Better Call Saul
Six ans avant de croiser le chemin de Walter White, Saul Goodman, connu sous le nom de Jimmy McGill, est un avocat qui peine à joindre les deux bouts, à Albuquerque, au Nouveau-Mexique. Pour boucler ses fins de mois, il n'aura d'autres choix que se livrer à quelques petites escroqueries. Chemin faisant, il va faire ...
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Terminée | Américaine, US | 45 minutes |
Aventure, Drame, Crime, Drama, Comédie | AMC, NETFLIX (FR) | 2015 |
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Avis sur l'épisode 2.08
Avis favorable | Déposé le 06 avril 2016 à 18:59 |
J'aimerais aussi qu'il y ait plus d'épisodes par saison, 13 comme BB ça pourrait le faire facile. Parce que là chaque semaine... Je prends un de ces pieds... Déjà ce pré-générique, pour l'instant clairement le meilleur de la série, digne de BB au top de sa forme. Jusque dans la respiration de la caméra et absence de plan fixe, propres à BB au contraire de BCS. On est baladé à gauche à droite par ce camion, à moins que ce ne soit par la caméra. Ou bien, plus probablement, par Tio. En tout cas c'est génial et comme souvent, la destination étant connue, c'est le voyage qu'on retiendra. Au delà de ça, on pouvait pas rêver une meilleure couverture pour les Salamanca que marchands de glaces. C'est brillant. De nuestra familia a la suya. Pour le reste, malgré un pied qui reste un peu en back up sur le frein (Mike j'en peux déjà plus d'attendre - c'est d'ailleurs sûrement pour ça que Gus l'a engagé lui et pas moi), chaque partie est plutôt réussie. Il se passe pas mal de choses et comme d'habitude la mise en scène est parfaitement juste. Notamment sur ce joli plan très large de Kim isolée seule devant sa nouvelle agence, rejointe par Jimmy son dernier allié. Sinon Hamlin est étonnamment cool sans que ça me semble incohérent. Chuck défonce. Nacho hiberne. Tio fait la loi. Maintenant tout est en place à tous les niveaux. Je veux voir Tio de moins de 50m la semaine prochaine. J'en veux encore plus. Car c'est trop bon, et des pralines telles que ce pré-générique, je ne les trouve que chez ce vieux Vince. En tout cas je suis pas sûr de ce que prépare Mike, mais je suis clairement dans la Team Salamanca. |
Avis favorable | Déposé le 05 avril 2016 à 16:51 |
C'est toujours aussi propre, mais je commence sérieusement à être agacé par la lenteur de la mise en place. Pourquoi tout ça doit-il être si fastidieux ? Ils comptent faire combien de saisons pour se permettre de traîner autant ? 25 ? Quand est-ce qu'on va avoir le droit à une tension dramatique un peu plus relevée ? Ils ont réussi avec succès dans ce qu'il y avait de plus difficile, à savoir nous intéresser aux petites histoires somme toute assez chiantes de cabinet d'avocat, mais cette belle machine tourne à vide. La tomate est prête, il faudrait peut-être songer à envoyer la farce maintenant... Même si les intrigues psychologiques sont excellentes, on aimerait plus de Jimmy dans le désert avec Tuco, plus de Jimmy au tribunal (ou dans des salles d'interrogatoire), et un peu moins de Davis & Main ou de Kim qui passe des coups de fil. Là, y'a trop de pâte et pas assez de garniture. Aussi excellente soit-elle, de la pâte toujours de la pâte, c'est chiant, surtout quand t'en manges qu'une miette par semaine. Si chaque saison comportait 20 épisodes, ça m'irait, mais là, au rythme de 10 par an, c'est du gâchis de lambiner autant. J'espère vraiment que les dux derniers épisodes annonceront clairement un arc narratif durable, avec une véritable tension, pour la saison prochaine. |
Avis favorable | Déposé le 05 avril 2016 à 15:24 |
Jimmy et Chuck jouent au échec pendant tout l'épisode, mais à la fin, c'est Jimmy qui gagne. Pour l'instant... Pendant ce temps-là, Mike fait... Des trucs. Et la réal monte encore d'un cran. Critique à venir. |
Semaine après semaine, Better Call Saul continue à être bon.
Après la relation entre Jimmy et Kim investiguée dans l'épisode précédent , on explore cette fois-ci celle entre Chuck et Jimmy. Chacun joue au chat et à la souris, en espérant être le chat. Bien entendu, on sait que cela finira mal. On se demande juste comment, et à quel point les différents protagonistes vont en pâtir.
Côté Mike, on continue d'attendre. Et dieu que cette attente est jouissive. Je ne parlerai pas de la scène d'ouverture puisque tout a été dit. Du grand BCS, comme à l'habitude !