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Un épisode un peu moins ennuyeux que le pilote grâce à la présence intrigante d'Adrian Pasdar, apportant un peu de sel à une intrigue toujours aussi sirupeuse.

Un final en forme d'ultime provocation de l'équipe de The Hour contre le pouvoir en place. Un épisode où tous les éléments se mettent en place jusqu'à un final plutôt inspiré, donnant une définition assez juste de ce que doit être de la bonne télévision.

Une histoire de meurtre dans un laboratoire assez intrigante, mais qui propose une scène d'exposition particulièrement décevante qui détruit l'intrigue dans l'oeuf.

Retour dans le monde rouge dans cet épisode en nous laissant en suspend la question de l’avenir de Bell du monde bleu. L’alternance des mondes a toujours permis de donner du rythme à la série et depuis quelques épisodes je reprochais à la série de marquer le pas. Alors coup de boost réussi ?

Petit coup de mou pour ce dixième épisode de Wilfred. Au programme : un gamin sorcier, des voisins étranges et un clodo héroïnomane.

Il y a beaucoup de choses à se mettre sous le croc cette semaine, mais ce n’est pas forcément de bonne facture ! L’épisode oscille donc entre de belles surprises et des points négatifs… presque comme d’habitude. Et il est clair qu’avec cet épisode, on peut se permettre d’avoir une vision assez réductrice de la série, ou du moins, ce qui l’anime.

Un épisode sympathique et original sur la forme qui va payer le prix d'une mythologie bancale

L’épisode précédent marquait le retour d’un personnage important de la série, William Bell. Mais par la même occasion il faisait disparaitre Olivia pour le moment. Comme la série a-t-elle négocié ce tournant qui, à mon sens, semble risqué et dangereux ?

Un épisode qui cumule tous les défauts de la série en proposant une intrigue particulièrement clichée et ridicule.

Cette semaine, Wilfred traite des relations mère-fils, de la folie et de la masturbation féminine. Vous ne voyez pas le rapport ? C’est que vous n’avez pas regardé l’épisode alors !