Ils ont viré le meilleur opening ever... pour un opening très bien tout de même, moins généreux dans ses visuels mais un poil plus mélancolique et moins innocent aussi, approprié pour le second acte de l’anime qui s’amorce sous le signe de plus de maturité. Et puis, l'ending est une tuerie, avec son visuel minimaliste il ne paie pas de mine mais est très touchant.

Cet épisode dévoile entre autres les parents de Kaori, dans une scène comique avec un teasing cryptique à la fin.

Avec la scène des feux d’artifice à nouveau très métaphorique et mélancolique entre tous les jeunes, l’épisode en remet une couche sur Kaori et son futur, ou plutôt l’absence de son futur.

L’épisode passe d’ailleurs pas mal de temps à préparer la nouvelle performance duo de Kousei et Kaori, en revenant sur la partition choisie par Kaori qui force Kousei à se confronter une nouvelle fois au souvenir de sa mère. En réalité, elle l’a choisit en connaissance de cause…

… mais ne se présente pas à la fin dans le concours, tandis que Kousei tombe sur un jeune prodige qui est sans aucun doute une copie carbone de qui il était au même âge (”le respect de la partition avant tout”, un robot etc.), de quoi le challenger dans son évolution.

Alors qu’on pourrait s’attendre à un ventre mou de l’anime, cet épisode est finalement très dense et riche de plein de scènes et développements intéressants, notamment grâce à l’apport du personnage de Seto et aux nouvelles interactions entre Kousei et Kaori.