

Your Lie in April
Arima Kosei est un véritable prodige du piano, enfant, il dominait tous ses rivaux en compétition et s'était déjà fait un nom dans le domaine musical. Mais après la mort de sa mère, il a subit une forte dépression qui l'a forcé à être dégoûté de son propre instrument. Deux ans après le drame, continuant ...
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Terminée | Japonaise | 25 minutes |
Animation, Anime, Drama, Musical, Romance | Fuji TV | 2014 |
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Avis sur l'épisode 1.06
Liste des épisodes
Episode 1.01
En noir et blanc, en couleur
Episode 1.02
Second rôle
Episode 1.03
En harmonie avec le printemps
Episode 1.04
Le début du Voyage
Episode 1.05
Couvert de nuages
Episode 1.06
Sur le chemin du retour
Episode 1.07
Le chuchotement des ombres
Episode 1.08
Résonne
Episode 1.09
Réverbération
Episode 1.10
Le paysage en ta compagnie
Episode 1.11
L'étincelle de la vie
Episode 1.12
Brille, petite étoile
Episode 1.13
Liebesleid
Episode 1.14
Traces de pas
Episode 1.15
Menteur
Episode 1.16
Ressemblances
Episode 1.17
Crépuscule
Episode 1.18
Cœurs superposés
Episode 1.19
Adieu, mon héros
Episode 1.20
Main dans la main
Episode 1.21
Neige
Episode 1.22
Vent de printemps
Episode spécial
Moments
Un autre bon épisode qui casse la routine de l’anime de faire des prestations musicales un épisode sur 2, avec ici un élargissement relatif des enjeux : le point de vue de Tsubaki est central ici avec cette superbe scène de fin où tout va mal dans sa vie sauf qu’elle a toujours son ami d’enfance avec elle, ce qui lui suffit. Ce qui pourrait être de la jalousie de lycée un peu gamine est écrit de sorte que ça soit un conflit autour de ce que ressent une personne en construction, et c’est plutôt intéressant voire mature.
Et du côté de Kaori & Kousei, l’heure est à la préparation du concours de piano que Kousei a promis de faire, avec l’introduction en fin d’épisode des deux rivaux.
C’est toujours plutôt linéaire comme anime mais avec des personnages attachants et un humour souvent réussi, notamment dans l’animation très libre et juste. L’emploi des couleurs est très soigné d’ailleurs, leur absence reflétant souvent l’état morose des personnages (comme c’est le cas pour Tsubaki ici).