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Au programme dans ce troisième épisode de Lie to me: la fille d'une juge fédérale assassinée et un pilote de la NASA accusé d'avoir crashé inintentionnellement une de leurs navettes.

Une femme soldat prétendant avoir été violée par son supérieur et un basketteur qui aurait été corrompu sont les sujets de notre équipe de détecteurs de mensonges humains.

Gossip Girl est un moment assez incertain de la semaine. Capable du moyen comme du pire, c’est avec attention que nous allons décortiquer l’épisode de cette semaine.

Qu'il est difficile d'être constructif et objectif quand on aime. Je n'ai pas voulu écrire cette critique directement après avoir vu l'épisode, j'ai préféré laisser mariner, attendre que quelques défauts fassent surface et surtout, attendre de ne plus être grisé par mon excitation et mon impatience envers le prochain épisode. Une soirée à regarder des films ainsi qu'une nuit n'y ont rien fait et je suis désolé par avance: je vais être sévèrement subjectif, car un 18, ça se mérite, et surtout, ça s'explique.

A cinq heures de la fin de Lost, les scénaristes nous offrent là un épisode de transition, finissent quelques intrigues qui trainaient par là, donnent quelques réponses qui pourissaient de l'autre côté, et décident enfin de faire bouger l'ensemble des personnages.

Après quelques épisodes d'action pure et dure, 24 nous livre un épisode de transition porté sur la politique et la découverte d'informations.

L'épisode précédent nous plongeait un peu plus dans le pathétique, au point même d'effleurer le fond, ce qui m'avait laissé un petit goût amère je dois le reconnaître. Walter avait atteint le degré zéro de l'humanité, Hank était complètement pommé, et Skyler déshumanisé. Il semblerait que l'on commence désormais à remonter la pente.

Après l 'épisode de la semaine passée qui a mis fin à l'intrigue principale, il fallait relancer la machine. Promesses tenues ?

Cette semaine, c'est au tour d'Hurley d'avoir droit à un centric. Everyone Loves Hugo devait continuer sur la lancée de l'excellent épisode Happily Ever After, alors qu'en est t-il ?

Desperate housewives, c'est quelque chose. On ne peut pas s'empêcher d'en dire du mal, et pourtant elle reste l'un de mes rendez-vous indispensables de la semaine. Je me demande parfois pourquoi je regarde encore cette série, mais je suis toujours présent malgré tout