pour paraphraser Sephja, la scène de transmission de mauvaise humeur est vraiment excellente, et l'amitié naissante entre Turk et Elliott fait plaisir à voir. De même que l'amitié JD/Elliott - c'ets plaisant de voir pour une fois une relation homme-femme vue sous l'angle de l'amitié et non du désir.

Sinon, je n'ai pas été totalement happée par la storyline principale. J'ai l'impression qu'on n'en sait pas assez sur Jordan pour vraiment apprécier totalement le personnage (c’est moi ou elle ressemble beaucoup à carole Bouquet ?)

Le fait que l'issue de l'épisode ne faisait absolument aucun doute le rend également assez prévisible.

Enfin, ça reste bon, hein.

Episode très intéressant dans la forme, légèrement moins dans le fond, mais qui remonte le niveau sans arriver au niveau de qualité du pilote. Les différentes storylines s'interconnectent parfaitement lors d'une scène formidable où la colère passe d'une personne à l'autre par des actions gratuites et déplaisantes.

La mise en scène évolue enfin vers plus de prise de risques et malgré quelques clins d'oeil un rien lourd (le lauréat pour JD et Jordan), le montage accélère plus le récit, amenant une énergie supplémentaire à la narration.

Les acteurs sont tous très bons, mais l'esprit de troupe n'est pas encore vraiment là. Il est à signaler la bonne qualité des scènes Turk-Elliott, plutôt touchantes et qui met en avant l'intêret de créer une réelle amitié entre les deux.

Bref, la série commence à élever son niveau et à retrouver l'esprit du pilote, grâce à une mise en scène plus soignée qu'à l'habitude.