Mad Men
Dans le New York des années 60, Don Draper est l'un des grands noms de la pub. Maître manipulateur, il compte dans son entourage des ennemis qui attendent sa chute.
Terminée | Américaine | 50 minutes |
Drame, Drama | AMC, TPS Star | 2007 |
2 avis favorable
2 avis neutre
0 avis défavorable
Avis sur l'épisode 2.11
Avis défavorable | Déposé le 05 mai 2016 à 17:50 |
Wtf is this episode ! C'était hyper malsain la partie Don. Ça m'a énormément fait penser à Hail Cesar des frères Cohen sorti récemment. Je rejoins l'avis de Galax sinon, il se passe des choses mais inintéressantes, peu subtiles et l'ensemble est assez mal construit. Heureusement que la partie bureau était là pour relever le niveau (particulièrement Peggy) Betty manque clairement ! Elle embellit la série. |
Avis neutre | Déposé le 15 janvier 2016 à 14:24 |
Ok je n'ai définitivement pas DU TOUT la même vision de la série que la plupart des gens, je crois. Pendant que Duke fait des choses dont on a rien à foutre à Sterling Cooper, Don se fait embarquer par une jet 7 française sans jamais dire un mot, et puis il s'évanouit, et puis il couche avec une française super mignonne, et puis le père débarque dans la chambre, et puis ils vont dans la piscine, et puis Don va prendre son petit déj. Et voilà. What. The. Fuck. Non mais c'était quoi l'intérêt de cet épisode ? C'est juste le néant. Il n'y a rien. Juste rien. Les choses à retenir : - un nouveau personnage qui remplit à la fois le rôle d'un ami de Peggy (il était temps) et vu qu'il européen (donc apparemment ça le rend ouvertement homo) ça va bousculer l'autre homosexuel de la boîte qui lui ne s'assume pas. Ca peut faire de bons trucs et la façon dont ils montrent ça dans le cadre de NY des 60's ("je savais que ça existait mais je pensais pas que j'allais bosser avec eux") est assez frappante. J'aime quand Mad Men s'intéresse aux mentalités de l'époque. - le cliffhanger où Don utilise son nom d'origine. Bien évidemment vu que tout ce qu'il se passe avant n'a absolument aucun intérêt on ne comprend ni à qui il parle ni ce qui l'a motivé à passer ce coup de fil, mais bon ça fait du suspens quoi... Des détails quoi mais qui permettent à l'ensemble de se tenir un minimum... |
Avis favorable | Déposé le 16 mai 2013 à 18:51 |
Cette escapade loin de New York (et de Betty) donne une véritable bouffée d'oxygène à la serie. Conséquence, un épisode coloré, pop et jouissif! |
Avis favorable | Déposé le 18 juin 2012 à 21:36 |
Pour le plaisir de voir Don et Pete en short et chemise sous le soleil californien ! Plus sérieusement, loin de NYC, Don redevient anonyme et se remet en question. Sur la forme, un épisode très stylé, qui sent le James Bond vintage. |
Avis favorable | Déposé le 14 septembre 2011 à 02:25 |
L'épisode est très bon. Don Draper se complaît dans l'univers de la jet set alors que Dick Whitman a sérieusement l'air de se remettre en question. Je sais que je me répète mais c'est ce qui pour moi fait une des qualités majeures du show : l'art de ne rien laisser transparaître de ce que l'on est et de ce que l'on ressent vraiment. En démontre la surprise des employés face au personnage homosexuel qui justement apparaît hors de ce mode de pensée. Il s'assume pleinement et confond ainsi son identité sociale et personnelle. D'ailleurs, on se rend d'autant plus compte combien le personnage de Peggy a été perdu au milieu de ça. Elle ne savait pas du tout comment se comporter en société mais a petit à petit réussi à trouver sa place parmi des hommes qui au début n'acceptaient pas sa personnalité timide et peu féminine. Guidée par le blond gay (je me souviens plus de son prénom) on voit bel et bien qu'elle est toujours en train de construire son image. Si l'on ajoute à cela le joli retournement de situation avec Duck, et une réalisation d'autant plus soignée - j'ai apprécié particulièrement les décors et la scène de l'insolation, l'épisode obtient un joli 15. |
Avis favorable | Déposé le 29 octobre 2010 à 01:48 |
Incroyable, Mad men enchaîne deux épisodes pas trop dégueux. Parce que la dérive de Don avec les français, la française en question, la crise identitaire du héros remise au goût du jour, les symboles qui se répondent entre la fêlure de Betty et celle de Don ainsi que le twist de fin, c'est exactement ce que j'attends d'une série de qualité. Mais alors du côté du bureau... Entre le coup de poker de Duke qui sort vraiment de nulle part, l'immonde Peggy qui s'en remet au Queers afin de rendre son apparence moins anxiogène, ainsi que Sterling qui demande la secrétaire (qui est quand même sacrément bonne au passage) en mariage; on nage encore dans un océan de niaiserie. Bref, le jour où les scénaristes comprendront qu'il faut raser leur putain de bureau à la con, Mad men deviendra une vraie bonne série. |
Commençons déjà avec les points positifs :
Duck est naze comme perso, mais son pari amènera probablement enfin un semblant d'arc narratif à la saison 3
Les deux versions de Don qui cohabitent propose toujours une lecture assez passionnante
Pas de Betty, qui commence à dégringoler en termes d'intérêt
Le changement de décor
Kurt qui est homosexuel, ça va faire bouger Salvatore, bien que le cliché de l'européen me gonfle,
Mais sinon mon dieu... déjà justement tous les clichés sur les européens ça m'a gonflé. Faire jouer un français par un Anglais (le comte d'Alsace, 67 rpz), une française par une Américaine, ça m'a soûlé.
C'est Don chez les hippies, partie 2, sauf que rien d'intéressant n'est arrivé.
Et puis Peggy franchement...
Je ne sais pas, mais cette saison 2 commence vraiment à me taper sur les nerfs. Vivement la 3.