J'avais attendu parler, avant de reprendre la série, d'un épisode "particulier". J'avais imaginé des trucs, mais certainement pas ça.

C'est malheureusement le premier faux pas de la série. Genndy Tartakovsky vient nous expliquer, avec thèse, contre-thèse et solution, que la primalité est au cœur de l'homme et que le show parle tout autant de notre époque, du passé, que du futur. No shit Sherlock. C'était déjà parfaitement clair dans le pilot de la série, comme en témoigne l'avis de Chevrere sur ce site (relisez-le, il est bien).

Je ne comprends donc pas cet épisode, pourtant bien mise en scène, où le surlignage prend même une place importante : quand C. D. Darlington (personnage historique qui a vraiment existé) vient, avec son bout de bois coupé, en deux le mot "DEATH" sur le torse du méchant. Ok... Merci les gars.

Vraiment un épisode étrange qui vient ternir un ensemble jusqu'ici impecable.