Jane the Virgin
Jane, une jeune femme très pieuse, encore vierge, sur le point de se fiancer, se retrouve accidentellement inséminée artificiellement après une suite d'événements improbables. Elle porte l'enfant d'un couple dont le mari, suite à un cancer des testicules, n'avait plus qu'un seul espoir d'être le père naturel ...
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Terminée | Américaine | 42 minutes |
Drame, Comedy, Drama, Romance, Soap | The CW, Téva | 2014 |
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Avis sur l'épisode 1.14
Avis favorable | Déposé le 24 février 2015 à 05:41 |
Excellent épisode, complètement barré - les hallucinations de télé-novélas, putain ! Le rythme avance à une vitesse folle, à peine la série est remise de nombreux rebondissements qu'elle les dévoile au grand jour pour faire progresser le récit... et la manière dont elle l'introduit sérieusement : "I'm sitting on Dad." Luisa était l'un des rares personnages du show à m'indifférer avant cet épisode. Ce n'est plus le cas. Elle raconte ses aventures coquines dans la piscine avec Rose comme personne. Ils ont pas intérêt à avoir changé l'actrice de Sin Rostro. Bridget Regan est trop magnifique pour ça. Petra reprend du poil de la bête (ah ! j'avais deviné que cette blonde en arrière-plan était bien elle, je suis ravi de voir que la réal ait ce souci du détail) et on parie combien que Aaron Zazo est en fait bien Roman Zazo ? Jane/Rafael ça commence à devenir anti-naturel. Je commence à croire que ça va pas tenir plus de deux épisodes... Quelque chose cloche avec eux. Rogelio "Dad. You're locked on Dad." devient officiellement mon personnage de tele-novela préféré. Et que ce soit clair, "Pasion Intergalactica", je veux ce show. En vrai. Maintenant. |
Avis favorable | Déposé le 22 février 2015 à 18:53 |
ça s'améliore un peu, avec de nombreux petits bons gags. Par contre, le rythme infernal de la série (une de ses signatures) donne parfois la migraine. |
Un épisode ultra drôle. Les hallucinations de telenovelas font partie de mes moments préférés all-time de la série. Tu sens que les acteurs s'en donnent à coeur joie dans ces moments-là.
Rogelio est de plus en plus au centre de l'intrigue, et encore une fois on rit avec lui, pas de lui.