Enfin, on en finit avec Nino et Elena revient près de Lila. Dès que les thèmes touchant aux origines, au quartier, aux relations, à la place de l'art sont abordés, la série acquiert tout de suite une certaine puissance. La scène du mariage est très tendue, et Elena se situe en dehors de ce que Lila vit avec les Solara.

En revanche, j'ai du mal avec Alfonso car je trouve que le personnage est construit de manière raccoleuse. La transphobie n'est pas abordée directement (alors qu'on est dans le Naples des années 80, quand même) mais la violence est bien présente et je préfère que l'on n'aborde pas des sujets aussi graves et importants si c'est pour l'explorer de façon superficielle. C'est sensationnaliste et ça ne me plait pas du tout.