Manoune398, rédactrice discrète pour le site n°1 sur les séries, se retrouve brusquement sous le feu des projecteurs après qu’un célèbre juge, RasAlGhul, l’ait mentionnée à la fin de son dernier procès. À cause des interrogations du juge sur le "398" de son pseudonyme, la pauvre jeune femme est très vite devenue la cible principale des médias. Mais qui se cache donc derrière cette plume d’ange ?
Introduction
Manoune était assise à son bureau, ses doigts tapotant la surface en bois clair. Elle devait écrire un nouvel article mais elle était incapable de se concentrer : ce juge l’avait mise en bien mauvaise posture… Et si jamais les autres découvraient la vérité ? Elle ne pouvait se résoudre à présenter au monde les 398 Manoune. Personne ne comprendrait. On la traiterait de folle, on la ferait probablement enfermer. Cette idée lui donna des frissons et son cœur se mit à battre plus vite. Elle ferma alors les yeux et prit une grande respiration, essayant de se détendre et de ne plus penser à cette histoire. Au bout de quelques minutes, elle sentit l’inspiration venir puis Manoune398, enfin, fit son apparition : elle était prête pour son prochain article, qui allait revenir sur les séries qu’elle avait visionnées cette année. Trois semaines avant l’ouverture de la nouvelle saison, il était temps de se rendre quelques temps en arrière... Elle laissa les souvenirs affluer.
- Chapitre I : Blessed be the fruit...
- Chapitre II : Who's that girl?
- Chapitre III : Hello, friend.
- Chapitre IV : We'll be alright. It's Chicago.
- Chapitre V : Hannah wasn't the only one.
- Chapitre VI : What the f*ck?!
- Chapitre VII : Winter is coming but it's been a Heck of a year! (ou "Tempora mori, tempora mundis recorda" comme dirait le Roi Loth)
- Épilogue
Chapitre I : Blessed be the fruit...
June ou Offred ?
The Handmaid’s Tale, saison 2
Les anciens États-Unis n’existent plus et cela fait deux ans que nous accompagnons June – appelée Offred – dans sa vie décidément bien compliquée. Cette deuxième saison suit sa grossesse, ses tentatives pour échapper à ce régime, ses efforts pour garder la tête claire malgré la pression psychologique, et surtout sa bataille pour essayer de protéger son futur enfant. Son personnage évolue par ailleurs énormément au cours des treize épisodes proposés. Du besoin vital de fuir au choix de rester, le chemin fut long mais pourtant cohérent. Elle se retrouve plusieurs fois en très mauvaise posture et parvient à s’en sortir toujours plus grandie, plus déterminée et plus stratège qu’avant. Sa relation avec Serena se modifie, même si ce personnage est un nœud de complexités et de paradoxes impossible à dénouer pour le moment. Une intrigue parallèle, peut-être un peu faible car peu présente, suit Emily dans les Colonies puis dans sa nouvelle famille, tandis qu’une autre se situe au Canada avec Luke et Moira. Admirablement bien portée par ses acteurs et actrices, visuellement splendide avec une grande puissance narrative, cette saison est tout simplement la meilleure de 2017-2018 à mon sens. Elle a proposé plusieurs épisodes coup de poing avec des scènes vraiment très fortes, qu’elles soient tristes, violentes ou terrifiantes, voire les trois à la fois. Un chef-d’œuvre. (15,67/20)
Westworld, saison 2
Celle-ci n’est certainement pas un chef-d’œuvre, même si elle était bien partie. Westworld se révèle de plus en plus incohérente, inutilement complexe et tirée par les cheveux. Les multitudes d’intrigues, de timelines et de personnages deviennent fatigants et la série joue constamment sur les théories circulant sur Internet, donnant la sensation que personne ne sait vraiment où elle va. Seul le huitième épisode sort du lot, et pas qu’un peu : il propose une vraie réflexion sur l’humanité et l’histoire avec beauté et profondeur. Le reste ennuie, Dolorès m’est insupportable et il ne manque pas grand-chose pour que ce soit le cas avec Bernard. (13,50/20, je trouve qu’elle s’en sort vraiment bien)
Stranger Things, saison 2
Encore une deuxième saison, beaucoup attendue elle aussi. Nous retrouvons nos quatre adorables gosses, la talentueuse Millie Bobby Brown et le génial Chef de la Police (entre autres) dans cette nouvelle salve d’épisodes se déroulant un an après les évènements de la première saison. Quelques nouveautés au casting, un nouveau monstre mais qui reste lié à Will et à ce qui lui est arrivé auparavant, des personnages qui évoluent (Steve, nouvelle idole des jeunes) tout autant que certaines relations (les amis entre eux ainsi que Hopper et Elfe) et une histoire toujours aussi agréable à suivre. Que ce soit l’intrigue principale, celle avec Eleven ou celle avec Nancy et Jonathan, toutes mettent en avant un aspect de l’histoire et font évoluer leurs protagonistes avant que tout ce monde ne se réunisse pour le final. Toujours ce côté rétro visuellement bien travaillé, de l’humour, des instants angoissants, un peu d’innocence et une belle alchimie côté casting malgré une mise en route assez lente. Un plaisir ! (14,33/20)
Chapitre II : Who's that girl?
Grace et Frankie sont capables de tout !
New Girl, saison 7
Clap de fin pour Jessica Day et ses colocs ! Après sept ans passés sur la Fox, le loft ferme définitivement ses portes avec huit épisodes d’adieu. Huit épisodes, c’est évidemment bien peu pour construire quoi que ce soit mais ce n’était finalement pas le but. Le but était de dire au revoir aux téléspectateurs, aux fans de cette série qui ont suivi ces personnages déjantés mais terriblement attachants durant toutes ces années. Malgré des hauts et des bas, ce fut un plaisir de suivre les aventures de ce groupe d’amis aussi drôles que touchants. La série a toujours su se remettre en question pour se renouveler et surtout, elle s’est arrêtée au bon moment et a pu contrôler sa sortie. (13,25/20)
Grace & Frankie, saison 4
Un duo de choc qui fait rêver depuis plusieurs saisons maintenant et qui ne lasse pas (ou du moins pas encore)... Toujours aussi bien portée par son quatuor d’acteurs (Jane Fonda, Lily Tomlin, Sam Waterston et Martin Sheen), cette série parvient à faire rire autant qu’à émouvoir. Cette quatrième saison suit les aventures de Grace et Frankie d’un côté, qui doivent jongler entre leurs corps qui ne répondent plus et leur business de sex-toys pour personnes âgées, et la vie de couple de Sol et Robert qui, après cinquante ans passés dans le secret, ont du mal à s’adapter à une routine plus banale. Les enfants ne sont pas en reste et vivent leurs vies en suivant de près la retraite mouvementée de leurs parents. Cette série est un régal à chaque nouvelle saison ! (13,09/20)
Fresh Off the Boat, saison 4 / Life in Pieces et Superstore, saisons 3
Le trio de comédies continue son petit bonhomme de chemin. Malgré un manque d’implication de la chaîne auprès de Fresh Off the Boat (dont je redoute l’annulation l’année prochaine), la famille Huang reste attachante et franchement amusante dans un contexte des 90’s bien travaillé et coloré. (12,74/20)
Autre famille, plus dysfonctionnelle et vraiment hilarante à certains moments, Life in Pieces : le format des épisodes composés de quatre petites histoires commence au fil du temps à être exploité et si les auteurs osaient plus s’amuser avec, la série pourrait connaître quelques belles années. (12,91/20)
Enfin, l’équipe du grand supermarché de Superstore amuse encore avec son ton parfois politiquement incorrect et l’accent mis sur la vie des personnages cette année. Elle s’améliore de saison en saison et commence à gagner en qualité. (12,73/20)
Chapitre III : Hello, friend.
Elliott en conflit avec lui-même.
Scandal, saison 7 et UnREAL, saison 3
Le rideau s’est également définitivement fermé sur Scandal et ses personnages névrosés avides de pouvoir. Après sept saisons, il était clairement temps de mettre un point final à l’histoire de la vie mouvementée d’Olivia Pope et de ses amis. Dans la continuité de la (bonne) sixième saison, ces dix-huit derniers épisodes poussent Olivia à devenir un personnage à la limite de l’antipathie d’une façon réussie, car à mon sens nécessaire. Les thèmes premiers de la série sont explorés sous un nouveau jour et le parallèle est bien trouvé puisque Quinn, dont l’arrivée avait lancé la série, est mise sous le feu des projecteurs. La dernière scène est probablement ce que Shonda Rhimes aurait pu faire de mieux et on ne peut trouver quoi que ce soit à redire sur cette clôture. (12,94/20)
Question pouvoir, Rachel et Quinn ne sont pas en reste avec cette troisième saison d’UnREAL et son émission de télé-réalité. Cette année, nous avons eu droit à une candidate et un esprit encore plus girl-power que jamais. L’occasion de se tourner également vers le personnage de Quinn avec un peu plus de profondeur, et d’enfin faire évoluer Rachel. La série fut brutalement annulée par sa chaîne Lifetime et la dernière saison balancée par Hulu fin juillet. Ne l’ayant pas encore visionnée, je m’en tiendrai à cette troisième saison qui a le mérite de ne pas stagner et de faire un minimum bouger ses personnages, tout en gardant cette tension et ce dynamisme propres à elle. (13/20)
Mr. Robot, saison 3 et Sharp Objects, 8 épisodes
Elle aussi mettra la clé sous la porte après sa quatrième saison prévue pour 2019 : le créateur de Mr. Robot l’a annoncé il y a peu, ce sera bientôt la fin. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle dure plus de quatre ou cinq ans et je pense que c’est une bonne chose de s’arrêter quand vient tout simplement le moment de s’arrêter. La troisième saison proposée en fin d’année dernière se révèle être plus calme, plus introspective, mais toujours aussi mystérieuse. Beaucoup de réponses sont données aux vieilles questions, de nouvelles se posent. Rami Malek est toujours aussi majestueux et cette série parvient à allier fond et forme avec un talent fou. On se souviendra longtemps de ce cinquième épisode tourné en plan-séquence et admirable de bout en bout notamment, mais les dix épisodes sont d’une qualité générale rarement vue à la télévision. (14,90/20)
Ce qui n’est pas le cas pour la mini-série d’HBO diffusée cet été, Sharp Objects, mettant en scène Amy Adams dans une intrigue policière assez décevante dans l’ensemble. Malgré un très bon casting et une atmosphère parfois perturbante, l’écriture a semblé se perdre entre enquête criminelle, passé de la protagoniste et vie de famille présente. Je m’attendais à mieux, même si ça aurait pu être pire. (12,63/20)
Chapitre IV : We'll be alright. It's Chicago.
Hank Voight et son équipe vont devoir se serrer les coudes l'année prochaine !
Chicago P.D., saison 5
La série n’est plus ce qu’elle était à ses débuts, et c’est une excellente chose. Elle a gagné en maturité, en profondeur et en qualité au fil des ans, et cette cinquième saison prend sa source dans les nouvelles réformes policières, n'hésitant pas à se plonger un peu plus dans l’aspect politique du métier. Aidée d’un fil rouge très convaincant qui évolue tout au long de la saison (du premier au dernier épisode) et qui prend par ailleurs une tournure que personne n’aurait pu voir venir, elle explore plusieurs facettes du travail de l’unité tout en mettant les personnages en avant dans des centrics ou des petites intrigues. Elle a, de plus, dû faire sans Erin Lindsay (jouée par Sophia Bush), personnage pourtant clé depuis les débuts en 2014 mais dont le départ a été bien géré sur la durée. Les acteurs sont très impliqués dans leurs rôles, leurs personnages sont bien écrits et les enquêtes bien ficelées. Voir ces personnages évoluer au travers des affaires qu’ils traitent sans parler de leurs vies amoureuses et sexuelles est déjà un exploit en soi dans une série, alors c’est franchement agréable. Je ne suis pas vraiment d’accord avec la fin de saison, mais je pense malgré tout que Chicago P.D. va continuer sur sa lancée et honnêtement, je ne peux que faire confiance. (14,18/20)
Chicago Fire, saison 6
Si Chicago P.D. a pris son envol en se construisant une vraie identité et en assumant son style unique, la série-mère Chicago Fire ferait plutôt l’inverse. C’est certes toujours agréable et divertissant de voir cette équipe de pompiers en action, évoluant dans leurs vies et dans leurs carrières, mais peut-être arrive-t-on à un point où elle est en train de stagner. Malgré un casting qui a toujours évolué et des personnages attachants, tout est plus moins toujours la même chose. On ne peut reprocher à Monica Raymund (Gabriela Dawson, personnage principal) de s’en aller quand elle dit qu’elle est arrivée au bout de ce que son personnage pouvait proposer. Le manque de créativité des auteurs qui se basent toujours sur le même type d’intrigues commence peut-être à lasser, en plus de l’aspect assez sentimental qui enlève parfois de la crédibilité. Chicago Fire, bien que prévenante envers ses fans, est peut-être tout simplement trop gentille. (13,04/20)
Chapitre V : Hannah wasn't the only one.
Oui Clay, tu résumes bien cette saison de 13 Reasons Why !
Dear White People, saison 2
Après une première saison satisfaisante bien qu’un peu impersonnelle, Dear White People se révèle un peu plus au cours de ces dix nouveaux épisodes. Dotée d’un joli univers visuel, d’une très bonne narration et de la maîtrise du sujet traité, la série a su faire ses preuves avec cette deuxième saison. Les personnages ne sont pas forcément plus attachants mais ils sont en tout cas intéressants et bien écrits. Avec son fabuleux huitième épisode (l’un des meilleurs vus cette année, toutes séries confondues) et une très bonne construction narrative, la saison, et plus largement la série, parvient à divertir tout en portant son regard sur la situation raciale actuelle. (13,80/20)
13 Reasons Why, saison 2
Elle ne parle pas des problèmes raciaux mais de harcèlement scolaire (entre autres) : 13 Reasons Why était de retour au printemps dernier pour treize nouveaux épisodes, détachés du livre sur lequel était basée la première saison. Nous assistons donc au procès des parents d’Hannah Baker contre le lycée, entendant les différents témoins qui nous permettent de nous plonger dans la vie privée de la jeune fille à l’aide de flashbacks. La série s’en sort bien, complexifiant le personnage d’Hannah, proposant des révélations inattendues mais qui restent, à ma surprise, assez cohérentes. En parallèle, l’intrigue liée aux évènements passés avec Bryce se mêle au fur et à mesure au procès, mettant à jour de nombreux secrets, explorant les violences sexuelles et le comportement des adolescents face à tous ces problèmes. L’occasion également de suivre le deuil de Clay, le parcours du combattant de Jessica et la tentative de rédemption de Justin. Dans une autre intrigue, totalement parallèle à la principale, nous suivons l’évolution de Tyler qui nous amène vers une troisième saison, mais sur laquelle j’émets plus de réserves malgré une idée de départ louable. C’est donc une deuxième saison réussie sur pratiquement tous les points, avec des moments parfois émouvants et des instants plus coup de poing. Une série qui explore beaucoup de sujets tabous avec sensibilité, violence parfois, mais sincérité toujours. (14,15/20)
Chapitre VI : What the f*ck?!
Pattie en quête de vengeance.
Insatiable, saison 1
La série de l’été 2018 qui a fait un terrible bad-buzz sur Internet ne mérite pourtant pas autant d’acharnement. Elle a certes beaucoup de défauts mais elle possède tout de même un certain charme qui la rend divertissante, à défaut d’être profonde ou réellement intéressante. Son principal atout est qu’elle est complètement décalée, à la limite de la satire parfois, sur des sujets sensibles. Aidée d’une photographie très colorée et d’un bon casting, elle parvient à faire évoluer ses personnages en touchant à tous les sujets tabous actuels. C’est une série qui s’en bat les cou*lles, comme on dit, et j’ai apprécié cela malgré son manque d’intelligence à certains moments et une intrigue en milieu de saison vraiment ridicule. En plus d’une adolescente légèrement psychopathe et vengeresse en guise de personnage principal, la série ose parfois le trash et ça passe ou ça casse. (11,92/20)
Riverdale, saison 2
Elle n’est certainement pas trash pour un sou mais elle a le statut de guilty-pleasure : Riverdale et ses lycéens qui sont toujours au lycée sans aller en cours, qui passent leurs nuits dehors, qui ont des parents qui veulent les tuer ou qui font partie d’un gang, s’en sort plutôt bien avec sa deuxième saison, composée de beaucoup de hauts et de bas malgré tout. Les hauts ? Un univers visuel beau et travaillé, une bonne maîtrise de l’ambiance et une qualité de montage. Les bas ? Archie, à 80 %. Des intrigues parfois ridicules ainsi que du fan-service gratuit et inutile à certains moments. (12,64/20)
Rise, 10 épisodes
Mention spéciale à Rise, annulée au bout d’une courte saison, mais qui possède pourtant de belles qualités. L’histoire de ce professeur prenant les rênes de la section théâtre de son lycée et proposant "L’éveil du printemps", comédie musicale controversée car abordant tous les sujets tabous (sexualité, avortement, suicide, etc.) fut très intéressante à suivre, avec des personnages réalistes et touchants. (13,30/20)
Chapitre VII : Winter is coming but it's been a Heck of a year! (ou Tempora mori, tempora mundis recorda comme dirait le Roi Loth)
La famille Heck fait un effort pour vous et pose, avec le sourire en plus !
Il était temps. Manoune88 m’avait donné l’idée, et c’est ainsi qu’après avoir lu premier tome, je me suis plongée dans la première saison de Game of Thrones. Très fidèle au livre et avec de très bons choix d’acteurs, ces dix premiers épisodes lancent parfaitement la saga. (13,70/20)
Aucun lien entre les deux, mais j’ai également visionné la troisième saison de Buffy contre les Vampires, allant à mon rythme avec cette série qui arrive vraiment à aborder l’adolescence avec justesse. (13,18/20)
Comme à mon habitude depuis un moment maintenant, j’étais à mon rendez-vous annuel pour Modern Family et sa huitième saison : toujours attachante et amusante, qui tient sur la durée mais qui suscite beaucoup moins de passion qu'avant. (12,73/20)
Et puis, c’est arrivé : je zappais devant ma télévision, débarquant soudain sur NRJ12 (cela m’était déjà arrivé, quand Manoune666 voulait regarder Les Anges). Figurez-vous que j’y suis restée car j’ai découvert la merveilleuse The Middle, dont j’ai regardé tous les épisodes dans le désordre jusqu’à la sixième saison, avant de regarder les deux suivantes. C’est une série que j’adore et à laquelle je me suis extrêmement vite attachée. Elle s’est terminée sur sa neuvième saison en mai dernier, et j’ai hâte de pouvoir la regarder (oui, parce que du coup je la regarde en français… ça arrive aux meilleurs d’entre nous, que voulez-vous). Une excellente découverte !
Et enfin, elle méritait son propre petit paragraphe… J’annonce Kaamelott, cette petite pépite que j’ai toujours connue mais que je n’avais jamais vraiment regardée jusqu’à maintenant. Qu’en dire, à part que c’est génial, drôle, intelligent et qu'Alexandre Astier est un génie.
Épilogue
Elle ferma son ordinateur. Peut-être les autres allaient-ils la traiter de folle, mais… elle avait 397 alliées, se dit-elle en se levant pour aller se servir un bout de fromage, un sourire diabolique au coin des lèvres.
FIN
PS : Manoune398, c’est juste parce que Manoune était pris et que l’ordi m’a proposé 398. On peut vraiment vous faire gober n’importe quoi !
Et voilà, clap de fin pour cette saison des bilans personnels de l'été ! Merci de nous avoir suivis, et à l'année prochaine !