Jaimie m'a bouleversée dans cet épisode. Et j'aime l'arc Sharon/Ted, et Rebecca/Sam.

Pour le reste on a quand même toujours l'impression que cette saison ne sait pas où elle va, et que les scénarstes improvisent à chaque nouvel épisode. Quand on en est à l'épisode 8 c'est un peu gênant.

Un épisode effectivement très feel good, même si Man City restera toujours l'ennemi que Richmond ne peut pas battre. Ce qui m'a dérangé dans l'épisode, c'est qu'il contient finalement 45 minutes, soit deux épisodes normaux de Ted Lasso. Et cela se ressent dans la façon dont ces histoires sont amenées, puisqu'il y en a beaucoup. En revanche, l'épisode prend + 1 direct avec toute la scène de coiffure. Ted Lasso ne rate jamais la cible lorsqu'elle s'intéresse aux joueurs de Richmond. Il faut continuer dans cette voie.

Je suis d'accord avec Koss, quand il dit que la saison risque de mal se finir.

Mon frère trouve que la série emprunte trop les codes des feel good movies des téléfilms nazes de M6 l'après-midi. Peut-être qu’il a raison. Mais malgré ça, moi, je marche à fond et je savoure la love-story Rebecca et Sam, tout comme les moments entre Roy et sa nièce. Je les savoure d'autant plus que sous l'aspect Barbapapa, se dissimule une vraie mélancolie qui touche un bon nombre de personnage (on le savait pour Ted, on le découvre pour Sharon et on le subodore pour le Coach Beard). Puis l'aspect conte de fée accepte aussi ses limites (le score final de la demi-finale). 

Bref, Ted Lasso propose parfois, c'est vrai, beaucoup de sucre dans son repas, mais moi, ça me fait fondre. Va peut-être commencer à regarder plus souvent M6 l'après-midi, du coup. 

Et finalement, c'était une comédie romantique. Heureusement qu'il y a ce chouette moment final entre Sam et Rebecca. Parce que le reste... pfiou... Je vois pas comment la saison peut bien se terminer. Tout semble converger vers une séparation des 4 coachs et on prend désormais n'importe quel moment "bizarre" (ici Coach qui s'en va après le match) pour une annonce de la fin. La vérité c'est que Ted Lass...e à la fois le spectateur (la scène où il boit l'eau) et aussi les joueurs et ses co-coach en n'étant pas à la hauteur en terme de coaching. Ca va bien mal finir...