#ForeverNick
Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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12.05 - Le Contrat des Judoons
Fugitive of the Judoon
Une troupe de Judoons est à la recherche d'un fugitif à Gloucester. Graham, pris à tort pour le Docteur, est téléporté avec Ryan et Yaz vers un vaisseau spatial piloté par le capitaine Jack Harkness. Pendant ce temps, le Docteur négocie avec les Judoons et interroge un couple, Lee et Ruth Clayton...
Diffusion originale : 26 janvier 2020
Diffusion française :
26 janvier 2020
Réalisat.eur.rice.s :
Nida Manzoor
Scénariste.s :
Chris Chibnall
,
Vinay Patel
Guest.s :
Paul Kasey
,
Neil Stuke
,
Ritu Arya
,
Katie Luckins
,
Judith Street
,
Michael Begley
,
Simon Carew
,
Richard Highgate
,
Richard Price
,
Matthew Rohman
,
Jo Martin
,
John Barrowman
,
Nicholas Briggs
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 02 juin 2024 à 18:50 |
Un vrai épisode comme on les aime qui montre que Dr Who en a encore sous le capot ! Quelques prises de risques, du lore et un fil rouge qui se met en place et les Judoons au centre de l'intrigue, un vrai plaisir du début à la fin. |
Avis neutre | Déposé le 09 mai 2022 à 15:59 |
Sorry les amis, peut être parce que je viens de me binge watcher toute la série, oui cet épisode est le meilleur de l'ère Jodie (avec Rosa Parks), enfin, mais quand je compare au reste de la série, je ne peux pas mettre plus de 12. J'imagine le contexte pour vous qui l'avez vu en temps réel et l'effet sur vos notes. Les compagnons sont nuls et inutiles, quel bonheur de revoir Jack mais il rame avec ces 3 nullos. La Docteure Ruth m'a bien plus plue en quelques minutes que la Docteure Jodie (qui me plaît de moins en moins à mesure que son ère avance. Je n'arrive plus à la voir comme la Docteure). Le teasing d'un truc mythologique est intéressant, revoir les Judoon dans ce contexte aussi, mais bon ... les Cyberman ... again ? Mouais. |
Avis favorable | Déposé le 12 septembre 2020 à 12:45 |
Difficile d'avoir un avis sur cet épisode qui part dans une direction totalement innatendue et surprenante pour au final n'offrir qu'une immense promesse, celle d'avoir plein de choses incroyables à raconter. L'épisode n'en reste pas moins plaisant à suivre, très engageant pour la suite. En espérant que le reste de la saison ne ruine pas le reste. |
Avis favorable | Déposé le 29 janvier 2020 à 16:52 |
L'épisode que je n'attendais plus, celui que je n'osais plus rêver. Déjà, il commençait très bien avec cette histoire de traque au fugitif pleine de mystères, là où les autres épisodes de la saison ont tendance à nous identifier l'ennemi et les enjeux dans les 10 premières minutes puis de ne proposer ensuite qu'une course poursuite ennuyeuse. Et soudain, Graham est kidnappé, l'épisode bascule dans la folie et j'y retrouve ce que je recherche dans DW : une sensation de perte de repères et de confusion avec une série où tout est possible. On dirait que Chibnall a soudainement pris conscience de la mythologie de la série qu'il écrit (quand la saison précédente semblé être totalement amnésique de son passé) et en embrasse le potentiel de manière goulue, comme un enfant qui se jetterait sur une boite de bonbons découverte au fond d'un placard. D'ailleurs, c'est limite trop, on frôle l'overdose (Jack, Gallifrey, les Cybermen), il aurait presque été mieux de lisser tout ça sur la saison et demi passée, mais je chipote, je ne boude pas mon plaisir, je surnote même probablement, mais cela faisait tellement longtemps qu'un épisode ne m'avait autant emballé en me perdant. Et cela prouve à la team Chibnall qu'il est pardonnable d'écrire des épisodes médiocres (il y en a à chaque saison), mais qu'il faut compenser par des épisodes de ce calibre. Mon seul léger bémol riquiqui est cette scène de fin avec les 3 Stooges qui se revendiquent comme Super-Compagnons du Docteur. Quelle prétention de leurs parts, quand même..... Des compagnons comme eux, le Docteur en a eu des tripotés (et des biens meilleurs), et tous sont partis du jour au lendemain et ont disparu totalement de la mémoire du Docteur. Donc non, vous ne la connaissez pas, non, elle ne forme pas une Famille avec vous et lorsque vous serez dégagés de la série pour être remplacer par d'autres, ce sera un bien pour tout le monde. |
Avis favorable | Déposé le 29 janvier 2020 à 07:02 |
Wow ! Le meilleur épisode de cette ère, de très très loin ! |
Avis favorable | Déposé le 27 janvier 2020 à 23:51 |
Le MCU l'a fait, C.C. la fanfic l'exporte : Fugitive of the Judoon est une immense scène post-générique, un teasing de 50 minutes, un véritable non-épisode. Mais malgré les divers débats, les peurs, les maladresses, j'ai fini par me rendre compte de l'évidence : Un épisode de Doctor Who ne m'avait pas autant excité et fait trépigner d'impatience pour la suite depuis maintenant 3 ans. Au final c'est ça l'important dans cette ère. Il aura fallu seize épisodes à Chibnall pour me faire sincèrement discuter de ce que la série va faire, d'éveiller toute ma curiosité et pas juste des peurs et de l'énervement. Parce que moi aussi, d'un côté, je commençais sérieusement à décrocher. Pour l'épisode en lui-même : Il ne casse rien, ne transforme rien, il ne fait qu'importer ce qui existe déjà (les trois quarts provenant de RTD) The Lone Cyberman ? Une redite de l'ère cyberman post-cyberwar exploitée déjà par 150 000 scénaristes dans toute l'histoire de la licence. Ruth ? C'est de toute évidence une configuration à la Unbound, une invention de Big Finish. Jack ? RTD. La seule chose qu'il apporte est une continuité des épisodes précédents (prouvant donc mon point, la saison est depuis le départ showrunnée , un pas déjà énorme par rapport au vide sidéral de la onzième saison), à savoir la tension grandissante dans cette team TARDIS à cause d'une Thirteen ma foi très amère quand il sagit de faire remonter ses traumatismes naissants. On note d'ailleurs ce très beau dialogue bien cité par Koss où la team TARDIS, tout comme le spectateur, pensait déjà tout connaitre dès la saison 11. Le run de Chibnall paraissait déjà tout écrit, peuplé d'épisodes politiques infantilisants et nuls à chier, mais Chibnall nous rappelle que non, on ne sait absolument rien, et qu'aucune de ses cartes, bien que piquées à ses anciens camarades, n'ont étées révélées. C'est un épisode qui va marquer l'histoire de la série et qui pourra tout aussi bien très bien vieillir que particulièrement mal. A Chibnall de voir si il pourra avoir les épaules suffisamment larges pour contenir ce qu'apporte un teasing d'une heure. (et Jack est toujours autant sexy) |
Avis favorable | Déposé le 27 janvier 2020 à 23:01 |
Bordel. La vie est un mensonge et Docteur Who est un mensonge. Chris Chibnall et Vinay Patel (difficile de savoir qui est le plus responsable ici) l'ont bien compris. Il fallait tout casser. Tout détruire pour avancer. Et ils le font. Ils le font, bordel. C'est le plus bel exercice de copié-collé que j'ai jamais vu. Un épisode à 300% RTD qui met en avant tous les classiques de Russel : Jack Harkness plus hihiceysexuel que jamais, le Docteur qui a perdu la mémoire, les blagues (la phrase de Joddie sur la rime en "oon" m'a fait éclater de rire), le fait qu'on enchaîne directement par un rebondissement à la fin, etc. C'est comme si Chibnall nous avait mis à l'épreuve pendant un an et demi pour tester notre fédilité, pour voir si on tenait (et j'étais personnellement en train de décrocher, je le confesse) pour enfin livrer ce master-piece. Comme... Comme des compagons à bord du Tardis, qui restent à bord, malgré un danger de mort à chaque instant. Et c'est là où l'épisode bascule dans l'historique, selon moi. Car c'est ce que dit Thirteen à la fin de l'épisode, dans ce qui est la meilleure scène de l'ère Chibnall jusqu'à là : vous ne savez rien. Et elle a entièrement raison. On a regardé des centaines d'épisodes. On connait les ennemis. On connait Jack et on est même content de le revoir. Mais on ne sait rien. Tout n'a été qu'un mensonge. Forcément, il a de quoi devenir folle pour la Docteur. Alors que fait le Tardis dans ce cas ? Il prend les êtres les plus débiles, les plus insignifiants, les plus ridicules, les laissés pour compte, ceux qui ne savent pas faire du vélo, et les intègrent dans le vaisseau. Pourquoi ? Parce qu'ils possèdent l'humanité la plus pure, la plus belle qu'il puisse exister pour que jamais la Docteur ne puisse basculer de l'autre côté. Là où se sont perdus le War Docteur et probablement ce Ruth Docteur. Pour cela, il fallait bien un non-épisode, qui poursuit le dialogue entammé par The Doctor's Wife en le complétant à merveille, un épisode qui ne suit absolument aucune des strucures logiques et classiques de la série : il n'y a pas vraiment de méchant, pas de 3ème acte, la Docteur est plus inutile que jamais (cohérent avec son arc jusqu'à là) et pas vraiment d'aventure à proprement parler. Il fallait bel et bien tout casser pour avancer. "Quoiqu'ils arrivent, on sera là" dit Yasmin à la fin. Et moi aussi. Moi aussi, Chiboss. |
Avis favorable | Déposé le 27 janvier 2020 à 22:02 |
Spoiler
Je n'ai pas forcment le temps de développer mais forcément un tel épisode, ça parle aux fans. Captain Jack Harkness, les Judoon pour qui j'ai toujours eu un failble, un fil rouge qui se laisse entrevoir, une superbe photographie, etc. |
Avis favorable | Déposé le 27 janvier 2020 à 11:45 |
Spoiler
C'est un peu le genre de choses que j'espérais voir depuis la reprise du show par Chibnul. 2 directions étaient possibles : soit faire un Doctor Who ancré dans son temps, avec un vrai discours politique sur l'époque (ce que RTD a fait depuis avec Years and Years). C'est la tentative maladroite de la saison 11, qui a prouvé que Chibnul n'avait pas les épaules pour produire quelque chose de constructif. Soit, donc, s'amuser avec le lore de la série, entre la fanfiction et le pulp, et embrasser pleinement les potentiels de la mythologie, quitte à basculer dans du serial à gogo. C'est la voie empruntée par cet épisode, et la meilleure décision à mon avis pour que l'ère Chibnul retrouve des couleurs. Je pense même que la saison 13 devrait opter pour une mini-série sans loners, comme Children of Earth sur Torchwood. Difficile donc de juger cet épisode qui se contente d'accumuler les questions sans pour le moment apporter de réponses. Mais c'est la première fois depuis Hell Bent que j'ai retrouvé un certain sentiment d'inconnu et de véritable mystère devant Doctor Who. Et c'est plutôt agréable. - J'ai vraiment beaucoup aimé le Docteur campé par Ruth et le potentiel inexploré qui l'entoure, mais j'espère que Chibnul va réussirà étendre la mythologie avec (les univers parallèles, pourquoi pas), et ne pas tomber dans le piège de refermer toutes les possibilités lors du final (un peu ce que Moffat avait raté en dévoilant la nature Time Lady de River puis en la privant de toutes ses régénérations dès l'épisode suivant). La course frénétique qu'incarne l'épisode et la montée perpétuelle du suspense est donc réussie, Doctor Ruth bénéficie d'une très bonne intro, mais j'aurais du mal à dépasser 14 pour le moment. L'épisode souffre à mon avis de quelques points faibles : - Jodie était plutôt bonne cette semaine, son Docteur gagne en aspérité et elle est vraiment beaucoup plus pertinente dans le drame que dans la comédie. Mais son Docteur fait pâle figure face à Doctor Ruth, qui m'a plus convaincu en 1 épisode que Thirteen en une saison et demi. Tout comme leur Tardis respectif d'ailleurs. C'est un peu perturbant de voir - une fois de plus - Thirteen aussi passive face aux événements, il est dommage qu'elle ne joue aucun rôle dans la résolution de l'intrigue Judoon, ce qui aurait permis de redorer un peu son blason. La fin de l'épisode est aussi totalement expédiée, je ne comprends absolument pas que Thirteen accepte de quitter Ruth sans chercher à comprendre la situation. Encore une fois, elle se contente de subir la situation. Je serais presque rassuré qu'on découvre que Ruth était la vraie Thirteen depuis le début, à ce stade. - Les compagnons ne servent toujours à rien, et même si le retour d'un perso culte est sympa, tout ceci était quand même juste du pur teasing (assez alléchant, cela dit). J'ai apprécié que Thirteen remette Ryan à sa place en lui disant qu'il ne la connaissait pas, mais enchaîner avec le traditionnel speech de Chibnul sur l'importance de la Fam' m'a rappelé les sombres heures de la saison 11. Cette relation Docteur/compagnons est malheureusement bien fade, et le fait qu'ils soit séparés tout l'épisode prouve à quel point la Team Tardis est totalement accessoires à ce Docteur. J'espère que d'ici le final la saison parviendra à donner un peu plus d'ampleur à cette relation afin que les enjeux entourant la Fam' puissent enfin fonctionner. Mais c'est la première fois depuis 2015 (!!) que je suis à nouveau vraiment intrigué par le show et les perspectives ouvertes. Espérons que Chibnul transforme l'essai pour muter en Chibnius ! |
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Ca faisait longtemps qu'un épisode ne m'avait pas autant fait plaisir ! On se laisse porter dès le départ en pensant qu'il s'agit d'une intrigue classique, pour au final se retrouver avec un guest venu du passé et une Ruth surprenante.
J'espère vraiment que la suite de la saison va exploiter ce filon, car c'était si agréable à regarder.