Les fêtes alcoolisées donnent souvent lieu à une accélérations des sentiments. On y monte très vite dans l’euphorie, comme on chute très vite dans la tristesse. Et si elles sont costumées, c’est encore plus intense. Voilà pourquoi ce genre de décor sied très bien à Euphoria.

Et une nouvelle fois, c’est une valse des émotions, même si cela finit de manière assez down pour la majorité des personnages.

Par contre, la nouvelle Kat gagne en confiance en elle ce qu’elle perd en empathie pour les autres au point de commencer à devenir assez détestable.

Déjà plus intéressant, mais l'épisode est assez lourd à regarder — en tout cas c'est ce que j'ai ressenti. Beaucoup de sexe, beaucoup d'alcool, beaucoup de mal-être. Cassie et Kat me brisent le cœur, et Nate s'enfonce dans un jeu dangereux où les dommages collatéraux ne devraient pas tarder à se faire sentir. J'aime la confusion dans la relation Rue/Jules, et aussi ces petits moments plus authentiques où, l'espace de deux secondes, on sent qu'ils sont normaux (quand McKay remarque le costume de Lexie, par exemple).