saisons pleines de mystère qui interrogeaient la notion de subjectivité dans le couple, puis une troisième qui avait été assommante d’ennui, la série a pris un surprenant tournant vers le soap décomplexé. Les situations deviennent énormes, parfois grotesques et risibles, mais au moins la série est redevenue fun.

 

Photo de Yellowstone. Kevin Costner et son fils à cheval

"Dis Papa, pourquoi Yellowstone, c'est si nul?" "J'avais lu que la première page du scénario."

 

En juillet, j’ai regardé Sharp Objects. Du moins, si j’en crois les notes publiées sous mon pseudo. Car je n’ai plus le moindre souvenir de cette série, à part une réminiscence de sentiments négatifs tel l’ennui infini et l’exaspération. En parlant d’exaspération, j’ai abandonné Preacher saison 3. Trop de pertes de temps grossières pour une ou deux scènes réussies ont eu raison de moi. Je suis retourné le cœur léger et sans grande attente à East Peck pour Trial & Error saison 2. J’ai beaucoup de sympathie pour ce genre de série sitcom mockumentary à la Parks and Recreation ou The Office, même si les défauts de la saison 1 n’ont pas été corrigés (épisodes inégaux, une enquête dont on se contrefout, quelques personnages méga relous (suivez-mon regard)). Mais il y a toujours deux à trois gags par épisode vraiment pas mal. Puis Nicholas D’Agosto est très bon en avocat de la ville qui se retrouve entouré de péquenauds bas du front.

 

En août, je n’ai pas été enchanté par Désenchanté, la nouvelle série du papa des Simpson. Trop de peu de gags, de personnages marquants et de rythme. Il parait que cela s’améliore en fin de saison, donc pourquoi pas lui redonner une chance un de ces quatre. J’ai été blasé par Ghoul, la série indienne (en fait un film découpé en trois parties) a fait sa gogole et a recyclé sans imagination ni scrupule tous les clichés des films d’horreur américains. Et toujours sur Netflix, je suis tombé de haut avec Better Call Saul. Elle, qui est l’une de mes séries préférées, a commencé à monter d’inquiétants signes d’essoufflement. La mort de Chuck a fait beaucoup de mal au show qui a perdu son antagoniste principal. Conséquence, on arrive à une forme d’impasse avec la relation Jimmy-Kim qui ronronne, Mike enfermé dans un trou et des ficelles qui commencent à trop se voir. Il serait vraiment temps que la série pense à tirer sa révérence.

 

En septembre, j’ai remis ma tête de cheval pour BoJack Horseman qui est revenue avec une saison 5, confirmant l’excellence de cette série. Sombre, drôle, surprenante, capable de proposer un épisode réussi reposant sur un monologue de vingt-cinq minutes, la série arrive néanmoins au bout d’un cycle et la majorité des personnages commencent à avoir du mal à ne pas se répéter. La prochaine saison sera celle du quitte ou double. J’ai suivi The Good Place saison 3 de manière assez dubitative, car la série continue d’avancer en claudiquant à cause notamment de personnages qui n’évoluent pas (Jason, Tanahi et l’épouvantable Janet) et le parti-pris de vouloir twister tous les trois épisodes. On commence à vraiment sentir que les scénaristes improvisent totalement le déroulement de l’histoire et ne savent pas trop où ils vont. Je me suis laissé emporter par Kidding avec le grand retour de Jim Carrey. Ce dernier est évidemment génial en clown bipolaire, son show pour enfants permettant à Michel Gondry de pondre ses scènes pleines de bricolage et de poésie dont il a le secret. Tout n’est pas parfait, mais la série a proposé de belles choses (notamment une idylle avec une mourante). Je suis ensuite retourné avec un plaisir inouï arpenter les trottoirs de The Deuce qui confirme son statut de "classique instantané". Chaque épisode est une plongée immersive dans le New York des années 70 et parle, entre autres thèmes, du combat des femmes pour sortir du carcan d’une société patriarcale qui les exploite. Tout est beau, fort, frappant et puissant dans cette série.

 

Photo de Kidding avec Jim Carrey levant le bras devant une peluche
Un Jim Carrey bien content d'être bien noté dans mon bilan. C'est bien, mais faut prendre ses médicaments maintenant.

 

Octobre fut le mois du macabre et de l’horreur. Je suis retourné sur le canal de Channel Zero qui est toujours la meilleure série d’horreur anthologique, même si pleine de défauts (le jeu d’acteur est très inégal et c’est parfois un peu con et kitsch), mais elle propose des scènes d’horreurs marquantes. Pour cette saison 4, Pretzel Jack, le croquemitaine effrayant et contorsionniste, a été une vraie réussite. J’ai rigolé de Tell me a Story qui a voulu transposer les histoires pour petits (le Petit Chaperon rouge, les Trois Petits Cochons) à notre époque, mais a trop vite pris les chemins de la facilité scénaristique et donc de la bêtise. Je pourrais évoquer une nouvelle fois la relative déception que fut The Haunting of Hill House, mais il est préférable de lire le papier écrit avec mon confrère Koss pour plus de détails. J’ai été déçu par le final de Z Nation qui s’est terminé sur une saison 5 vraiment pas convaincante, minée par des méchants en carton et des épisodes moyens sans rythme. Triste crépuscule. Et enfin, j’ai été douché par Doctor Who. Cela devait être la saison du renouvellement avec un nouveau Docteur (une femme qui plus est) et un nouveau showrunner. Mais las, la chute fut dure. Handicapée par des compagnons sans charisme et des scénarios linaires, le Docteur a livré une des ses pires saisons.

 

En novembre, ce fut le grand écart pour les séries françaises. D’un côté, je suis resté de marbre devant Ad Vitam, la nouvelle série d’anticipation française (et nouvel échec), qui s’est avéré être une série languissante, un pensum jamais fun et manquant de moyens pour rendre crédible son monde futuriste. Seule une impressionnante Garance Marillier a sauvé les meubles. De l’autre côté, j’ai été enthousiasmé par Hippocrate, merveille d’écriture, portée par des personnages forts et/ou attachants et au rythme impeccable. Et en plus, il y a le trop rare Jackie Berroyer qui joue dedans. Moins francophone, j’ai suivi sans trop savoir pourquoi The Kominsky Method qui a été, au final, un divertissement sympathique avec pour thème le vieillissement, la question du deuil et les problèmes de prostate (oui, oui). Cette série a aussi marqué le retour au premier rang de Michael Douglas, même si ce dernier se fait voler la vedette par Alan Arkin, excellent en agent râleur et bougonneur.  

 

En décembre, bizarrement, il semble que je n’aie pas regardé de série. Étrange. J’ai demandé à ma famille, mais ceux-ci ne se rappellent pas d’un coma dans lequel j’aurais été plongé. Idem, selon mon agenda, pas de kidnapping ni de période de séquestration par un groupuscule terroriste au Yemen. Un vrai mystère mystérieux. Bref, il y a tout de même eu l’épisode 1 de la saison 5 de Back Mirror, son épisode "interactif". Les guillemets sont présents pour marquer au final la petite arnaque de l’entreprise, car le nombre de choix reste limité et l’épisode nous oblige à revenir constamment sur son tronc principal. Mais une fois accepté ça, l’expérience est sympathique à faire.

 

Photo d'Hippocrate : Alison et une collègue devant un scanner

"Et toi, tu regardes La casa de papel ?"  "Oh, ta gueule."

 

L’année 2019 n’a pas méga bien commencé avec l’épisode de Nouvel An de Doctor Who qui a confirmé le mal que je pensais de cette nouvelle saison. Comme beaucoup, j’ai été surpris par le retour de True Detective, surpris, mais pas emballé, cette troisième saison ressemblant trop à la première pour être honnête. Reste un Mahershala Ali incandescent. J’ai été agréablement étonné par Kingdom et ses zombies coréens. Même si la série n’apporte rien de neuf et ne fait que recycler ce qui a été mieux fait ailleurs, le résultat se laisse regarder et est même parfois spectaculaire, tel ce second épisode intense.

 

En février, j’ai suivi avec parfois beaucoup de réserves Poupée Russe. Si le thème est intéressant et si j’ai succombé à la voix rauque de Natasha Lyonne, j’ai trouvé que la série n’était pas très honnête dans son développement, notamment en prenant tous les prétextes possibles et imaginables pour empêcher la collaboration entre Nadia et Alan, les deux lost in time. Je n’ai pas aimé autant que je l’aurais voulu Miracle Workers, qui malgré un Steve Buscemi royal en Dieu bordélique et lunatique et quelques bonnes idées ou gags, a souffert d’une première partie vraiment trop laborieuse.

 

Gros mois de mars ! Pour commencer, j’ai craqué d’amour pour le retour de Fleabag. Même si, forcement je suis resté un peu sur ma faim et frustré, car j’en voulais plus et que cette série ne s’arrête jamais, j’ai applaudi la formidable Phoebe Waller-Bridge, ses idées, son humour, la relation avec sa famille dysfonctionnelle, sa love-story avec un prêtre renardophobe, bref tout l’univers de cette série. Je suis resté plus perplexe devant Love, Death & Robots, cette sorte de mini-Black Mirror, mais tombant un peu trop souvent dans la violence gratuite ou le sexe racoleur. J’ai laissé tomber American Gods pour les mêmes raisons que Preacher (notamment car je m’y ennuyais). J’ai bien aimé le retour de Rick Gervais dans After Life, qui est peut-être sa série la plus attachante et immédiate, même si la happy-end finale n’est pas très bien dosée. J’ai joui avec la bande de Now Apocalypse de Gregg Araski. Ce monde coloré où tout le monde baise sans cesse, en attendant l‘arrivée d’Aliens violeurs et probables responsables de la fin du monde m’a emballé, même si je reconnais que l’histoire de fond n’avance pas des masses. J’ai été au début content du retour de Barry, le tueur qui veut se reconvertir en acteur, mais je regrette une deuxième partie de saison qui s’essouffle. La série avait l’occasion de monter d'une division, elle a loupé le coche et reste un divertissement sympa sans plus. Enfin, j’ai pleuré toutes les larmes (de rage) de mon corps devant la déliquescence d’Arrested Development qui a proposé une deuxième partie de saison d’une médiocrité sans nom. Prisonnière d’histoires sans intérêt, avec un humour qui ne repose que sur Job, cette saison 5 a été la terrible agonie difficile à regarder d’une sitcom qui m’avait tant fait rire.

 

Photo de Fleabag en train de lire la bible dans son bain

"Quoi ? Où ça une mouche ?"

 

En avril, j’ai découvert des plaisirs coupables avec BONDiNG, série qui ne paie pas de mine, mais qui s’avère de manière surprenante attachante, malgré un final totalement loupé. J’ai aussi été surpris par Black Summer, préquel sérieux de Z Nation où le travail sur le son (peu de dialogues ou musique de fond) a renforcé l’état d’urgence ressenti lors du visionnage de ce monde en train de s’effondrer. J’ai suivi Vernon Subutex, plus par curiosité que par passion, confirmant une nouvelle fois que Romain Duris transpire la classe. Mais les bouquins sont évidemment mieux. J’ai embarqué une nouvelle fois pour l’Italie et ses mafieux de Gomorra pour y retrouver malheureusement la même chose que lors des saisons précédentes malgré la prise de pouvoir des femmes, soit une série très belle et stylisée, avec des personnages charismatiques et sans pitié, mais aussi une saison avec beaucoup de longueurs et une histoire qui se répète saison après saison (retour au calme, montée de tension, nouvelle guerre des gangs et enfin mort d’un protagoniste principal).

 

En mai, les retombés radioactives de Chernobyl sont tombées sur moi. Véritable claque, cette série m’a terrifié, passionné, effrayé, fait réfléchir, bref elle m’a longtemps hanté. Au point de devenir le casse-bonbons de service, de l’évoquer sans cesse en société et de la conseiller fortement à tout le monde. Même si elle est parfois trop romancée, c’est pour moi LA série 2019. Dans un autre registre, j’ai suivi Good Omens, plus pour son casting et notamment son duo principal que pour son résultat (un gloubi-boulga pas très digeste d’Antéchrist, sorcière, démons, ange, fin du monde et nawak puéril).

 

En juin, j’ai perdu mes derniers espoirs en Black Mirror avec ces trois nouveaux épisodes qui, pour une pour semi-réussite (le deuxième), a proposé un épisode cynique et inutile (le premier) et une connerie sans nom qu’on penserait sortie de la chaîne Gulli. En ce moment, je souffre pour terminer Legion qui présente plus de scènes WTF inutiles que de vrais morceaux d’éclats, bien que la tendance semble s'inverser en fin de saison. Je continue de suivre Pose et sa communauté transgenre dans une saison 2 beaucoup plus sombre, mais toujours aussi énergique et extravagante, même si elle n’est pas toujours la plus subtile des séries.

 

Mes rattrapages :


Durant cette année, j’ai enfin terminé les Monty Python ‘s Flying Circus des doux-dingues anglais. Forcément inégale, mais souvent culte et bien drôle. Je me suis relancé dans l’intégrale Seinfeld, sitcom qui a peut-être vieilli du point de vue esthétique, mais dont l’humour tient encore très bien la barque et me fait vraiment rire. J’arrive aussi à la fin de Friday Night Lights et son équipe de foot texane. Rarement géniale, mais très attachante. J’ai terminé aussi le pénible Platane, mais vraiment par amour pour Eric Judor, car l’écriture est très laborieuse. Je continue South Park, douzième saison et pour l’instant pas de signes d’essoufflement dans le trash ou le pipi-caca. Mais surtout je me suis lancé dans It’s Alway Sunny in Philadelphia et je commence à entrevoir (après une saison et demi) l’énorme potentiel comique de cette sitcom culte et très politiquement incorrecte.

 

Photo de Chernobyl : Legassov et son équipe suivant le déroulé des opérations.

L'équipe de Chernobyl regardant, horrifiée, la dernière saison d'Arrested Development

 

Mon top 10 :

  1. Chernobyl
  2. The Deuce
  3. Fleabag
  4. Hippocrate
  5. BoJack Horseman
  6. Now Apocalypse
  7. Pose
  8. BONDiNG
  9. After Life
  10. Kidding

Mon flop 10 :

  1. Arrested Development
  2. Yellowstone
  3. Doctor Who
  4. GHOUL
  5. Preacher
  6. Sharp Objects
  7. American Gods
  8. Z Nation
  9. Black Mirror
  10. Better Call Saul

Mes attentes pour l’année prochaine :

  • The Deuce saison 3
  • Rick and Morty saison 4
  • Watchmen
  • Mytho sur Arte dont j’entends beaucoup de bien
  • Westworld saison 3. Non, je trolle, ce sera nul et chiant
  • La version russe de Chernobyl où l’on apprendra que c’est Vladimir Poutine qui faisait partie des plongeurs, puis qui a nettoyé le toit en tenant sa respiration, avant de construire en un week-end le double coffrage de béton
  • Platane saison 3 (j'ai des tendances maso, c'est admis, arrêtez de faire vos surpris à chaque fois)
  • Kaamelott le film (peut-être)
  • Les deux séries tirées d’Alien sur Hulu (pas de date prévue, donc je pense que je me touche)
  • Fleabag saison 3 (laissez-moi rêver)
  • Twin Peaks saison 4 (mais laissez-moi !!)

 

Voilà, c'était mon bilan GOT free. N'empêche, alors que l'année passée était assez faible, cette saison fut assez riche avec au moins quatre séries (les quatre premières de mon classement) qui m'ont vraiment touché et fait vibrer. Et maintenant que Game of Thrones est finie, c'est une page de l'Histoire des séries qui se tourne. Quelles seront les Next Big Things? Impossible à dire, mais je fais confiance aux créateurs (et/ou à la roublardise des services marketing) pour nous faire saliver dans les mois qui viennent.

C'est fini pour moi, je passe le mic à Manoune398.

L'auteur

Commentaires

Avatar Altaïr
Altaïr

Super bilan, hyper bien écrit comme d'habitude !

Tu mets la barre haut :)


Avatar Jo_
Jo_

Complètement en phase avec ton top 5 (je n'ai pas regardé les 5 dernières), et avec tes attentes pour l'année prochaine (et pas que pour Twin Peaks, non non non !). Très bon bilan, sinon, chef :)


Avatar Silencieux
Silencieux

Si tu aimes Seinfeld, tu peux enchaîner sur "Curb Your Enthusiasm" (Larry et son nombril ou Cache ta joie au Québec) de Larry David (producteur et show runner sur Seinfeld)


Avatar nicknackpadiwak
nicknackpadiwak


@ Altaïr et Jo_, merci :).

@Silencieux, j'ai regardé la première saison de Larry, mais elle m'a fortement deçu. Les scénarios étaient systématiques : Larry se comportait comme un connard et celui lui retombait dessus à la fin de l'épisode, là où Seinfeld bénéficie de plusieurs types d'humour. Mais peut-être que les autres saisons sont plus funs....


Avatar Manoune398
Manoune398

Super bilan ! J'aime le concept du mois par mois :)

On a quelques séries en commun : 

- Sharp Objects : je m'en souviens vaguement, tu n'es pas le seul !

- Russian Doll : j'ai beaucoup beaucoup aimé

- True Detective : très ressemblante à la saison 1, j'en conviens, mais Mahershala Ali est éblouissant c'est clair et net !

- BONDiNG : une des découvertes les plus sympathiques et surprenantes de la saison ! Je n'ai pas été gênée par le final, par contre.

- POSE : la seule série actuelle sur laquelle on est synchros! Je suis peut-être un peu plus sévère que toi parfois, mais je suis d'accord par rapport à la super énergie qu'elle dégage, et puis le cast est top (même si Damon en fait un peu des caisses). Indya Moore <3

2 réponses
Voir les réponses

Image Chernobyl
15.38
Image The Deuce
15.34
Image Fleabag
15.01
Image Interns
14.7
Image Pose
14.26
Image BONDiNG
12.75
Image After Life
13.5
Image Kidding
13.56

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