Avis sur les séries
Avis sur les saisons
Malgré de grands noms du cinéma d’horreur (Tobe Hopper, John Carpenter, Dario Argento, Joe Dante, une anthologie très décevante. Seul la Maison des Sévices tient son rang, les autres segments alternent le sympa sans plus ou le sans-intérêt. Pas du tout indispensable…
Avis sur les épisodes
Certains esprits chagrins (Soupe) vont trouver ce final fade et attendu, sans surprise. Et c’est vrai qu’il n’y a pas de véritables surprises à l’horizon (du Sam qui reste à Nathan en mode Anakin Skywalker en passant par le but de la dernière seconde), mais ça fait le job, je trouve et rend le cœur léger. Faut pas en demander beaucoup plus à Ted Lasso que d’être une feel-good série, je pense, un guilty pleasure qui fait du bien par son positivisme et son optimise en ces temps dures et brutaux
Pour cette reprise, le club de Richmond vient de se faire tacler par Nathan en conférence de presse et Rebecca demande à Ted de répliquer lors de l'interview devant les journalistes. Au lieu de lancer les offensives, le coach commence à s'autoflageller, un malaise s'installe, mais à force, tout le monde se prend au jeu et Ted sort grandi du moment. Bref, le genre de scène clichée, qu'on retrouve dans toutes les mauvais sitcoms ou comédies pourries, insupportable car gavée de bons sentiments et surtout parce qu'à mille années lumières de notre réalité. En effet, jamais au grand jamais, ce genre d'évènement ne pourrait arriver dans notre monde. Mais pourtant, malgré tout, ça fonctionne ici et j'ai eu un sourire un peu bête et une petite chaleur agréable dans le ventre. La preuve que cette série reste magique et que la foi qu'elle a en son enthousiasme contamine ses spectateurs.
Tout ça pour dire que j'ai retrouvé avec plaisir toute la team pour cette dernière saison, même si clairement les enjeux proposés risquent de ne pas trop nous réserver de grandes surprises (Richmond va-t-il finir 20ème ? Je ne suis pas certain. Ted va-t-il tout quitter pour retrouver son fils au US à la fin de la saison ? C'est une possibilité. Nathan va-t-il resté un gros connard et ne pas redevenir un gentil copain avec Ted & Co ? Peut-être pas. Roy et Keeley, c'est vraiment fini, fini ? J'ai comme un doute.)
Mais bon, on va laisser Ted faire son Ted, n'est-ce pas ?
La rupture entre Roy et Keeley est tout de même une sacrée mauvaise idée que je ne comprends pas trop. Elle plombe par conséquence ce début d'épisode, d'autant que les subplots proposés ne font pas rêver (Keeley galère dans son rôle de manager, Trent Crimm en personnage permanent pour cette dernière saison). Heureusement, le coup de boule de Zlatan, pardon Zava et le retour du foot donne une secousse qui fait du bien et la série semble sortir de sa torpeur, en proposant des moments bien chouettes que j'ai suivi un sourire aux lèvres.
"La frontière entre amour et harcèlement est bien mince" d'une Keeley attendrie par Rebecca qui vient de raconter sa rencontre avec son ex-mari, lol.
Le Zlatan'show !!
L'épisode ne vaut vraiment que pour ça, cette présentation de ce personnage hors norme, ensuite on comble avec les histoires sentimentales (et souvent contrariées) des personnages, parties qui ne sont pas les plus intéressantes du show.
Heureusement, la fin (Trent va-t-il dynamiter le vestiaire en révélant l'homosexualité, forcément cachée et honteuse dans ce sport, d'un joueur de l'équipe ?) relance un peu cet épisode de transition.