Treme
Des musiciens, membres du même groupe, tentent de reconstruire leurs vies dans la Nouvelle-Orléans post Ouragan Katrina. Le doué tromboniste de jazz, Antoine Batiste, est coincé dans une vie avec sa partenaire et leur bébé, alors qu'il court secrètement après son ancienne épouse, Ladonna. Celle-ci est ...
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Terminée | Américaine | 59 minutes |
Drame, Drama | HBO, Orange Ciné Novo | 2010 |
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2.06 - Feels Like Rain
Feels Like Rain
Janette apprend que Jacques a des problèmes. Après plusieurs séries de négociations et de dessous de table, Nelson fait un don officiel à Oliver Thomas. Antoine désigne un adjoint. Toni continue à être inquiète pour Sofia et se rapproche de Colson. Les deux policiers tentent de trouver des solutions aux nombreux problèmes consécutifs aux ravages causés par Katrina. Après une courte étape à Houston, Albert passe un peu de temps avec Del à New York.
Diffusion originale : 29 mai 2011
Diffusion française :
29 mai 2011
Réalisat.eur.rice.s :
Roxann Dawson
Scénariste.s :
Eric Overmyer
,
Tom Piazza
Guest.s :
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Avis favorable | Déposé le 29 janvier 2015 à 19:47 |
4 scènes élèvent l'épisode du commun et de l'ordinaire (de Treme, donc le niveau reste haut). 2 qui réchauffe le cœur : les Landreaux père et fils, et Jeannette et son sous-chef. 1 qui fait à mal au ventre : l'intro 1 qui glace le sang : Ladonna et les photos. Khandi Alexander, l'actrice qui joue Ladonna, m'impressionne réellement. Sous un visage un peu "fermé", elle arrive à balancer une gamme énorme d'émotions, de manière un peu minimaliste, mais à chaque fois, le but est atteint. Chapeau bas! |
Avis favorable | Déposé le 02 juillet 2011 à 12:56 |
Encore une scène d'intro qui m'a foutu le bourdon ! Comme j'ai voulu y croire, juste pour un instant mais la réalité est bien vite revenue détruire ce bonheur. Un très bel épisode où chaque scène, chaque intrigues prend son temps pour nous immerger dans la vie difficile de ces habitants. Les scènes entre Albert et Delmond Lambreaux sont superbes. L'amour, bien que difficile qu'il y a entre le père et le fils est poignant. Et cette scène, cette toute petite scène entre Janette et son sous chef. Toute la misère de monde semble s'être déversée dans les yeux de cet homme. Une des plus belle scène de l'épisode. Heureusement la fin avec la parade qui réussie miraculeusement à se faire grâce à une offre généreuse de Nelson Hidalgo, vient déposer une couche de douceur sur ce monde en douleur. Superbe. |
Avis favorable | Déposé le 31 mai 2011 à 04:38 |
Episode complexe où l'histoire connait une petite réorientation, dans le but de se diriger vers un nouveau mardi-gras. La première scène magnifique justifie le thème de l'épisode, celui de l'impossibilité de vivre avec les souvenirs du bonheur passé quand la vie vous échappe. Saisir l'instant pour tenter d'oublier, quitte à décevoir et à créer encore plus de souffrance. Le temps d'un instant, oublier tout et croire à un avenir nouveau, libéré des chaînes du passé. |
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Critique : Treme 2.11
Episode sublime qui clôture une saison particulièrement réussie, entre haine et joie. C'est la fin du second acte sur un monde qui se réconcilie avec lui-même. Au programme, quelque chose de grand, de fort et de superbe.
Critique : Treme 2.10
Superbe épisode sur l'amour et les mensonges que chacun consent à faire pour maintenir l'illusion du bonheur. Au programme, le deuil dans un monde où le mensonge devient un acte d'amour.
Critique : Treme 2.09
Un épisode qui fait le lien entre une mi-saison volontairement positive et un final particulièrement tragique. Au programme, du bonheur, un instant d'harmonie et une chute vertigineuse et sans fin.
J'ai trouvé que cet épisode ressemblait au précédent, avec une certaine linéarité et un montage semblable. Beaucoup de scènes touchantes, entre Jeannette et Jacques, Albert et Delmond, LaDonna et évidemment la toute première scène qui lance magnifiquement bien l"épisode.
Comme souvent, les défilés apportent un peu de douceur et d'espoir à cette ville qui ne veut pas toucher le fond mais qui peine à sortir la tête de l'eau. La relation entre Toni et Sofia n'est pas développée à fond, mais heureusement : on comprend ce qu'il y a à comprend et ce n'en est que plus beau (et triste).