Le 13 octobre 2009 à 00:00
L’analyse de séquences que nous proposons aujourd’hui concerne les génériques. Il va de soi que parallèlement à l’évolution des séries dans une perspective globale (technique, budget, …), le générique a lui aussi bénéficié d’une hausse de qualité par rapport à ses paires des années 80-90. Si lorsque vous regardiez MacGyver, vous pouviez vous contenter de regarder le générique qui proposait ni plus ni moins les meilleurs moments de la saga (Il en va de même pour Magnum, l’homme qui tombe à pic et consorts, …), il ne fallait pas en faire une généralité (Il n’y avait pas de générique dans Columbo). En fait, je crois que je dois préciser cette notion galvaudée de générique. Si l’on en suit wikipédia, voici la définition : « Le générique (ou credits en anglais) recense l'ensemble des personnes physiques ou morales qui ont participé à la création d'une œuvre cinématographique et présente leurs noms au début ou à la fin du film. ». Je vais donc qualifier l’objet de notre analyse d’opening qui se limite donc au cas particuliers de l’introduction de la série et non la fin, le terme « générique » pouvant créer un quiproquo. Sans plus attendre, étudions un premier cas (la liste des séries sélectionnées ne prétend pas établir des distinctions en termes de qualités pouvant les opposer aux séries non représentées, il s’agit tout simplement de cas pertinents qui ont été sélectionné en fonction de leur facilité d’accès).