Mad Men
Dans le New York des années 60, Don Draper est l'un des grands noms de la pub. Maître manipulateur, il compte dans son entourage des ennemis qui attendent sa chute.
| Terminée | Américaine | 50 minutes |
| Drame, Drama | AMC, TPS Star | 2007 |
2 avis favorable
2 avis neutre
0 avis défavorable
Avis sur l'épisode 2.02
RasAlGhul
BlueMeth| Avis favorable | Déposé le 25 septembre 2012 à 22:21 |
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Cet épisode est axé sur Pete Campbell. Son traitement est intéressant car il a un blocage émotionnel. En ne montrant pas d'émotion claire, il fait un voeu d'indépendance vis à vis de son père. Je pense que pour lui pleurer serait accorder de l'importance à un "idéal" qu'il ne revérait plus et atteindrait encore moins. Ce serait une défaite dans sa quête de reconnaissance familiale même si le principal adversaire à celle-ci n'est plus. Pour le reste, Mad Men est comme d'habitude classieux. |
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Chuck44| Avis défavorable | Déposé le 10 avril 2011 à 21:05 |
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Qu'est ce qu'on s'emmeeeeeerde ! La vache ! Je suis à deux doigts de lâcher la série... D'après ce qu'on m'a dit, la série prend vraiment son envol à la saison 3-4 mais alors passer cette saison est vraiment un supplice... |
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Fafa| Avis défavorable | Déposé le 29 janvier 2011 à 00:27 |
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Que ce début de saison est soporifique, je crois que cette série est vraiment surcoté. Je suis du même avie que que burt pour le syndrôme True Blood. |
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burt| Avis défavorable | Déposé le 12 septembre 2010 à 14:36 |
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Je me rends compte suite à cet épisode que Mad men souffre peut-être du même syndrome que Tru blood, c'est-à-dire qu'a vouloir jouer sur plusieurs tableaux ( un peu de "Desperate housewives" , une analogie entre les deux familles de Don très "sopranienne", ici le crash d'un avion qui offre une réflexion à Campbell presque sortie de 'six feet under") elle ne peut donc à aucun moment acquérir une quelconque identité (hormis bien sûr celle visuelle avec la reconstitution 60's). Ce qui nous donne un épisode centré sur Campbell (personnage caricatural en diable) à qui on vient coller une réflexion sur la perte d'un père et de son mal-être relatif à leur relation. Et puis bon le Don 2.0 en grenouille de bénitier depuis le début de saison 2 c'est débile au possible, comme l'évolution toute aussi radicale de Peggy avec son bébé qu'elle ferait bien de foutre pour de bon au congélo plutôt que de le garder au frais chez sa mère. |
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Mouais... Je n'aime pas Campbell, donc l'idée du centric ne m'est pas apparue comme favorable.
Le reste de l'épisode passe assez lentement.