Fringe

Depuis quelques épisodes j’évoquais le fait qu’un épisode dans le monde rouge serait le bienvenu pour dynamiter la série. En effet, tout le monde s’accorde à dire que ce début de saison 3 de Fringe était très bon, l’une des raisons de cette réussite étant cette alternance entre les deux monde qui donnait du peps à la série. Début du visionnage de l’épisode : une Olivia rousse, un générique rouge, un large sourire dès le départ : l’épisode semble bien parti

Avec cet épisode, Fringe nous prend totalement à revers en nous proposant un retour dans les années 80. Dans la saison 2 nous avions déjà fait ce petit bond dans le temps pour voir de quelle façon Walter avait enlevé Peter. Cet épisode est la suite directe de cet acte et, en plus d’être une grosse surprise, c’est une franche réussite.

L’une de mes plus grandes craintes pour Fringe est que les scénaristes nous recollent des stand alones au bout d’un moment. Je le sentais venir et là ça n’a pas manqué ! Alors certes il y a quelques révélations (et encore…) mais cet épisode était légèrement dispensable, d’où une certaine déception...

Après un épisode plutôt calme et un peu avare en révélations, la crainte du retour des stand alones se faisait sentir. Mais heureusement pour nous, les scénaristes de Fringe ont décidé de porter leur série à un autre niveau en proposant un fil rouge passionnant !

A l’annonce de la venue en guest de Chistopher Loyd (Retour vers le futur, est ce utile de le rappeler ?), cet épisode de Fringe était attendu avec impatience pour retrouver notre bon vieux doc. L’acteur n’est pas du tout utilisé dans le registre savant foldingue, Walt étant déjà là pour ça, mais pour un personnage plus sérieux et dramatique. Alors reconversion réussie ?