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L’épisode précédent bouleverse quelque peu la logique établie précédemment dans 24h chrono, pas du point de vue de la forme mais plutôt par le fait qu’il y avait une inversion des rôles (Jack emmené de force dans une mission, plus de CAT, Tony du côté des terroriste, plus de président masculin, …). Dans cet épisode, Jack impose sa méthode au FBI et prend l’ascendant sur le reste de l’équipe, c’est surtout représenté par sa relation avec l’agent du FBI (Renee Walker). Cet épisode ne dénie pas les préceptes établis dans le précédent, il y a toujours autant de bouleversement et cette démarche de « briser » la structure 24 est toujours présente.

Après l’arrestation de Tony, tout portait à croire que nous avions déjà été rassasiés en émotions pour 4-5 épisodes et que les scénaristes de 24 qui s’étaient déjà pas mal foulés jusque là, feraient un petit break créatif. Il n’en est rien, le 3ème épisode suit la lignée de cette 7ème saison particulièrement attrayante jusque là …

La plupart des protagonistes sont de retour à notre plus grande joie. Désormais les ex-membres de la CAT travaillent en aparté pour trouver l'éventuelle taupe qui sévirait au FBI. Ce n'est pas au cours de cet épisode que nous allons nous lasser, gageons que cette saison 7 continue sur cette lignée !

Après une première saison qui à mon gout se cherchait entre le sérieux et le burlesque, la saison deux de "Dr Who" nous revient avec un pilote de saison qui met visiblement plus de moyen et surtout, de lucidité. Que vaut donc ce nouveau Docteur ?

Un couple qui veut se sacrifier l'un pour l'autre par culpabilité et House qui mène une enquête... par culpabilité.

House est de retour! Après un épisode de pauvre qualité, en voici un bon, un House A.O.C

Un House complètement allumé qui met le feu à la fête qu'il organise pour l'enterrement de vie de garçon de Chase! Complètement déjanté ce House! Hallucinant...

Quand House rencontre Mos Def sur une histoire fortement inspirée du livre: Le scaphandre et le papillon, ça donne un épisode d'anthologie.

Brutalité, corruption, meurtre, trafic de drogue, proxénétisme... On a déjà vu ce genre de délits dans bon nombre de séries. Plus ou moins bien traité, le point de vue manichéen y est souvent bâclé, survolé, voire débilisé à outrance pour plaire au plus grand nombre. The Shield est une série qui visiblement, ne prend pas de gants avec le téléspectateur. Et elle a tout compris.

L'épisode pilote nous avait laissé avec une image choc qui nous envoyait directement en plein cœur de l'ambiance de la série. On se retrouve donc avec ce second épisode qui confirme largement les attentes.