Band of Brothers
Frères d'armes
Vivez la Seconde Guerre mondiale aux côtés de la Easy Company, un groupe de soldats américains. Suivez-les en tant que groupe, ou individuellement, depuis leur formation en 1942, jusqu'à la libération de l'Allemagne nazie en 1945, en passant par leur parachutage en Normandie le 6 juin 1944
Terminée | Américaine | 60 minutes |
Guerre, Action, Adventure, Drama, Mini-Series, War | HBO, France 2 | 2001 |
6 avis favorable
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Avis sur l'épisode 1.09
Avis favorable | Déposé le 14 octobre 2012 à 15:09 |
Un épisode qui nous remplis d'émotions avec une nouvelle perspective de la découverte des camps très bien réalisé!!! |
Avis favorable | Déposé le 08 janvier 2012 à 10:42 |
moi j'ai trouvé la caméra assez pudique, et les réactions de part et d'autre assez crédibles. Intéressant de mettre en valeur le doute sur les allemans qu'ils rencontrent avant et après la découverte du camp. nazi ? pas nazi ? Bref, ça reste très humain, très nuancé. Il est facile de tomber dans la caricature avec ce sujet et là j'ai trouvé que le ton était juste. |
Avis favorable | Déposé le 24 octobre 2011 à 13:50 |
Personne ne savait ce qu'il se passait en Europe, les américains encore moins... On tremble ne même temps qu'eux... |
Avis favorable | Déposé le 05 juillet 2011 à 23:15 |
J'ai eu beaucoup de mal à me dire que les américains ne connaissaient pas l'existence des camps. La découverte des camps était trop longue et surfaite. Pas vraiment de peine (bon je me suis taper TWD avant ca peut s'expliquer). |
Avis favorable | Déposé le 01 mars 2011 à 00:26 |
La découverte du camp est chocante autant pour les soldats que pour nous. Cet épisode montre bien que les américains ne savaient pas exactement contre qui ils se battaient. |
C'est assez formidable et à la fois effrayant de se dire qu'après tout ce temps, et quasiment à la fin de la guerre, les Américains ne savaient toujours pas pourquoi ils étaient là. Se dire que ces hommes ont fait cela sans autre motivation que de répondre à l'appel de leur patrie.
Et découvrir leur stupéfaction devant l'horreur des camps, souffrir avec eux, sans tomber dans la dégoulinade et l'exagération de sentiments, tout en justesse, c'est encore plus prenant. La scène où Liebgott doit leur annoncer qu'ils doivent retourner dans le camp pour qu'on s'occupe d'eux, là encore est parfaitement nuancée, rien de trop.