Série qui m'a fait accrocher dès le début. J'aime bien l'histoire et l'univers, on se met facilement dans la peau de Walter, le personnage est bien présenté et je trouve les acteurs très bon. La scène où ils fabriquent de la meth jusqu'à la fin de l'accident de camping car était pour moi le best de l'épisode. J'ai bien aimé aussi la musique, les décors, la réalisation... Agréable surprise.

Cela faisait un moment que je voulais me lancer dans breaking bad... C'est fait et je ne regrette vraiment pas !

Il m'a bien fallu 10 minutes pour oublier Hal le père de Malcolm... Il est vraiment fort... excellent pilote, glauque à souhait !

J'aime le rythme, les personnages.

Et la lose qui entraine la lose.

Bon j'ai pleins d'épisodes à rattraper maintenant.

On m'a conseillé Breaking Bad et bien je ne suis pas déçu. Un bon pilot malgré quelques longueurs, la fin est vraiment accrocheuse. Bref je continue sur ma lancée.

Je me lance dans Breaking Bad assez confiant, vu le succès qu'a eu la série. On m'avait cependant mis en garde que le pilot était étrange et qu'il ne fallait pas que je juge trop vite.

Pourtant, j'ai beaucoup aimé. Ce n'est qu'un pilot mais les personnages et enjeux sont clairs. Je ne savais pas que la "marque de fabrique" de la série constituait en une scène de fin utilisée comme scène d'intro, mais j'adore ce procédé.

Je me lance dans Breaking Bad assez confiant, vu le succès qu'a eu la série. On m'avait cependant mis en garde que le pilot était étrange et qu'il ne fallait pas que je juge trop vite.

Pourtant, j'ai beaucoup aimé. Ce n'est qu'un pilot mais les personnages et enjeux sont clairs. Je ne savais pas que la "marque de fabrique" de la série constituait en une scène de fin utilisée comme scène d'intro, mais j'adore ce procédé, car il crée un effet d'attente toujours réussi.

De plus, il y a un vrai décalage humoristique, un comique de situation très unique dans les séries, portés par les expressions de Bryan Cranston impeccables et une écriture inattendue et punchy (la réaction de la moutarde quand Walt apprend pour son cancer, Jesse qui s'échappe d'une fenêtre, Walt à poil dans la caravane...)

Les dialogues sont aussi vraiment bien écrits, je suis fan de toutes les métaphores chimiques de la série. Le speech de Walt en classe au milieu de l'épisode sur la transformation des éléments est rétrospectivement super bien, et c'est une marque de fabrique de la série à venir (voire du Breaking Bad verse puisque BCS abusera de ce procédé).

Bref, une franche réussite, avec déjà de nombreux personnages attachants (Hank notamment).

On s'emmerde un peu avant l'arrivé de Jesse mais globalement, je suis impatient d'attaquer la suite.

Je me lance dans Breaking Bad assez confiant, vu le succès qu'a eu la série. On m'avait cependant mis en garde que le pilot était étrange et qu'il ne fallait pas que je juge trop vite.

Pourtant, j'ai beaucoup aimé. Ce n'est qu'un pilot mais les personnages et enjeux sont clairs. Je ne savais pas que la "marque de fabrique" de la série constituait en une scène de fin utilisée comme scène d'intro, mais j'adore ce procédé, car il crée un effet d'attente toujours réussi.

De plus, il y a un vrai décalage humoristique, un comique de situation très unique dans les séries, portés par les expressions de Bryan Cranston impeccables et une écriture inattendue et punchy (la réaction de la moutarde quand Walt apprend pour son cancer, Jesse qui s'échappe d'une fenêtre, Walt à poil dans la caravane...)

Les dialogues sont aussi vraiment bien écrits, je suis fan de toutes les métaphores chimiques de la série. Le speech de Walt en classe au milieu de l'épisode sur la transformation des éléments est rétrospectivement super bien, et c'est une marque de fabrique de la série à venir (voire du Breaking Bad verse puisque BCS abusera de ce procédé).

Il faut aussi souligner le fait que dès le début, Walt est un grand malade qui pense à faire de la drogue au lieu de parler à sa famille lorsqu'il apprend qu'il a un cancer. Ajouté à cela son professionnalisme étrangement ridicule lorsqu'il "cuisine", je trouve qu'on l'imagine difficilement en autre chose qu'un anti héros.

Bref, une franche réussite, avec déjà de nombreux personnages attachants (Hank notamment, Jesse aussi malgré ses limitations d'esprit).

Un bon pilot, qui sert à présenter les bases de la série et les enjeux.

J'ai commencé à apprécier l'épisode dans la seconde partie de l'épisode. J'ai donc plutôt bien apprécié mais j'attends de voir la suite.

Dès le troisième plan du film et ce pantalon qui vole dans les airs avant de toucher le sol, on est fixé : on va assister à la chute d'un homme.

C'est peut-être (surement même) le problème de regarder cette série après tout le monde et après qu'elle se soit terminée. Je pars avec peu de surprise. Je sais que Walter deviendra un puissant parrain de la drogue. Breaking Bad, c'est l'histoire d'un homme qui devient mauvais.

Le problème, il est là, justement. L'épisode est absolument saturé par la thématique de la dualité. Elle est présente dans plus de 50 % des plans, à tel point que cela en devient gênant : Walter avec une arme, Walter en colère au magasin, Walter et son reflet dans le miroir, etc. Le point culminant de tout cela c'est son discours devant sa classe sur la transformation. J'avais l'impression de voir Vince Gilligan dans un coin du cadre avec une grosse pancarte : "Pssst, ceci est une métaphore ! Attention audience !". C'est vraiment une totale absence d'idées créatrices, un quasi aveu d'échec de la part du créateur de cette série.

Alors heureusement que survint à la 20ème minute de ce pilot, l'inattendu en la personne de Jesse Pinkman. Les deux acteurs, dans une relation de maitre-élève inversée, se complètent à merveille.

Sans ça et l'espèce d'absolue confiance en soi que dégage la série, j'aurais abandonné dès la fin de ce pilot. Continuons donc en s'accrochant à Jesse.

L'un des meilleurs épisodes de la série. Seule la musique un peu trop omniprésente à mon goût ternie un peu le tableau.