Better Call Saul
Six ans avant de croiser le chemin de Walter White, Saul Goodman, connu sous le nom de Jimmy McGill, est un avocat qui peine à joindre les deux bouts, à Albuquerque, au Nouveau-Mexique. Pour boucler ses fins de mois, il n'aura d'autres choix que se livrer à quelques petites escroqueries. Chemin faisant, il va faire ...
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Terminée | Américaine, US | 45 minutes |
Aventure, Drame, Crime, Drama, Comédie | AMC, NETFLIX (FR) | 2015 |
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Avis sur l'épisode 2.01
Avis défavorable | Déposé le 01 février 2017 à 23:13 |
Très déçu, autant dans breaking bad c'etait lent mais super intéressant autant là je me suis fait chier comme un rat mort. Il se passe rien. |
Avis favorable | Déposé le 30 mars 2016 à 00:07 |
Les 20 premières minutes ont été extrêmement pénibles. J'avais du mal à rentrer dedans, je pensais à autre chose... Et puis Kim arrive et enfin des choses un peu plus intéressantes se passent, même si au fond c'est bien gentillet. C'est entrecoupé de choses vraiment pas folichonnes (le gars avec sa collection de cartes de baseball, je n'ai rien bité avant de lire la critique de Koss). Mais la relation Kim/Jimmy est en effet plutôt pas mal (même si j'ai encore du mal à tout saisir, leur passé a l'air incomplet et le spectateur est un peu exclu de leur relation, je trouve) et j'ai beaucoup aimé le moment de l'arnaque. La scène de fin est super cool. Tant qu'à faire un truc qui nous plonge à la limite de l'ennui, autant en faire un truc qui porte un symbole sympa. On retrouve assez la marque BB dans cette façon de conclure les épisodes de BCS avec une image banale mais qui a du sens. Bref un épisode sympathique mais c'est toujours pas lui qui va me faire accrocher pleinement à la série... Vraiment ça a l'air très intéressant l'univers de BCS, mais j'ai un peu peur que je sois juste destiné à l'admirer de loin, sans jamais vraiment parvenir à m'y plonger. Il faut dire aussi que la série ne fait pas vraiment d'effort pour être plus attractive que ça... il y a des séries qui arrivent à te coller des punchlines de ouf et des symboles tout le temps, sans pour autant être aussi chiantes quoi... Enfin, je vais forcer un peu et advienne que pourra, je ne passe pas un mauvais moment non plus tout de même. |
Avis favorable | Déposé le 13 mars 2016 à 21:58 |
Excellente reprise qui revient sur l'élément qui le moins convaincant de la première saison à mes yeux: Kim. Sinon, c'est maîtrisé, les créateurs font preuve d'une telle confiance en leurs acteurs, leur écriture et leur univers qu'on a plus qu'à s'asseoir pour profiter du spectacle. |
Avis favorable | Déposé le 04 mars 2016 à 00:10 |
Pas l'épisode le plus dense, mais les forces de la série sont toujours là, l'alchimie entre Odenkirk et Seehorn encore croissante, et ça fait plaisir de replonger dans cet univers, ce style posé et amusant. (L'absence du bonheur que ce soit dans la branlette au soleil ou le quotidien du boulot, aussi prestigieux soit-il... like if you cry everytime.) |
Avis favorable | Déposé le 24 février 2016 à 22:43 |
Et c'est reparti pour un tour. Comme d'hab, on retrouve ABQ comme si on ne l'avait jamais quittée. C'est un épisode surprenant malgré tout, presqu'un one shot faisant office de transition, à l'image du 1.10 sur notre ami Marco d'ailleurs. Ca donne un étrange dytique mais c'est le genre de choses que j'attends de la part de BCS. Qu'elle ne s'interdise pas d'aller vers l'inattendu. Intro géniale même si sans doute pas au niveau de la première scène de la série. Saul est comme un chat, il a eu au moins sept vies. On arrivera un de ces jours à celle-ci et j'espère, à l'image de Walt dans la neige, qu'on aura droit à un dernier baroud d'honneur. Sinon pour le reste on retrouve nos habitudes : les répliques simples et efficaces, magnifiées par Odenkirk ("No, the business is running you"), les comparaisons / références on ne peut plus adéquates (Jules à la fin de Pulp Fiction, c'est tellement ça), les persos tertiaires au top du top et situations qui vont avec (Ken Wins)... La relation Kim-Jimmy, l'une des plus grosses promesses de la saison 1 selon moi, semble avoir passé un cap, et aura évidemment un rôle-charnière dans la série. Je pense même que quand on reverra la première saison une fois BCS terminée, on comprendra jusque chaque regard ou rictus qui nous avaient échappé l'an dernier ou cette année. On est loin d'avoir tous les éléments pour l'instant mais bordel, que c'est juste. Saul au passage, arrive à faire dire à Kim que ça ne change rien qu'il refuse le job sans même lui poser la question. Mais en posant la question inverse, ce qui conditionne déjà un peu la réponse. Cte champion de l'inception. Bref, bonne reprise pour Saul, une sorte de best-of de la saison 1 dans un épisode autant isolé que transitoire. C'est bien d'éviter l'écueil d'une transformation trop abrupte, BB ne nous avait de toute façon pas habitué à ça. Mais va falloir se lancer maintenant. J'attends l'épisode centré sur Nacho, que Saul s'en mettent plein les poches, que les frères McGill se retrouvent face à face et se déchirent définitivement, que Mike devienne le meilleur cleaner de l'hémisphère Nord, que les Salamanca foutent le feu à des cadavres... Puis un bucket Los Pollos Hermanos et l'addition s'il vous plait. Y aura beaucoup de surprises et de souffrance dans le lot, mais ce sera bon. Comme dans Breaking Bad. Saul arrive chez Davis & Main avec lumières surex, musique hypnotisante, ralentis... Comme s'il arrivait au paradis. Alors qu'on sait tous que sa destination c'est l'enfer. Et l'enfer, pour Saul, c'est d'être Jimmy ou Gene. De ne pas pouvoir braver l'interdit. De ne pas pouvoir actionner tous les interrupteurs qu'il souhaite. |
Avis favorable | Déposé le 20 février 2016 à 11:46 |
Sacré Vince, on le connait ton manège. C'est un grand huit d'ailleurs. C'est à dire qu'un moment, on va se retrouver dans les loopings, la tête en bas, le cœur en haut. Mais avant, il y aura le démarrage, cette lente montée avant le bascule dans le vide, ces temps où on va se faire un peu chier. Après, il faut l'avouer, tu fais le job : réalisation léchée, dialogues ciselés, ce qui fait qu'on ne s'ennuie pas à mourir non plus. Donc, même si je sais que certains temps à venir font être pénible, c'est avec plaisir que je remonte dans ta fête foraine. |
Avis favorable | Déposé le 19 février 2016 à 15:59 |
Un bon épisode de reprise. J'ai réalisé que la série m'avait manqué rien qu'avec la scène pré-générique, que j'ai trouvé absolument géniale. Comme Clara, je suis agréablement surprise que la transformation Jimmy/Saul n'opère pas si rapidement. Nous avions été habitués à plus de subtilités, et je n'aurais pas apprécié ce gros raccourci. Là, le changement se fera petit à petit, progressivement, et c'est tant mieux (cependant, j'ai adoré la scène avec le courtier en bourse). Pour autant, rien d'extraordinaire non plus. Mais Vince Gilligan a la faculté de nous immerger dans un tel univers qu'on continue à être particulièrement pressé de voir la suite. |
Avis favorable | Déposé le 17 février 2016 à 14:25 |
Très bon épisode de reprise. Je ne pensais pas que Jimmy irait accepter le post, il n'est pas encore prêt à devenir Saul et tant mieux, j'étais déçu à la fin de la saison 1 de le voir changer si vite. |
Avis favorable | Déposé le 17 février 2016 à 09:10 |
La série a toujours ce chic unique pour proposer une immersion progressive dans la tête de son personnage principal. Plutôt un bon épisode avec en prime le retour de Ken Wins. Critique à venir. |
J'ai du mal à savoir comment critiquer ce season premier.
C'est long, pas riche pour un sous en péripétie, parfois à la limite de la caricature,... et pourtant un petit quelque chose que je n'arrive pas à nommer m'a procuré un vrai plaisir au visionnage.
En fait, je me suis rendu compte avec cet épisode que le personnage de Jimmy est un vrai beauf. Un enfant un peu gâté, doué seulement pour faire de l'argent facile mais qui en échange se reçoit en pleine face son inutilité sociale et son incapacité à intéresser les gens ; une sorte d'idiot utile mais avec assez d'intelligence pour en avoir tristement conscience.
Du coup, le personnage fait un peu office d'exutoire. Le ton alterne entre un burlesque subtil - Jimmy est quand même souvent ridicule - et une franche tragédie parce qu'on sait qu'il est enfermé dans son rôle de bonne poire. On rigole mais on a de la peine à la fois. Je crois que c'est l'équilibre entre ces deux registres qui fait le sel de la série.
En tout cas c'est pas l'épisode du siècle, mais c'est très plaisant à regarder.