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Après un pilot vraiment convaincant, Caprica nous revient dans un deuxième épisode qui nous révèle en partie ce que seront les enjeux de la série, mais aussi ce que sera probablement ces grandes qualités mais aussi ces faiblesses.

Les épisodes avancent et les scénaristes de The Big Bang Theory arrivent toujours à inventer des situations complètement absurdes et pourtant si drôles...

Ça y est. Lost a enfin repris et les scénaristes semblent décider à nous transporter jusqu'au dernier épisode. C'est un season premiere chargé que nous allons tenter de récapituler.

Honnêtement, j'aimerai pouvoir dire du bien de Desperate housewives. J'aimerai vraiment. Mais ce n'est pas possible. Pas cette semaine en tout cas.

Cinquième épisode qui prend le relai de 2 doubles-épisodes parsemés d'action, un peu plus posé et un peu plus chiant ?

Après un premier double-épisode qui s'est contenté de mettre en place l'histoire de cette huitième saison, les deux prochains épisodes s'occupent de faire revivre 24, tel qu'on le connaissait.

Jack Bauer is back. Presque un an que l'on attendait le retour de notre héros des temps modernes. On commence doucement avec la critique du premier double-épisode.

The Big Bang Theory ça a toujours été les montagnes russes. Des épisodes hilarants, puis un qui détruit la dynamique, et puis ça repart.

Ça ne va pas du tout chez les Desesperate, pourtant je veux bien défendre la série, et essayer de ne pas rentrer dans cette mode de "casser Desperate c'est amusant" mais la je ne peux plus.

Après un pilote plutôt bien réussi et accrocheur, Flashforward se doit de rester à la hauteur. Voyons si ce second épisode répond à nos attentes.