Alors oui, c'est trop sirupeux. Mais c'est tout de même un bel épisode, avec une fin très sympa. J'ai particulièrement aimé Higgins, mieux mis en valeur désormais que tout le monde travaille dans le même sens.

Cet épisode est un défi au spectateur : "Tu penses qu'on était sirupeux ? On peut l'être encore plus". Forcément, la chantilly en plus de la crème patissière rend le truc un peu indigeste pendant la grosse parie de l'épisode. Mais à la fin, et j'ai été surpris de le constater, ben c'est Ted Lasso qui gagne quand même. C'est con, mais cette chorale de Noel finale, ça a fonctionné sur moi. Il s'agirait quand même que cette deuxième saison commence à raconter vraiment quelque chose quand même.

Qui dit épisode de Noël dit avalanche de bons sentiments. Bah c'est ce qu'on a eu. Jusqu'à même un début d’écœurement avec la scène de la chorale qui m'est un peu resté sur l'estomac et qui gâche pas mal l'édifice entrepris jusque-là et l'équilibre fragile établi entre feel good story et niaiseries.

Mais bon, je pardonne, c'est Ted Lasso, enfin.